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Recit X : Son prof la baise et elle adore ça !

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    Recit X : Son prof la baise et elle adore ça !

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Je sais très bien que je ne devrais pas éprouver tout cela, mais suis-je véritablement la maîtresse de mes pensées profondes les plus obscures et secrètes ?
    Certainement pas...
    Eh oui, je désire un homme qui m'est strictement interdit : mon professeur d'EPS.
    Cela fait plus de trois ans maintenant que j'ai envie de lui, depuis ce temps, c'est à partir de ce début d'année que les « choses » ont commencé entre nous, disons que maintenant, j'engage souvent la conversation avec lui et puis aussi, je me suis inscrite aux cours de sport qu'il dispense chaque mercredi.
    Si bien que maintenant, mon jour favori de la semaine s'avère indéniablement être le mercredi, le jour où j'ai le bonheur ultime de passer trois heures près de lui...
    Lorsque j'ai sérieusement commencé à faire connaissance avec lui, j'avais très peur qu'il me rembarre ; je dois reconnaître en effet qu'il n'est pas d'une nature sympathique et chaleureuse, étant plutôt volontiers râleur, autoritaire et sérieux...
    Mais, à mon égard, il se montra particulièrement gentil, doux et détendu, ce qui bien entendu m'encouragea.
    Depuis que nous nous sommes rapprochés grâce à ma brusque assurance de femme, ma meilleure amie, qui désapprouve totalement mes ressentis, s'est très éloignée de moi, elle me met pourtant souvent en garde contre notre prof d'EPS, le traitant littéralement de vieux vicieux, elle s'est écriée un jour, presque devant lui : non mais tu as vu, comme il te couve du regard celui-là ! Et puis pourquoi il te parle d'une voix si bizarre ?
    En effet, dès qu'il s'adressait à moi, il s'exprimait d'une voix étrangement aiguë, on aurait dit même qu'il est tout essoufflé !
    Sa voix m'excitait ainsi, ce n'était pas celle qu'il employait d'ordinaire qui était méprisante, grave et moqueuse même si celle-ci m'excitait aussi toute aussi incroyablement, je préférais tout de même qu'il me parle d'une manière presque tendre en penchant sa tête vers moi tel un amant après des ébats particulièrement sauvages...
    S'il n'y avait que sa voix et son autorité, qui m'exciterait, je serais sortie d'affaire !
    Mais il y a pleins d'autres éléments fortement excitants chez lui : ses grands yeux sont d'un sublime bleu délavé, ses épais cheveux sont poivre et sel sont disciplinés comme s'il faisait des brushings, les traits de son visage appelle à une virilité plutôt amère, son front haut est souvent plissé, ses mains sont grandes pourvues de longs doigts épais dont j'ai l'irrépréhensible envie qu'ils les enfoncent dans tous mes orifices existants...
    De plus, il est plutôt grand, il dépasse le mètre 80 à coups sûrs, il est bien bâti, ses épaules sont admirablement carrées, son fessier ferme est juste sublime, il se dessine clairement divin et stimulant sous le tissu de son jogging, parfois, c'est amusement excitant ; le tissu se coince dans son cul parfait, l'exhibant davantage et lui ne se rend compte de rien !
    Bon sang, mais qu'est-ce que c'est excitant d'avoir la quasi-certitude qu'il ne porte strictement rien sous son jogging !
    Ce qui est regrettable, c'est que le devant est toujours caché par son blouson, c'est véritablement regrettable de chez regrettable même, pareil spectacle serait bien capable de me faire faire un malaise !

    Le Mercredi 8 avril est une date totalement mémorable pour moi...

    Tout avait très bien commencé ce jour-là !
    J'étais de bonne humeur et m'apprêtais à passer l'après-midi avec mon professeur chéri, j'avais pour l'occasion revêtit une jupe-short avec un débardeur bien échancrée, tout comme lui, j'avais décidé à la dernière minute de ne pas porter de sous-vêtements à l'exception près d'un joli soutien-gorge de dentelle rouge...
