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Histoire porno : Son mec découvre sa cachette xxx

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    Histoire porno : Son mec découvre sa cachette xxx

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonjour, je voulais partager ma nuit torride d'hier. En fait, à force de la revivre, il fallait que je l'écrive, et du coup, c'est pour vous aussi.
    Tout a commencé par un sms que j'ai reçu vers 14h au boulot. Autant vous dire qu'on était encore en plein rush au restaurant, mais j'ai senti vibrer mon téléphone, et comme à ce moment-là j'avais les mains libres et pouvait regarder discrètement dans ma poche, j'ai ouvert le message d'Arnaud : "Ah, ah coquine, tu m'avais caché ça ! :-)".
    Ce message m'avait tracassé tout l'après-midi, et je me torturai l'esprit : qu'est-ce que je lui avais caché ? Pleins de choses en fait !! Mon aventure à Paris (pas de quoi mettre un smiley), mon profil d'allumeuse sur internet que je ne consultais que rarement et en toute discrétion, mes textes sur nos exploits amoureux que je vous envoie mais qui sont dans mon ordinateur portable. Mes amants en plastiques étaient quant à eux soigneusement caché dans un endroit que mon mec ne fouillerai pas... Vraiment je cherchais mais ne voyait pas.
    En rentrant le soir vers onze heures, je le trouvais assis devant la télévision, en train de comater devant un enregistrement d'une série policière.
    "Bonsoir chérie, fit-il en coupant la lecture, tu as passé une bonne journée ?"
    Il n'avait pas l'air fatigué, pas l'air coquin non plus... Il avait l'air normal... comme si le message du matin n'existait pas.
    "Oui, et toi ?
    - Et bien j'ai travaillé ce matin sur un projet marketing, et puis à midi j'ai voulu me préparer des crêpes (mon mec est gourmand), et j'ai cherché partout le bicarbonate de sodium... (Aïe ! pensais-je partout ?) et j'ai trouvé ceci..."
    Sa main me désignait un carton placé à côté du fauteuil. Nous avons refait la cuisine à moitié l'hiver dernier, et avions entassé tout ce qui concernait la pâtisserie dans un carton. En pensant tomber sur un carton de farine, il avait découvert ce que j'avais complètement zappé : l'empreinte de mon crime, les emballages vides de mes vibromasseurs!
    Arnaud avait un sourire jusqu'aux oreilles et du coup, j'explosai de rire :
    "J'ai oublié de les jeter, c'est vrai !
    - Tu m'avais prévenu un jour que t'en achèterai, mais y'en a beaucoup !!
    - Oui, j'en ai reçu en cadeau, ou ils se sont plantés en faisant mon paquet."
    Il hocha la tête silencieux. Alors je lui glissai ma main sur son torse musclé et lui susurra à l'oreille : "Tu les as essayé ?
    - Ah non, je les ai pas trouvé ! fit-il d'un ton offensé.
    - Et tu voudrais pas ?"
    Il me fixa d'un air étonné, mais ravi et fini par lâcher : "J'attends que ça depuis mes crêpes".
    Nous nous sommes dirigés vers la chambre à coucher en nous embrassant et nous déshabillant, si bien qu'arrivés aux lit, je pouvais sentir la bite mouillée d'excitation de mon homme contre mes cuisses émoustillées.
    Arnaud m'accompagna sur le matelas en me tenant la nuque avec douceur et commença à me stimuler le bouton de rose.
    "Attends, lui fis-je en me dégageant de son étreinte, j'ai quelque chose qui pourrait t'aider."
    Je sortis de ma table de nuit mon arsenal de vibromasseurs et lui tendis mon préféré, le petit violet. Arnaud le saisit et me ragarda d'un air très coquin.
    "Ils étaient là ?
    - Oui, au cas où..."
    Il tourna l'embout et senti l'objet s'animer à une allure différente au fur et à mesure qu'il le tournait.
    "Ils fonctionnent tous comme ça ?"
    J'hochai la tête et guidai sa main outillée vers ma chatte impatiente.
