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Histoire de sexe : Première baise avec mon voisin

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire de sexe : Première baise avec mon voisin

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Première baise avec mon voisin

    En revenant de cette soirée je me sentais échauffée. Mon amant de l'époque ne me satisfaisait plus. Sa maladresse, sa douceur mièvre laissaient mon corps, de plus en plus souvent, tiède. Ses mains inexpérimentées empoignaient avec plus de ferveur la nausée de Sartre que mes seins, mon sexe qui en redemandait. J'étais lasse de ces ébats universitaires trop vites consommés.
    Je quittais mon petit groupe plus tôt que prévu et rentrais chez moi ce soir-là. J'avais juste assez bu pour apprécier les regards insistants. Je portais une jupe s’arrêtant à mi-cuisse et sentait les courant d'air frais grimper le long de ma peau nue. J'étais bien, mon corps libre s'emplissait des saveurs d'une nuit d'été retombant, gouttait l’orage imminent.
    Comme je n’avais aucune envie de me coucher, quand j'ai croisé mon voisin sortant pour fumer, je lui ai parlé sur un ton enfantin de banalités. Ce peu de concentration dans les sujets que j'abordais me permettait d'observer ses réactions :
    Tapote sa cigarette sur son paquet, passe sa main carrée dans ses cheveux fins, regarde mes pieds puis mes yeux, jauge mon état d'ébriété, regarde mes seins ondulant sous l'effet de ma conversation, j'inspire et soupire, il baisse les yeux et tapote nerveusement sa cigarette. L'orage éclate enfin. Je l’ai toujours trouvé étrange, un peu frustre, il me plaisait
    - Vous savez... on peut fumer chez moi.
    Je l’ai fixé droit dans les yeux en penchant la tête sur le côté d'un petit sourire amusé. Autant jouer l’ingénue jusqu'au bout. Ses yeux brillaient d’une lueur bestiale, est ce que je portais la même ? J’en avais en tout cas très envie. Il repasse sa main dans ses cheveux grisonnant, regarde par la fenêtre un instant. J’étais haletante aussi intriguée qu’excitée, ce qui est un savoureux mélange.
    - Ok-
    . Mais qu’est-ce que je fous ? C’est là que la tension s’est installée à la place du jeu. En montant je sentais son regard glisser sur mes formes plus jeunes que celles qu’il pouvait habituellement toucher. Ça devait l’exciter les cuisses nues de la jeunesse en état d’ébriété.
    Je balance mes chaussures dans un coin
    - Plutôt bière ou plutôt vin ? – D’un ton enjoué.
    Je n'avais toujours pas de réponse alors que j’étais arrivée devant le frigo. Je me suis demandé « et s’il était parti », ce qu’il aurait du faire si la raison avait fait partie de ses qualités, mais non il était toujours là, dans l'embrasure de la porte... Dans ma précipitation j’avais oublié d’allumer la lumière, ça renforçait ses épaules massives et amassées.
    - Vous ne buvez pas ? - lui ai-je dit la gorge pincée. Il s’est alors approché de moi. Tant, que nous partagions maintenant un souffle.
    -Plutôt bière – m’a-t-il dit en me singeant malicieusement.
    Chaque geste prenait sa charge. Il sentait plutôt fort, et le bruit de la pluie battait la toiture. Il l’a décapsulé, le coude sur le frigo et a bu sa première gorgée en me jaugeant. Oui, le connaissant, ça devait l'amuser ma gêne de gamine. Il va me sauter, me disais-je pendant ce temps, paniquée, en voyant qu’il ne bougeait pas et moi non plus. Il a pris ma main, sans précipitation, et l’a mise sur son entre jambe. J’ai senti sa queue dure sous le jean. Il me fait frotter en augmentant l’intensité, de plus en plus fort, elle explosait la fermeture trop serrée et ses yeux en me fixant avaient redoublés d’intensité. « C’est ce que tu voulais non ? » M’a-t-il dit en relâchant son étreinte et en buvant une autre gorgée.