    Je portais, bien imprégné sur chacun de mes vêtements, le parfum L'interdit de Givenchy qui je trouve s'accorde bien avec la Nuit de l'Homme d'Yves Saint-Laurent qu'il porte chaque jour.
    Je me souviendrais durant toute ma vie, le temps considérable que j'avais mis pour trouver son parfum !
    Comme d'habitude, alors que nous marchons jusqu'au bâtiment où se situe le tennis, je suis à ses côtés...
    Ce fameux après-midi-là, il me félicite, car j'ai battu tous mes adversaires à plat de couture.
    Je suis la première à sortir des vestiaires avec l'ultime espoir de voir encore l'homme que j'aime, je le vois marcher en direction du portail et me dépêche de le rattraper.
    Ainsi, il me tient le portillon, je le remercie d'un sourire et passe avant lui, une brise soulève ma jupe, je ne tire pas dessus, non, je veux qu'il regarde qu'en son honneur je n'ai rien mis...
    Je surprends son regard où je veux et cela fait battre à tout rompre mon cœur, alors que je reste, quelques secondes, planté face à lui, il me déclare soudain d'un ton fort sévère en m'affrontant du regard : Je vais te raccompagner, ok ?
    Je réplique avec amusement :
    — Vous n'avez rien à faire ?
    Il secoue la tête en souriant.
    — Non non !
    — Parfait, vous savez mes parents ne rentrent pas avant 20 heures...
    — Humm, souffle-t-il.
    Côte à côte, nous marchons donc, c'est lui qui décide de la direction à emprunter...
    Nous allons au parc, là où il repère un espace désert avec un banc, il s'y assoit, je m'apprête à faire de même, mais il m'ordonne l'air grave d'avancer vers lui, je m'exécute, il me bloque alors de sa jambe, il me susurre de m'empaler sur sa cuisse, je m'exécute encore...
    Il fait sautiller sa cuisse où j'ai pris place, mon sexe libre s'y frotte avec délectation. Déjà, j'émets de petits » ah » qui le font sourire.
    Soudain, sa main s'aventure sous ma jupe, il caresse d'abord mon clitoris avant d'appuyer dessus ce qui me fait onduler des hanches, il insère un doigt en moi tout en disant : Tu es une sacrée petite salope, dis donc ! Le cul à l'air comme ça devant moi, tu es en chaleur, c'est ça, baby !
    Je ne peux que confirmer ses dires d'un souffle puis je l'embrasse à pleine bouche en enroulant mes bras autour de son cou.
    Il me présente son pouce et me le met dans la bouche, je le suce avec appétit puis il rejoint son index en moi...
    Je me trémousse sous ses doigts d'homme expert puis d'un seul coup, c'est plus fort que moi, je crie : Monsieur, foutez-moi votre queue dans ma chatte de chienne et remplissez-moi de votre foutre dans un jet puissant !
    En criant cela, je me rends compte que son autre main est dans son jogging, et qu'il est tout bonnement en train de s'astiquer en me fixant.
    — Moins fort en va nous entendre !
    — J'arrêterai de crier si vous me montrez votre bite ! Promis !
    Il rit puis me prend entre ses bras et répond autoritairement :
    — Un peu de patience, ma jolie ! Je vais t'emmener chez ma sœur, elle a un appart a deux minutes d'ici et elle n'est pas là.
    Plus excitée que jamais, je l'embrasse sur le front et je lui réponds :
    — dépêchons-nous d'y aller s'il vous plaît, je n'en peux plus !
    Il rit de plus belle, dévoilant ses dents parfaites et éclatantes.
    — Pourquoi est-ce que tu continues à me vouvoyer après ce que tu oses me dire ? Tutoie-moi donc et appelle moi Vincent.
    — Pas de problème !
    Ah, Vincent, un si beau prénom, viril et élégant ! songeais je.
