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Recit erotique : Un patron abuse d'une stagiaire

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    Recit erotique : Un patron abuse d'une stagiaire

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Salut à tous, j'ai l'habitude d'aller sur ce site de temps en temps pour lire les nouveautés mais je n'ai jamais rien eu à raconter d'extraordinaire.
    Je m'appelle Pauline, j'ai 21 ans et je suis en BTS dans le social. J'ai eu un copain pendant 2 ans mais on s'est séparé (enfin je l'ai quitté) un peu avant Noël. On s'entendait bien mais niveau cul, il était zéro le pauvre. Je sais pas trop pourquoi, j'ai l'impression qu'il osait jamais, il avait pas beaucoup d'imagination, bref c'était pas le top et pour moi c'est vachement important. Je lui en ai parlé, on a essayé d'autres choses mais il était mal à l'aise avec tout.
    Donc depuis 2 mois je suis toute seule!
    Pour mes études, je devais trouver un stage. J'ai envoyé des dizaines de lettres de motivation, des CV mais il y a quinze jours je n'avais toujours pas eu de réponse! Comme on a jusqu'à fin mai pour trouver je commençais à stresser pas mal. J'ai donc décidé sur les conseils de ma maman de me déplacer en personne sur les lieux potentiels de stage pour me présenter.
    C'était le 6 février, j'étais plus motivée que jamais, je me suis habillée (ni sexy, ni coincée: pour plaire à des hommes mais pas rendre jalouse des femmes, c'est ma technique).
    Donc, pantalon noir, petites ballerines, chemisier très décolleté MAIS avec un petit gilet pour cacher tout ça si je tombe sur une directrice.
    Je m'annonce à l'accueil, j'explique ma petite histoire et là j'ai de la chance, le directeur des ressources humaines est là et accepte de me recevoir si j'ai un CV et une lettre. Bien sûr que je les ai!!
    J'enlève donc mon gilet, on sait jamais, si je peux jouer là dessus, je n'ai pas l'intention de gâcher une moindre once de chance tellement j'ai du mal à trouver ce putain de stage!!
    Je toque doucement et une voix d'homme mûr me répond.
    "-Entrez. Bonjour Mademoiselle, asseyez-vous je vous en prie.
    -Merci
    -Expliquez moi votre situation.
    -Bon et bien voilà, je cherche un stage auprès d'une assistante sociale. Je cherche depuis plusieurs mois mais je ne trouve pas. Je suis dans une situation extrêmement difficile parce que l'échéance approche...
    -Je comprends, seulement, il faut que vous compreniez que nous aussi sommes dans une situation compliquée. Je vais être franc avec vous. Vous êtes la troisième qui vient me voir cette semaine. Je n'ai aucun argument me permettant de vous choisir plutôt qu'une autre et les restrictions budgétaires actuelles ne nous permettent pas de prendre plusieurs stagiaires"
    Et là je ne sais pas ce qui m'a pris je me suis mise à pleurer. Je crois que c'est la tension accumulée pendant toutes ces semaines qui m'a fait craquer. Je ne pouvais pas imaginer une seule seconde que j'allais encore une fois louper une opportunité.
    "-Je ne sais pas quoi faire. Je suis très sérieuse et motivée comme vous ne pouvez pas imaginer. Je suis prête à tout pour obtenir ce stage, je ne peux pas me permettre d'échouer, ce sont deux années que je vais perdre.
    -Je comprends."
    Il s'est levé, c'était un homme d'une quarantaine d'année, grand assez bien bâti pour son âge. Il a contourné son bureau pour se placer dans mon dos. J'ai senti une main se poser sur mon épaule.
    "-Mais c'est à vous de me montrer à quel point vous êtes motivée, si nous pourrions faire équipe ensemble et nous entendre pendant ces 8 semaines."
    J'étais outrée, mais qu'est ce que c'était que ce vieux dégueulasse, pour qui il se prenait, il s'imaginait quoi?? Que j'allais me retourner et lui choper la queue entre les dents!
    Pendant une minute, je n'ai rien dit et il n'a pas bougé.
    Je réfléchissais.
    Je me disais que j'étais en train de gâcher une chance de m'en sortir tout ça parce que je n'avais pas envie de me taper un beau mec dans son bureau. Tout ça parce que j'avais des principes et que "ça ne se faisait pas". Et puis j'ai pensé aux autres filles, je me suis dis qu'elle avaient du faire comme moi, refuser sous prétexte de fausse pudeur.
    Je me suis dis que j'aurais rencontré ce mec en boîte, j'aurais sauté sur l'occasion, sans hésiter.
    Alors je me suis retournée je l'ai regardé dans les yeux, puis je les ai baissé, sans rien dire. Je regardais le sol.
    Et alors il a agit.
    Il a posé son autre main sur moi puis les a descendues sur mon chemisier. Il caressait mes seins (à ce moment précis j'ahllucinait).
    Il a déboutonné mon chemisier, petit à petit, lentement puis l'a fait glisser le long de mes épaules.
    Soudain, il y a eu un bruit dans le couloir. J'ai sursauté et lui a fait deux enjambées jusqu'à la porte pour tourner délicatement le verrou. Je n'avais jamais eu aussi peur de ma vie, j'étais toute tremblante.
    Il est resté appuyé contre la porte et m'a regardé. Il m'a dit à voix basse:
    "-Assied toi sur mon bureau, face à moi. Voilà. Déboutonne ton pantalon maintenant et enlève-le."
    J'étais en string et soutien gorge, assise sur son bureau.
    "-Touche toi."
    J'écartai donc doucement la dentelle qui recouvrait mon sexe. Je sentis qu'il commençait à être très excité... et le voir me regarder comme ça, avec envie, m'avait moi-aussi excitée. Peut-être aussi le coté interdit de la situation, j'avais l'impression qu'en sortant du bureau je ne serai plus la même, puis ce mec était plutôt rassurant, malgré la situation...
    J'étais donc assise, les jambes écartées, les pieds sur le rebord du bureau en train de ma caresser. Je frottais doucement mon petit clitoris gonflé et je mouillais mes doigts en les enfilant dans ma petite chatte. Avec mes deux mains, j'ai écarté mes lèvres pour qu'il voie bien mon trou, comme une invitation à aller un peu plus loin.
    Il s'est approché, et m'a allongée sur le bureau, les jambes dans le vide. Il s'est mis à genoux devant moi et a commencé à me lécher, d'abord les cuisses et le ventre, puis le sexe.
    Il titillait mon clito avec sa langue et j'avais déjà envie de jouir. C'était un expert dans son domaine.
    Il léchait les moindres replis de ma chatte avec application. Au bout d'un petit moment qui me parut trop court, il se releva et baissa son pantalon. Il était déjà complètement excité, sa bite en érection. Il a rapproché mes fesses du rebord du bureau et enfonça son engin petit à petit en moi. Lorsqu'il a atteint le fond de ma chatte, c'est là qu'il a commencé à me prendre à proprement parler et j'attendais ça avec impatience. Il donnait des coups de reins vigoureux qui me faisaient glisser d'un bout à l'autre du bureau. Il se tenait à mes hanches en les pétrissant à moitié avec ses mains rudes.
    Quelques minutes après il me prit la tête entre les mains et m'invita à m'asseoir.
    En une seconde il avait dégrafé mon soutien gorge et embrassait mon petit 90 C à pleine bouche. Il tétait mes seins fermes et tendus comme jamais.
    A ce moment, j'étais en transe et je me contenait de tout mon être pour ne pas jouir comme une folle, j'en avais vraiment envie.
    Me faire prendre aussi magistralement était tout nouveau pour moi, c'était des sensations délicieuses.
    Il voyait que je prenais mon pied et ça l'a fait sourire.
    Il m'a retournée et m'a prise en levrette un petit coup. Cette position que mon ex n'avait jamais été foutu de faire me donna un plaisir encore plus intense. Sa bite allait encore plus profond en moi et je me sentais prise.
    Ses coups redoublaient d'intensité et il du mettre sa main devant ma bouche tellement je n'en pouvais plus de me retenir.
    Lui aussi allait venir, je le sentais.
    Il m'a donc assise par terre, sous lui et a commencé à se branler au dessus de ma bouche.
    Il a soudain renversé sa tête en arrière et a giclé une bonne dose de sperme sur mon visage. J'eus le plaisir de découvrir le goût que ça avait pour la première fois de ma vie. Verdict: un peu amer...
    Il me tendit un mouchoir pour que je m'essuie du mieux que je pouvais.
    Je me suis ensuite rhabillée en vitesse, essuyant le mascara qui avait coulé sous mes yeux.
    Il se rassit dignement dans son fauteuil de boss.
    "-Je crois que nous allons pouvoir nous entendre mademoiselle...
    -Je m'en doutais maintenant, dis-je en rigolant un peu.
    -Bien sûr, si vous voulez que tout se passe pour le mieux, je vous demande de garder tout cela pour vous.
    Je vous invite maintenant à revenir lundi prochain pour que nous commencions le stage proprement dit. Vous n'oublierez pas vos conventions de stage pour que je les signe.
    -Ok, merci, à lundi alors"

