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Histoire de sexe : Un bon 69 entre deux hommes

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    Histoire de sexe : Un bon 69 entre deux hommes

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonjour à tous et en particulier aux gays de dialogue69 qui me liront.

    Je suis gay moi-même, j’ai vingt-sept ans, je m’appelle Jean-Baptiste et j’habite Paris.

    Avant-hier, il m’est arrivé une histoire aussi inattendue que complètement extraordinaire. J’étais dans le métro, ligne 9, et je rentrais chez moi, après une journée harassante au boulot. C’était l’heure de pointe et, naturellement, le métro était bondé. Nous étions à touche-touche, debout et serrés les uns contre les autres comme des sardines en boîte.

    A ma droite, mais légèrement en retrait, se trouvait un grand gaillard brun que, pris dans mes pensées, je n’ai pas remarqué aussitôt. Ce n’est qu’avoir ressenti le souffle de son haleine dans mon cou que j’ai tourné légèrement la tête vers lui. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’il me décrocha un léger sourire… auquel je répondis à mon tour en souriant imperceptiblement.

    Bien qu’il soit très beau, j’ai détourné mon regard de lui pour replonger dans mes pensées.

    Les stations passent, des gens montent, d’autres descendent et nous sommes toujours aussi comprimés les uns contre les autres.

    Et voilà que la cuisse du bel inconnu touche la mienne et s’y maintient comme soudée. Le contact de la chaleur de sa jambe provoque aussitôt chez moi une sorte de bien-être, sans compter la tiédeur de son souffle qui continue de me donner des frissons dans le cou.

    Voilà qu’il me dit tout bas :

    - Excusez-moi, je descends à la prochaine station.

    Je ne sais pas ce qui s’est passé en moi, mais j’ai éprouvé une sorte de tristesse.

    A la station Oberkampf, les portes s’ouvrent. Le bel inconnu se fraye un passage en direction de la sortie. Et moi, qu’est-ce que je fais, est-ce je prends le risque de le suivre ou est-ce que je continue le trajet jusqu’à Buzenval où je réside, au risque de passer une mauvaise soirée en ruminant que j’ai peut-être laissé passé la chance de ma vie ? Je sais que je n’ai que quelques secondes pour réfléchir.

    Ni une, ni deux, et alors que la sonnerie qui annonce la fermeture imminente des portes retentit, je me précipite vers la sortie, n’hésitant pas à bousculer de toutes mes forces les personnes qui me barrent le passage.

    Arrivé sur le quai, je le vois au loin. J’aime sa démarche féline et légèrement chaloupée. Je me prends penser que je serais dans le même lit que lui…

    De loin je le suis, accélère le pas lorsque lui-même l’accélère ou le ralentit lorsqu’il s’arrête pour chercher quelque chose dans sa poche intérieure de blouson.

    Il reprend sa route, monte les escaliers en direction de la sortie tandis que je ne suis plus maintenant qu’à une dizaine de mètres de lui.

    Arrivé à l’air libre, il s’arrête un instant et s’allume une cigarette, à priori son briquet ne arche pas.

    Il s’immobilise, on dirait qu’il attend quelqu’un.

    Je ne sais quoi faire. Passer mon chemin, passer devant lui sans lui adresser la parole ?

    C’est lui qui me l’adresse :

    - Excuse moi, tu aurais du feu ? me dit-il en me tendant son paquet de cigarettes ouvert.

    - Non désolé, je ne fume pas.

    - Tu t’appelles comment ?

    - Jean-Baptiste, et toi ?

    - Geoffroy.

    Nous engageons la conversation, le courant passe très bien. Je crois bien que, l’un comme l’autre, nous exécutons notre plus beau numéro de charme, il n'y a plus de doute il est gay.

    Il me propose de venir prendre un verre chez lui, ce que j’accepte aussitôt. Évidemment.

    Une fois chez lui, je n’en reviens toujours pas de me retrouver dans ce bel appartement avec un si beau garçon dont je sais maintenant qu’il a exactement le même âge que moi.

    A peine a-t-il refermé le verrou de sa porte d’entrée qu’il écrase ses lèvres sur les miennes, m’enlaçant, m’emprisonnant dans ses bras musclés.

    - Excuse-moi mais j’en avais trop envie ! me dit-il après ce long premier baiser fougueux.

    Ce qui m’étonne dans cette affaire, c’est pourquoi ce mec si beau a-t-il envie de moi ? Sans être un thon, je ne m’estime pas être un canon non plus. J’ai assez vite la réponse :

    - Je te trouve très mignon et tu m’excites ! m’avoue-t-il en accentuant son accent méridional que je n’avais pas encore vraiment identifié.