    Il me repose sur la terre ferme, me soutient d'un bras et m'y emmène donc...
    Arrivés, il me porte jusqu’à une chambre à coucher où les volets sont déjà fermés.
    L’un appuyé contre l’autre, nous nous déshabillons furieusement, j’adore la manière dont il défait l’agrafe de mon soutien-gorge avec ses dents, mon dieu tout cela, ce n’est pas croyable !
    Mes mains ont beau être plus tremblantes que jamais, n’empêche qu’elles sont toujours bel et bien opérantes pour retirer tous les vêtements de Vincent...
    Une fois que nous sommes totalement nues, nous nous enlaçons tout en nous embrassants, j’en profite aussi pour admirer le corps musclé sans nulle imperfection de Vincent à l’instar d’une cicatrice barrant son pectoral gauche et une autre sur sa hanche, mais je trouve que cela lui certifie un charme qui va de pair avec son caractère bien trempé...
    Debout, il me prend tellement vigoureusement, que je peine à enrouler mes jambes autour de lui, je glisse donc mes bras sous ses aisselles.
    Au bout de dix minutes, il me couche sur le lit et me cloue au matelas de ses hanches, d’un seul coup, il se redresse puis se met à frapper en moi comme s’il était en train d’exécuter des pompes, sa main droite prend appui sur une de mes clavicules et l’autre maintient ma tête...
    Tout cela est infiniment bon, trop bon même !
    Sa sublime queue bien veinée qui ressort, ré-entre et ainsi de suite me tente diablement, je sens ses poils pubiens me titiller agréablement...
    Entre deux baisers, je lui souffle que je désire l’avoir dans la bouche, il se dégage donc, s’assoit sur le bord du lit, je me mets à mes genoux sur le parquet et colles le haut de mon corps entre ses jambes, là où je saisis d’un geste tendre son pénis et le porte à ma bouche, je commence immédiatement à le sucer goulûment tout en faisant glisser ma main tout le long, appuyant du bout des doigts sur les veines épaisses le parcourant...
    Il glisse une main dans mes cheveux et me pousse pour que je l’engloutisse davantage, il se baisse soudain pour pouvoir de son autre main me caresser délicieusement.
    Alors qu’il s’apprête apparemment à jouir, il me place entre l’étau protecteur de ses bras, hanches cognant contre hanches, il recommence ses à-coups démesurément puissants en moi jusqu’à ce qu’il se répande énormément en moi tandis que mes propres muscles enserrent sa verge, manifestant ma jouissance...
    Avec brutalité, il s’écroule sur le lit, m’entraînant avec lui dans sa chute, il saisit à pleines mains mes seins, les lèche puis les suce ; tout à coup, il me fait rouler sur le côté, se place au-dessus de moi et frotte son pénis sur l’un de mes tétons puis il entreprend dorénavant de le coincer avec une rare habilité entre mes seins et il s’y frotte avec application, mes seins se rejoignent en l’emprisonnant au son de ces « arghhh » jouissifs et teintés d’une rare virilité...
    Mon index, de son ongle verni stimule son gland en y marquant des caresses et fait mine de le griffer.
    Il ne tient pas longtemps, se répandant dans toute sa splendeur, sa semence chaude s’écoule le long de mon corps, atteignant rapidement les draps. Je suis trempé du sperme de mon bien-aimé et j’aime cela, tout à fait !
    Je suis là, dans une chambre qui n’est pas la mienne en compagnie de mon merveilleux amant qui n’est d’autre que Vincent, mon propre professeur !

    L’interdiction bravée nous remercie en nous livrant l’un contre l’autre à une intense et majestueuse jouissance...
    Maintenant, les yeux trop pâles de Vincent dans la pénombre m’affrontent avec calme, il esquisse un joli sourire faisant apparaître ses belles rides, signe de son expérience si riche en tout domaine.
    Je soupire de bonheur. Quelle chance j’ai d’être à l’instant présent avec lui ! Je l’aime tant...
