Histoire de cul : Tu m'excites, je t'aime !
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Histoire de cul : Tu m'excites, je t'aime !
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 19/10/2022
Publié le 19/10/2022
Voici un texte que j'ai écrit à ma copine, comme je lis vos récits sur Dialogue69 depuis quelques années maintenant je me suis décidé à publier ! C'est un peu inhabituel, j'espère que ça vous plaira ! Bises, S.
Un après-midi pluvieux
Cette après midi là nous sommes réfugiés chez toi, à l’abri de la pluie qui
englobe la ville. Je regarde Kaamelott pendant que tu travailles sur ton ordinateur
à ta table basse.
Levant le regard vers toi je suis impressionné par ta grande concentration, tu
ne quittes pas l'écran du regard et tapes sur le clavier à toutes vitesse. Je me
perds rapidement dans les traits sérieux de ton visage... Tu es vraiment mignonne
quand tu es concentrée. Je commence à suivre du regard les courbes de ton
corps, m'attardant sur tes belles jambes... Oh je sais combien ta peau matte est
douce sous mes doigt... Je remonte mon regard et devine tes fesses à travers ton
short léger… Qu'est ce que j'aimerais les prendre dans mes mains ! Tout en toi me
fait vibrer, mes sens sont perturbés, et je sens une chaleur m’envahir.
C'est alors qu'en dégageant les cheveux de ton visage tu te tournes vers
moi. Je lèves vite les yeux, mais je devine à ton petit sourire amusé que tu m'as
surpris...je te fixe et tu rougis un peu. "Qu'est ce qu'il y a ?" me dis tu d'une voix des
plus curieuses, mais plutôt que de te répondre je fixe tes lèvres pulpeuses, que
j'aimerais les embrasser ! Tu as du deviner quelque chose dans mon
comportement, car tes yeux descendent immédiatement sur mon entrejambe.
"Mais tu bandes !?" Tu souris, à la fois amusée et flattée par la bosse qui est
apparue dans mon caleçon.
"J'ai envie de te faire hurler", je lâche.
Tu dois en avoir marre de travailler car à ma surprise tu prends un air angélique et
me réponds "Je finit mon paragraphe, et après je veux bien te sucer !"
Je fixe ta bouche entrouverte et ma queue frémit dans mon caleçon, quel
bonheur ce serait d’exploser entre ces lèvres si pulpeuses, si délicates, si douces...
Mais j'ai une autre idée en tête. Je me lève, et quittant la pièce je te réponds :
"Non je veux te faire hurler d'abord, ne traînes pas trop !"
Mais je sais déjà que la curiosité va te faire craquer et que le paragraphe
pourra attendre. En effet, il te faut à peine deux minutes pour me rejoindre dans la
chambre. Je suis assis sur le lit devant toi et tu t'approche pour m'embrasser, mais
je t'arrête : « Je veux te faire jouir, alors on va jouer à un jeu, d'accord ?
-Euh d'accord...
-Tu me fais confiance ?
-Oui
-Alors laisse moi faire, tu m'arrêtes quand tu veux ! »
Tu acquiesce et je me lève, t'embrasse la nuque doucement et soulève tes bras
pour retirer ton tee-shirt, révélant ainsi tes superbes seins ronds que je ne peux
m'empêcher de fixer avec désir.
Mes mains glissent jusqu'à tes anches bombées, passent sous l'élastique, caressent
tes fesses fermes, et font tomber ton short à tes pieds.
Puis, je passe dernière toi, et tenant ta poitrine dans mes mains, je me colle
doucement à toi. Tu t'appuies plus fort tes fesses contre mon sexe tendu, et un
gémissement s'échappe de ta bouche lorsque mes indexes roulent sur tes tétons.
J'approche ma bouche de ton oreille, et te murmure : "Je veux un contrôle total
sur toi… donnes moi tes mains…"
Tu hésites un instant, tu sais que je vais t'attacher, et tu as un peu peur. Mais tu dois
te sentir prête, car lorsque mes doigts effleurent de nouveau t'es tétons, tu ondules
ton joli cul et montes tes mains jusqu'aux miennes. Je les tiens ensemble et te fais
asseoir sur le lit. Puis, je ramasse ma ceinture, et te la passe sur tes jambes en me
relevant. Tu frémis, et me tends tes mains. Je les attache doucement, serrant assez
pour que tu ne puisse te libérer. Puis je fais trois pas en arrière, et te dévore
entièrement du regard, pas un centimètre de ta peau n’échappera à mon désir…
Je veux te faire attendre, j'adore ça! Alors je me retournes et me déshabiller
entièrement. C'est à ton tour de me contempler. Je me caresse les fesses, et me
retourne doucement. Tu mords tes lèvres quand je commence à caresser mon
sexe gonflé. Après quelques minutes de ce petit jeux tu n'en peux plus, tu ne le dis
pas, mais je le devine à ta culotte qui s'humidifie maintenant à vue d’oeil.