    Comme quoi, les goûts et les couleurs, hein !

    Comme promis, Geoffroy nous prépare deux verres que nous dégustons, côte à côte sur le canapé, en continuant de faire connaissance. Mais c’est bien dur de discuter en oubliant la pelle violente et savoureuse que nous nous sommes échangée sitôt arrivé chez lui.

    Bien vite, oubliant nos verres, nous nous enlaçons, bouche soudées l’une à l’autre. Ma langue répond à la sienne, en de douces frictions chaudes et humides.

    Comme deux ados pressés de faire l’amour, nous nous déshabillons mutuellement, jusqu’à tout enlever, chaussettes comprises.

    Le corps de Geoffroy est magnifique, musclé juste ce qu’il faut, un peu comme moi qui pratique le judo.

    Nos bites sont en érection, forcément. Alors que je reste assis sur le canapé, Geoffroy vient se mettre à genoux entre mes cuisses que j’écarte légèrement pour lui laisser de la place.

    Sa belle bouche d’homme vient dans un premier temps embrasser mes couilles, puis les lèche copieusement avant de les gober l’une après l’autre.

    Sa langue remonte la hampe de ma queue en la léchant de tous les côtés. Et enfin, soulagement suprême, sa bouche happe mon gland et se met à le sucer comme un gros bonbon savoureux. Je regarde les joues de Geoffroy que mon gland déforme et cela m’excite trop !

    Après cette petite pipe savoureuse, je me redresse et propose à Geoffroy que nous nous installions en 69 sur la moquette car, moi aussi, j’ai envie de goûter à sa belle queue raide comme un piquet.

    A mon tour de lui déguster sa belle grosse paire de couilles pour commencer. Je les pourlèche, m’en nourrit avant de passer à sa queue qui, sans être très longue, est plutôt du genre épais. J’engloutis son chibre à pleine bouche et me mets à le pomper énergiquement tandis qu’il fait de même avec ma queue.

    Je ne sais pas pour lui mais pour moi, de mon côté, je sens que le jus va très vite monter tellement Geoffroy se montre excellent tailleur de pipe. J’essaie quand même de me retenir un peu, je pense à autre chose. Mais avouez que c’est dur de penser à autre chose quand on a soi-même une queue dans la bouche.

    Plus les minutes passent et plus je sens monter la purée qu’il va se prendre soit dans la bouche soit sur le visage.

    - Ah !! je jouis !!!

    Geoffroy ne retire pas sa bouche et continue de me sucer pendant que j’envoie la sauce.

    Après avoir repris mes esprits, je me mets en demeure de faire gicler Geoffrey à son tour, il le mérite bien.

    Je me concentre alors comme un brave garçon désireux de faire au mieux son travail. Je le suce tantôt avec application, tantôt avec fougue mais sans jamais laisser ses couilles de côté, que je malaxe avec ferveur. Je les sens de plus en plus dures et contractées, le jus n’est pas loin…

    Les râles de plaisir de Geoffroy sont de plus en plus bruyants et rapprochés, signe qu’il va bientôt lui aussi envoyer la purée. J’attends ce moment avec impatience car j’ai envie de tout déguster jusqu’à la dernière goutte.

    Geoffroy qui jusqu’ici s’était montré peu exubérant, hormis maintenant où ses halètements s’accélèrent, se met tout à coup à gémir comme un goret !!!

    - Ah, aaaahhh ! Je jouiiiiiiiiiiis !!!

    Je prends tout en moi, je ne veux rien laisser perdre.

    Après nous être rhabillés, Geoffroy me propose de rester à dîner. Je suis obligé de refuser étant donné le rendez-vous que j’ai ce soir avec ma meilleure amie. C’est à regret que je le quitte mais je sais que nous allons nous revoir, c’est obligé.

tel rose voyeur

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Anonyme :
J'aimerais bien sucer ta bite hummmm quelle delice d'avoir jouiit de ton histoire humm j'en reveut merciiii <333 <3333
Posté le par j&b69 :
j'aimerai bien faire un 69 !
Posté le par Anonyme :
J'ai adoré me branler dessus
Posté le par Anonyme :
L'heure
Posté le par xxx :
Trop bon
Posté le par Boby :
Très excitant j'ai bien joui en lisant ton histoire
Posté le par Gust :
Trop bander en lisant ton récit j' aimerais te rencontrer pour te sucer la bite et les couilles
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