    — Allons prendre une douche, d’accord ?
    Je hoche la tête et accepte la main qu’il me tend me guidant jusqu’à ladite salle de bains.
    Sous la douche, il me reprend encore, cette fois-ci en levrette, les mains appuyées contre la paroi de la vitre qui manque de justesse d’exploser à deux reprises ce qui déclenche un certain amusement chez Vincent comme chez moi...
    Armé, du gel douche, il désire maintenant me laver, je le laisse faire et fais bien entendu pareil pour lui, cela me déroute quelque peu, auparavant, que je sache, je n’ai encore jamais lavé un homme, mais j’imagine que c’est relativement simple, voyons !
    Mes gestes sont décidés mais doux, on dirait plus que je le masse qu’autre chose, cela semble le détendre, les yeux clos, il se laisse explorer à ma guise, j’en profite donc pour m’attarder sur les parties qui m’excite le plus.
    Lorsque ses yeux s’ouvrent à nouveau, il se penche et m’embrasse longuement.
    Vincent me demande soudain, la mine grave :
    — Est-ce que tu penses à moi lorsque tu es seule dans ton lit ?
    — Oui, beaucoup, avouais je.
    — Te caresses-tu en m’imaginant ?
    — Oh que oui ! Et toi ?
    — Ça m’arrive souvent et je me masturbe face au miroir de ma salle de bains en disant que la glace que j’asperge abondamment n’est d’autre que toi...
    Je rougis, à nouveau envahie par le plus ardent désir.
    — Es-tu fontaine ?
    Je secoue la tête. Fontaine ? Qu’est-ce que cela veut donc signifier ?
    — Veux-tu que je déclenche ça en toi ?
    Plus curieuse et délurée que jamais, j’appose mon consentement en frémissant.
    Sous ses ordres, je m’assoie donc sur le meuble de la salle de bains, il fouille dans les tiroirs pour en sortir un tube de lubrifiant, sous mes yeux ébahis, il en tartine une bonne couche sur sa main et me souffle d’écarter un maximum mes jambes et de les lever pour ainsi prendre bien appui sur ses épaules...
    J’y arrive avec une infinie souplesse m’étonnant de moi-même.
    Il enfonce trois doigts en moi, je crie, car cela fait un peu mal malgré le fait que son sexe m’a auparavant bien détendue...
    Il rajoute du lubrifiant sur sa main et réussit ainsi à faire entrer tous ses doigts.
    Tandis que je mords ma lèvre, il pousse un bon coup et sa main entre complètement, jusqu’à son poignet, il commence à bouger, mais cela est trop douloureux alors je pousse des cris de douleur.
    — Oublie ta douleur chérie ! Et tu verras !
    Je me détend et laisse mes jambes s’étaler le long de son dos, je sens son bras soutenir mon bassin et m’incliner davantage, je me détend et il commence alors à remuer encore et encore, même pas cinq minutes plus tard, une nouvelle jouissance jusqu’ici inconnue s’empare de moi, j’ai l’impression d’avoir été submergée d’un tsunami à l’intérieur de moi-même, quand Vincent sort sa main, elle est toute trempée d’un liquide épais et plutôt transparent, étonnée mais encore excitée au plus haut point, je vois de mes propres yeux, Vincent qui lapes sa main, il me souffle au creux de l’oreille en m’agrippant fort par les cheveux : « la cyprine de ma petite salope préféré a bon goût ! ».
    Il m’attribue une grande claque sur les fesses avant de me plaquer tout contre lui pour m’embrasser encore tout en me disant : « Ça te dit de recommencer mercredi ? »
    — Oui mais d’ici là, ne te plains pas si je suis encore affamée !
    — Ça tombe bien, je suis aussi insatiable que toi, on dirait ! Branle-moi avant de partir !
    Je me mets à ses genoux et saisis à nouveau son sexe, je fais frotter le bout tout contre mes tétons, cette rencontre est bien entendu explosive, tout en continuant cette action, je me mets à mordiller délicatement ses testicules, il recommence ainsi à émettre ses « arghhh » ce qui m’encourage à continuer encore un peu...
