Menu
Histoire porno : Prise de force dans mon propre lit.
- 98
27Histoire porno : Prise de force dans mon propre lit.
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 22/08/2017
Publié le 22/08/2017
Prise de force dans mon propre lit.
Tu te réveilles dans ton lit, aussi nue que la veille, mais tu n'es plus seule. Tu es allongée sur le ventre. Un objet solide et peu confortable, lie tes mains dans ton dos. Une tige de plastique qui te coupe la peau à chaque tentative de t'en libérer. Tu ne vois rien, un bandeau est attaché autour de ta tête, pour te couper la vue. Tu essaies de te calmer, pour comprendre ce qui t'arrives. Tu essaies d'écouter, mais tu n’entends que ta respiration trop forte et le battement de ton cœur dans tes tympans.
Soudain quelqu'un tire sur tes cheveux, de façon à te relever la tête. Qui est-ce ? Que fait-il ici ? Comment est-il entré ? Et pourquoi ?
Tu cris, à plein poumons.
Mais tu sens son membre entrer dans ta bouche et tu l’entends émettre un petit rire moqueur.
Il fait des va-et-vient dans ta bouche, en maintenant bien ta tête, tes cheveux enroulé autour de sa main. Il va de plus en plus vite, de plus en plus profondément, poussant ta tête à la rencontre de chaque coup de hanche.
Les larmes coulent sur ton visage, alors que la respiration de l'inconnu se fait de plus en plein rauque.
Tu sens sa queue grossir contre ta langue et ses poils te chatouillent à chaque poussée.
Puis il se retire et te plaque la tête contre le matelas, t’es maintenant là, de sa paume contre ta tête, il passe un genou velus entre tes cuisses.
Son souffle saccadé tout près de ton oreille, tu sens ses doigts froids et mouillé de salive, se glisser entre tes jambes.
Tu sais ce qu'il va te faire et tandis qu'il lubrifie ta fente, de sa bave, tu n'arrives plus à émettre le moindre son.
Tu essaies encore de libérer tes mains, malgré la douleur du plastique qui frotte la chair de tes poignets.
Et alors que sa langue rugueuse glisse contre ton cou, il relève tes fesses. Tout en te tenant avec force dans la position qu'il a choisit, son pénis se fraie un chemin dans ta fente et il te pénètre sans précaution, avec pour seul lubrifiant, sa propre salive. Il te pénètre profondément jusqu'à la garde, te laissant le temps de bien sentir sa queue glisser en toi, tout au fond de ton intimité. Puis il se retire, aussi lentement, avant de recommencer, doucement, puis plus rapidement.
Et c'est seulement lorsque tu sentiras sa première claque sur ta fesse droite, qu'il commencera à te pistonner plus sauvagement. Faisant des va-et-vient plus vite de plus en plus rapide, ses claques se multiplient sur ta fesse, toujours au même endroit, tandis que les doigts de son autre main s’incrustent dans ta peau. Il te pénètre encore plus fort, jetant une autre claque sur ta fesse, ses coups de plus en plus violents, ses claques de plus en plus fortes.
Puis te maintenant avec encore plus de force, il t'attrape les cheveux, relevant ton menton, il tire ta tête vers l'arrière, enfonçant son pénis extrêmement dure encore plus profondément en toi. Te donnant des coups de butoir encore plus sauvagement.
Tu commences à ressentir du plaisir, alors qu'il te prend contre ta volonté, dans ton propre lit.
Il ralentit peu à peu, jusqu'à se retirer complètement. Il prend le temps de cracher sur ton vagin et d'y frotter son pénis, pour mieux lubrifier ta fente. Glissant son pénis de ton clitoris, jusqu'à ton anus, il recrache une seconde fois, avant de te reprendre de force, enfonçant son membre violemment, dans ton intimité, tirant encore sur tes cheveux, afin de te relever à genoux. Il pose ses mains sur tes seins pour te maintenir et recommence ses mouvements. Sa bouche tout près de ta tête, tandis qu'il te pénètre de force, tu n’entends plus que son souffle satisfait, du plaisir qu'il a, alors qu'il s'insère encore plus loin, en toi.
Il tient fermement tes seins, et d'une main, il tire sur l'un de tes mamelons, tout en te pistonnant, encore plus profondément, son souffle rauque d'excitation, de plus en plus fort. Tu ressens le plaisir monter au bas de ton ventre et tu essaies de le réprimer, tu refuses d'offrir à ton agresseur ce plaisir de te voir jouir de ses coups de hanche.