Soudain, tu te laisses tomber sur le dos et roules sur le ventre, appuyant ton
entrejambe sur tes mains liés. Je dois réagir vite pour arrêter cette masturbation
fulgurante, et un gémissement s’échappe de ta bouche lorsque ma main s'écrase
sur tes fesses ! Je frappes encore et le gémissement se répète.
"Quelle petite coquine, tu aimes ça en plus...
-Oui... encore…" Tu supplies.
Mais d’abord je te force à t'accouder pour t'empêcher de te toucher. Tu es
maintenant à quatre pattes, et tu tends ton cul vers moi. Ma main se lève, et
claque encore plusieurs fois. Tes fesses rougissent, tes cris de plaisir me rendent
dingue, alors j’arrache ta culotte et t’écarte les fesses de mes grandes mains,
dévoilant une petite chatte dégoulinante de mouille. Mes doigts s’engouffrent, et
je te caresse sans délicatesse. Tu gémis maintenant de manière régulière. Je suis si
dur, j’ai tellement envie de te foutre ma grosse queue, mais je sais que c'est tout
ce que tu attends. Mon indexe glisse dans ton vagin brûlant :
« Humm, oui... prends moi...
-Tu es trempée, petite salope, je rentrerais tellement facilement...
Le majeur rejoint alors l’index.
-Ahhh, ouii, je te veux, mets la moi...
-Ah oui ? Malheureusement tu devras attendre mon amour.
-Nonnhh, baise moi, défonce ta petite salope... »
Je n’en peux plus, ma bite et tellement dure, j'ai tellement envie de toi. mais je
veux te faire attendre, te faire mourir de désir...
Alors je te fais t'allonger sur le dos, j'attrape le l’extrémité restante de la
ceinture, et je l'attache au pied du lit, de sorte que tu es étendue de tout ton long
clouée au matelas. Tu m’insultes, mais je ne t’écoutes plus.
J'entreprends de caresser ton corps haletant. Sous mes caresses tu gémis, cherche
à te peindre, mais les mots que tu bredouilles se transforment vite en un murmure
de plaisir. Mes doigts descendent le long de tes bras... griffent délicatement ta
nuque... contournent tes seins et effleurent tes mamelons gonflés. Ils descendent
sur ton ventre, et tout doucement, s'approchent de ton entrejambe. Tes cuisses
s'éclatent d'une pression de mes doigts, et ta vulve gonflée de désir apparaît à
portée de main.
Je glisse sur ta peau, droit vers ton intimité, je la frôle, et te laisse ressentir la chaleur qui émane de ma main. Quelques secondes passes, mais déjà je redescendent sur tes cuisses. De tes lèvres s’échappe un minuscule « touche moi », et tu tentes de te débattre, ultime défense face à cette nouvelle frustration. Mais tes mains sont solidement attachées, et je maintiens avec force t'es jambes écartées devant moi, alors tu te calmes.
Une fois que tu es immobile je t'embrasse le mollet, et mes baisers remontent
doucement jusqu'au haut de tes cuisses. Tu es trempée, ton odeur sature tout mes
sens, et mon excitation grandit encore. Je veux te dévorer... mais je me contente
de laisser mon souffle chaud glisser sur ton con excité. Tu gémis encore, dans un
mélange de colère et de plaisir.
Je me relève, et te regarde droit dans les yeux... j'y lit tant de contradiction,
tant de haine, et pourtant tant de désir, tant de crainte, et surtout tant d’amour.
C'est exactement l'effet que je recherchais, alors doucement je fais passer tout
mon corps au dessus de toi, puis m’abaisse lentement. Mes lèvres se posent au
coin de ta bouche. Tu n'ose pas me rendre mon baiser, mais je me baisse encore.
Nos corps se collent, et enfin, ma verge tendue se pose sur ton sexe. Tu soupire de
soulagement, me regarde avec conviction, et m'embrasse à pleine bouche.
Ton baiser me fait frémir, et mon gland caresse maintenant librement ton
clitoris durci. Je lève la tête pour lire la délivrance dans ton regard. Bientôt tes yeux
se ferment, ton corps se crispe, ta bouche s'ouvre. Pendant un temps qui semble
ne jamais finir tu fonds, tu tremble tu soupire, tu explose au plus profond de tes
entrailles. Enfin, tu te crispes une dernière fois, de tout ton corps, et tu t’effondre,
détendue, épuisée, soulagée, libérée de ma cruauté. Imbue de mon amour.
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