    Je me dirigeais vers la sortie lorsqu'il me dit:
    -Pauline!
    -Oui?
    -Si ça vous a plu, c'est quand vous voulez pour remettre ça.
    -A lundi"

    J'ai rouvert doucement le verrou de la porte et je suis partie en repensant à tout ce qui venait de se passer.
    La conclusion de tout ça c'est que J'AI UN STAGE!!! mais aussi que j'ai pris mon pied avec un mec qui savait y faire, parce que j'en avais vraiment besoin...

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Mickael :
Hummm sa me donne envie de baisé comme une vraie salop
Posté le par danycat :
Toute jeune durant les deux mois d'été je voulais travailler, un dernier RDV sinon plus rien .Le patron de la petite entreprise n'ayant pas besoin de personnel accepterait de me donner un petit job tranquille à condition que je l'autorise à (jouer ) avec mon corps La signature fût faite sa bite dans ma bouche ,la plus part des journées ce passaient en voiture pour l'accompagner pratiquement nue et sans sous -vêtement .Bon souvenir certain jour mon petit cul à souffert !!!
Posté le par Anonyme :
Ca me donne envie de te gicler dessus ptite salope :)et j'aurais kifer être ton patron xd
Posté le par sex2308 :
tu as bien de la chance, moi aussi mon patron ma prise une fois dans notre remise c'était magique.
Posté le par Choune :
Sympa! ça me fait penser à mon histoire un peu similaire à la tienne...
Posté le par Lili :
Tu a de la chance, moi aussi j'ai un stage au moi de mai, mais je ne crois pas que je vais me faire baiser par mon boss, il est trop laid :)
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