Puis il te prend par l'épaule d'une main, son autre main sur ta hanche, il s'écarte de toi et va de plus en plus vite, avec son membre, en toi. Il te pistonne encore plus rapidement, plus sauvagement.
Tu l’entends émettre des bruits de plaisir, mais avant même de jouir, il se retire.
Tu sais qu'il n'en a pas finit, alors qu'il te retourne sur le dos. Le poids de ton corps, faisant une pression sur tes bras, tu sens la douleur de tes liens, dont il est toujours impossible de te libérer.
Tu sens ses genoux se poser de chaque côté de ta tête, il prend tes joues entre son pouce et ses doigts et il fait une pression. Si forte, que ça t’obliges à ouvrir la bouche.
Il y glisse sa queue, trempé de ta cyprine. Retenant ta tête, par tes cheveux, il amorce ses mouvements dans ta bouche. Forçant les mouvements avec ta tête, il te force à aller à la rencontre de son pénis. Il pousse un son de satisfaction. Il aime ça, te violer la bouche. Tu es son objet, peu importe qui il est. Tu lui appartiens, à ce moment. Il tient ta tête à deux mains, immobile, puis il commence des mouvements vraiment sauvages, dans ta bouche, allant si profondément que tu en as des hauts le cœur, trois, quatre, cinq coups de hanche, et sans s'arrêter, il va si loin et si vite, que tu crois que tu va vomir, mais il s'arrête.
Reprenant tes cheveux dans sa main, il ne bouche plus. Seulement ta tête, ta bouche coulisse doucement sur sa queue, à son propre rythme. Puis il te retire, maintenant encore ta tête, il te donne des coups de pénis sur les joues. Glissant sa queue contre tes lèvres, avant de s'écarter de toi.
Il attrape tes jambes, les places, jointes sur le côté, il te pénètre une nouvelle fois. Maintenant tes jambes avec son coude, il dépose sa main sur l'un de tes seins. Il commence ses va-et-vient, retrouvant rapidement son souffle de jouissance. Puis il te prend par le cou, de son autre mains, te pistonnant de plus en plus fort, il serre ton cou, avec assez de force pour que tu respires juste un peu moins bien. Il aime ça, tu le sens, tu l’entends.
Il te pénètre sans fatigue, tout en serrant ton cou, il malmène ton sein. Tu ne peux rien faire autre, qu'accéder à toutes ses envies.
Et tu aimes ça être dominé de la sorte.
Puis il se retire et rapidement, te relève, te tirant par le cou. Tu te retrouve à genoux, devant cet homme, dont tu ignores toujours l'identité. Il te tient par le cou à deux mains, l'une d'elle glisse jusqu'à ta bouche, te forçant à accueillir sa queue.
Il pénètre rapidement ta bouche, agrippant tes cheveux, quelques secondes seulement, puis se retirent et tu l’entends se masturber. Il tire sur tes cheveux, positionnant ta tête vers l'arrière, forçant ta bouche à s'ouvrir, il vient sur ton visage et dans ta bouche. Frottant sa queue vibrante de spasmes contre tes lèvres, avant d'emplir ta bouche de son pénis plein de sperme.
Il finit de jouir entre tes lèvres, le laissant atteindre son paroxysme.
Puis tu te réveilles, seule, dans ton grand lit, reprenant tes esprits... Ce n’était qu'un rêve.
Cette histoire de cul t'a excité ?
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !
Pour cela, compose le
Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
Les autres aventures coquines de Cris
Cris
Demoiselle d'honneur
Un beau jour, je reçu le faire part de mariage de ma meilleur amie, Chantal. Je tombais sur le cul en apprenant cette nouvelle. On s'était connu sur les bancs de la faculté. Comme on s'entendait bien toutes les deux, on loua un appartement ensemble au bout de deux mois. On a bien vécu toutes les deux. C'est avec elle que j'ai connu mes premiers émois saphiques.
45 12Ma petite robe noire
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 26/07/2017
Publié le 26/07/2017
Il ne comprit pas mon geste. J’ai dirigé sa main et il a senti ma chatte libre, à l’air, et surtout l’anneau à l’entrée de mon intimité.
Il retira vivement sa main, de peur d’être surpris en flagrant délit ! Il me fixa des yeux, surpris que j’ai osé les porter, que je sois allée jusque-là.
Il me murmura « tu es une réelle salope » avec un petit sourire ! Je me mordis le coin des lèvres et partis vers les toilettes. « Mon guide » avait eu encore un souhait, que j’avais vraiment envie réaliser…
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire X en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!