    Ensuite, je m’en empare d’une véritable main de fer et le serre fort, un peu trop fort même jusqu’à ce qu’il crie : Ahhhh, putain, ce que c’est bon !
    J’avale son sexe le plus dont je suis capable, manquant même de m’étrangler, il fait bouger ma tête, ainsi, il bouge lui aussi dans ma gorge.
    D’une voix rauque et autoritaire, il dit soudain : Attention ma chérie, ça va arriver !
    Et cela arrive en effet, à peine quelques secondes plus tôt, il se retire aussitôt pour me laisser savourer tout son sperme, son jet démesurément puissant et inspiré m’a bien envahie...
    Le goût de son sperme quoique âcre à une saveur bien particulière : celle de mon homme, celui que j’aime tant.
    J’apprécie son offrande, lèche le coin de mes lèvres avec sensualité devant lui et décide de ne pas aller rincer ma bouche comme il le désire.
    Il m’attire à nouveau à lui en insistant en prenant une voix aussi douce que du miel.
    Je refuse à nouveau tout en caressant ses cuisses musclées.
    Je me demande bien quelle heure il est désormais, il n'est probablement pas loin de vingt heures, le coucher de soleil se dessine par la petite fenêtre.
    Il me reconduit jusqu’à la chambre, nous nous allongeons l’un contre l’autre, assez fatigués...
    L’anneau d’argent qu’il porte à son oreille droite et sa montre d’acier brillent étrangement dans la pénombre régnant dans la pièce, ses yeux magnifiquement bleus me regardent avec une tendresse qui me touche alors que je me colle tout contre sa hanche.
    Sa montre indique qu’il est 21 h 53,
    Mes parents vont se demander où je suis passée, zut alors !
    Mes parents vont se demander où je suis passée, zut alors !
    Lentement, en effleurant ma peau, il me rhabille.
    C’est à mon tour ensuite de le rhabiller, mais il refuse avec amusement, prétextant qu’un jogging est assez pénible à enfiler.
    Admirative et amoureuse, je l’observe donc, remettre son jogging et son sweat avec de grands gestes vifs, trahissant son impulsivité de toujours...
    Ensemble, nous sortons donc, nous sommes les seuls, l’heure du couvre-feu étant dépassée, je ne résiste pas à la tentation de serrer sa main fort dans la mienne, un large sourire aux lèvres.
    Il me fait basculer dans ses bras, plonge la tête dans mon décolleté pour m’embrasser langoureusement à la naissance des seins puis je l’enlace, il me plaque contre le mur environnant et m’embrasse en faisant courir ses mains le long de mon débardeur.
    Je sens son sexe qui n’est pas encore revenu à sa taille initiale, tout contre ma hanche.
    Je caresse ses cheveux gris, étonnamment doux, qui rebiquent, frôlant ainsi mon front lorsque nous nous embrassons...
    Mon téléphone retentit, troublant la magie du moment, je soupire et m’en empare, c’est mon père, je décroche donc, je lui dis que je rentre sur-le-champ et que je m’excuse déjà pour le retard, apparemment, il s’en moque, tant mieux !
    Après un dernier baiser passionné, Vincent et moi sommes donc contraints de nous séparer...
    À mesure que je m’éloigne, je prends conscience que lui est à l’arrêt, m’observant d’un air bravache, les bras croisés et la mine fière.
    Je me retourne, il me fait signe, en retour, je lui envoie un baiser, le cœur affolé et remplit d’un fou espoir...
    J’ai déjà hâte d’être à nouveau mercredi !







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Cette histoire de cul t'a excité ?

Alors écoute maintenant toutes nos histoires racontées d'une manière très sensuelle !

Pour cela, compose le
Télephone rose récits érotiques
et fais-toi plaisir ;)
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