    Mais mon homme enleva ma main et la bloqua avec ma deuxième main au dessus de ma tête.
    "Laisse-toi faire."
    Il me promena le vibromasseur sur ma poitrine, descendit vers le bas-ventre en dessinant des spirales sans fins, puis il glissa sur mes cuisses et enfin remonta vers mes lèvres mouillées de désirs et effeuilla presque mon minou pour y découvrir mon bouton magique.
    Rapidement je sentis l'envie qu'il me l'enfonce profondément, et une sorte de courant électrique dans mon bas-ventre. Je le suppliai qu'il le fasse, mais il m'empêchait de bouger les mains et continuai à me masser le clito. C'était encore plus agréable fait par mon mec.
    D'un coup, Arnaud me libéra et m'ordonna de mettre mes mains derrière mon dos, il saisit un autre de mes gods, le plus gros et me le glissa lentement dans ma chatte trempée. Il le sortit les le rentra à nouveau puis actionna le mode vibreur à fond. Les deux sensations mélangés de jouissance étaient fabuleuses et je me laissai aller au plaisir. Il accélara le rythme et augmenta la puissance du petit vibro sur le clito. Mon souffle était de plus en plus court, mes hanches étaient secouées de spasmes involontaires au rythme de mon homme, et enfin, dans un moment d'extase et d'apnée, je fini par jouir violemment.
    Cela semblait durer une éternité, et pas assez longtemps en même temps.
    Arnaud repris son souffle et me retira les deux accessoires.
    "On va essayé autre chose" fit-il.
    Il me souleva et me retourna contre lui, de sorte que j'ai mes fesses contre son sexe bandant, puis il m'enfonça le gros god dans ma chatte :
    "Tiens le et quand je te dirai de le faire des allers et retours, tu le feras, jusqu'à ce que je te dise stop."
    Il pris alors le petit bien lubrifié et me le rentra dans le petit trou. Je senti le faux prépuce en moi, puis les fausses veines puis il le fit pivoter et enclencha la petite vibration. Heureusement que je tenais le mien, je mouillai tellement qu'il sortait tout seul.
    "Vas-y."
    Je m'empalai et désempalai de mon jouet, en décalage de celui qu'il entrait et sortait de mon cul. Je ne pouvais retenir des gémissements de jouissances. Comme j'aimais ça. Me faire défoncer par les deux troux... Je lui demandai d'aller plus vite et accélérai aussi. En mode vibro et non vibro. Je sentais le corps d'Arnaud chaud contre mes fesses, sa queue se frottait à moi, elle bien vivante... Je la voulais en moi, l'imaginai... Il me fit jouir encore une fois, jusqu'à ce que je ne tienne plus et m'écroule sur le matelas, haletante.
    Mais Arnaud n'avait toujours pas fini, il retira les deux gods, me ramena vers lui dans la position de la levrette, et là, il me chevaucha comme un fou avec sa queue bien réelle, douce après le passage des autres.
    "C'est mieux avec moi ? hein ? me demanda-t-il en ponctuant ses mots par des coups de reins puissants.
    - Oui.
    - Dis-le que c'est mieux avec moi !
    - Oui, c'est mieux avec toi.
    - Encore.
    - Oh oui, chéri, c'est mieux avec toi !"
    Je sentis le corps entier de mon homme se contracter et se détendre... et le liquide chaud de mon homme exploser en moi. Nous nous sommes écroulés dans les draps, complètement épuisés, ivres de bien-être.
    "J'aime tes jouets, ils m'économisent", me souffla Arnaud avant de m'embrasser tendrement sur le front et de se retourner pour s'endormir.
    C'était vrai, on s'était envoyé en l'air pendant presque une heure ! J'ai adoré cette manière de faire l'amour. J'ai aimé mon Arnaud directif et entreprenant, et j'ai hâte de voir la suite.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par cochon17 :
Pourquoi pas remplacer les vibros par de vrais queues devant ton mari!!!!!!!!
Posté le par briscard :
bien la baise avec les vibros et le sex
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