    J’ai pris conscience du désir que mon corps lui provoquait. J’ai repris mes esprits. Je l’ai regardé moqueuse avant de me diriger vers mon canapé son regard de fauve collé aux houlements dédaigneux de mon corps. Il s’est assis à côté de moi.
    « Tu crois vraiment savoir ce que je veux ? » lui ai-je dit en riant et en affaissant mes jambes sur la table basse, de sorte que ma jupe ne cachait plus que mon sexe. Il s’est alors mis à m’effleurer la cuisse, doucement, de l’extérieur vers l’intérieur, d’un doigt cajoleur et intéressé. Je me suis laissée faire les yeux fermés.
    « Tu en veux » m’a-t-il dit en me montrant sa bière. Je fis un geste pour prendre la canette mais il me la retira.
    « Laisse-toi faire, je sais ce que tu veux »
    Profitant de mon inattention il avait grimpé plus haut sur ma cuisse et continuait ses vas et viens frissonnants en se collant un peu plus à moi. Je compris et penchait la tête légèrement vers l’arrière il se pencha sur moi et versa la bière dans ma bouche ouverte. Il me regarda déglutir avec satisfaction laissant une goutte couler dans mon cou tout en passant sa main plus téméraire sous ma jupe.
    « Ça te plait ? » « hum hum .. Il a pris mon sein irrépressiblement, le toucha avec cette même fermeté épousant mes frissons, jouant de mes soupirs.
    Il passa enfin sa main sous ma culotte en collant son sexe implorant sur ma cuisse. En sentant ma chatte si suintante il émit un souffle de satisfaction. Il mordillait à présent mon sein ferme, mon mamelon durci. Jouait avec mon sexe gémissant, le désir contorsionnait mon corps qui se réprimait.
    « Dis le ! » me dit-il à l’oreille.
    « Je te veux, prend moi »
    « Et la politesse ? »
    Il passait à présent son doigt sur mon clitoris gonflé.
    « Je t’en supplie »
    Il m’a retourné en avant, j’étais toute à lui. Il a relevé ma si petite jupe et arraché ma culotte lui offrant une vue première sur mes fesses et mon sexe moite. Il a enlevé avec précipitation son jean et en me retournant je le vis, ce sexe énorme entre sa main, ce gland rougeâtre pointé vers moi, coulissant entre ses mains carrées.
    Il m’imposa d’être à quatre patte. Écarta mes fesses pour mieux lécher mon con. Il se frotta aux extrémités puis me pénétra d’un coup sec en gémissant. De plus en plus rapidement, il tenait mes fesses, les serraient sur sa queue que j’aspirais. Il buttait sur moi « Tu demandes la même chose que les autres, tu n’es qu’une petite pute voilà ce que tu voulais » et il se mit à jouir, Il continuait son va et vient, plus lentement, s’arrêtant plus profondément quand une giclée chaude sortait, en serrant mes fesses, de moins en moins fort, relâchant la tension de nos deux corps repus. Il resta un instant ainsi. Jusqu’à ce que sa respiration reprenne un rythme normal. « Alors ? C’est bien ce que tu voulais ? » M’a-t-il dit en roulant sur le canapé. « Quelque chose comme ça oui, mais si tu savais tout ce que je veux. Je crois que tu fuirais… » Nous nous mîmes à rire. Plus détendus. Il a allumé enfin sa clope. « T’en as une pour moi ? » Et nous sommes restés à parler toute la nuit. C’était la première de nos entrevues nocturnes, je ne le connaissais pas. Et je ne sais pas si je l’ai vraiment connu par la suite. Mais cette part de nous, cet espace que ne créerons, peu l’imaginent. Peut-être nous sommes nous, donc, vraiment connus ou juste découvert sous un jour inavouable qui nous faisait guetter l’heure de nos rendez-vous anonymes.

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