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Histoire de sexe : Une psy et son patient
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12Histoire de sexe : Une psy et son patient
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 31/01/2017
Publié le 31/01/2017
Les pensionnaires de la maison de retraite émergeaient lentement lorsque j’arrivai dans le hall d’entrée, prête à commencer le tour des chambres.
En tant que psychologue, j’avais pour mission chaque semaine de prendre la température de l’établissement et d’apporter un soutien moral à tous ces pauvres gens esseulés et grabataires.
Après le cinquième patient, je commençais à être contaminée par la détresse ambiante de toutes ces personnes déclinantes dont je ne parvenais plus à enrayer la dépression face à leur déchéance dont ils n’avaient que trop conscience.
Contre le vieillissement et la tristesse, il n’y a hélas pas grand-chose à faire hormis adopter la politique de l’autruche, cela fait partie de la condition humaine et j’étais psychologue, pas magicienne.
J’entrai donc dans la sixième chambre, l’air préoccupé, pas vraiment avenante et on peut dire que je n’avais vraiment pas le sourire de l’emploi.
A ma grande surprise, je fus accueillie par le timbre jovial et enjoué d’un nouveau résident.
– Bonjour jolie dame !
Une psychologue qui fait la gueule ça n’est pas vraiment ce dont j’ai le plus besoin à cet instant précis !
Un joli sourire allez !
J’éclatai de rire, évacuant le stress accumulé durant l’heure qui venait de s’écouler.
– En effet, vous ne semblez pas avoir besoin d’une psy ! Et encore moins d’une psy qui ne sert à rien !
Je suis certainement plus déprimée que vous !
– En effet, c’est l’impression que vous donnez ! Répondit le très bel homme âgé à vue d’œil d’environ 75 ans. C’est dommage avec un si joli visage !
Que vous a t-on fait dans le service ? Ils ont été méchants avec vous les vieux dépressifs ?
Je repartis d’un nouvel éclat de rire.
– Non c’est surtout que…
– Ah…je suis rassuré. C’est donc juste une question d’éthique professionnelle ! On va arranger ça.
Sûr de lui, il alla de ce pas fermer à clé sa porte de chambre et vient s’asseoir sur le bord de son lit, toujours un grand sourire accroché à ses lèvres.
Il m’invita à nouveau à m’asseoir en saisissant doucement mon bras jusqu’à ce que mon corps cède à sa pression.
Je n’avais pas pu placer une seule phrase complète et j’avais fait exactement ce qu’il voulait.
Une chose était sûre : le caractère de cet homme était aussi affirmé que son physique était charmant et il n’avait aucun mal à obtenir ce qu’il voulait.
A deux centimètres de moi, il me regardait fixement, ses yeux clairs luisants plongés dans les miens.
– Votre parfum est très agréable, il vous va bien, fit-il d’une voix douce.
– Merci répondis je troublée. Pourquoi êtes vous ici ? Cela m’intrigue.
– Charmante et curieuse. C’est une combinaison qui me plaît bien. Cela vous rend pétillante et anime votre beau regard.
Ça me plaît…
Il accompagnait ses paroles d’une légère caresse de haut en bas sur mon épaule et mon bras nu.
Je frissonnai.
– C’est un frisson de plaisir j’espère, fit-il malicieux, en faisant courir le bout de ses doigts sur mon cou puis vers mon aisselle, dans une descente aérienne, très près du galbe de mes seins, puis le long de mon corps.
Il me regardait intensément pendant qu’il me caressait et j’étais hypnotisée.
Je parvins enfin, malgré mon trouble, à aligner quelques mots pour reposer ma question.
– Que faites vous là ?
– Puisque vous insistez, je vais vous répondre, jeta t-il malicieux sans cesser de faire courir ses mains sur moi.
Il avait osé effleurer ma poitrine et se déplaçait a présent entre mon buste et mes cuisses avec une aisance incroyable tout en m’apportant la réponse sur laquelle je peinais a me concentrer.
– A vrai dire j’ai simulé une démence pour rentrer ici
– Quoi ? M’exclamai-je tandis qu’il s’insinuait sans vergogne entre mes cuisses, atteignant de ses doigts la surface moite de mon sexe dont l’humidité se devinait totalement sous le léger tissu.
– Ça ne vous laisse pas indifférente à ce que je sens. Cette jeune chatte est toute émue…Hum !
Il accompagna ses franches paroles d’une caresse plus appuyée sur ma vulve sur laquelle deux de ses doigts allèrent se poser franchissant la barrière de la culotte.
Oui, je mouillais et cet homme charmant et imposant me troublait comme jamais.
– Pour votre gouverne, j’ai une épouse très désagréable qui ne manquait pas de passer un jour sans m’humilier et me rabaisser.
J’en ai eu assez et j’ai feint d’être gâteux pour échapper à son joug.
Ici je suis au milieu de la dégénérescence humaine mais au moins je jouis d’une relative liberté. Plus que chez moi en tout cas.
Et là, comble de chance, je tombe sur une femme magnifique au parfum envoûtant et au corps parfait, je ne pouvais prétendre à un moment plus idéal, surtout dans ma situation.
Et il me caressait toujours comme pour confirmer sa reconnaissance envers cet instant et mon acceptation, car je me donnais sans résistance.
Ses doigts allaient et venaient le long de ma chatte, et il accompagnait cette délicieuse masturbation de baisers sur mon décolleté, puis sur le galbe de mes seins.
Il finit par les sortir de mon soutien gorge et par les sucer avec délectation, l’un après l’autre tout en les titillant de la main restée libre.
– Hum, ces seins de déesse ! Rien que de les embrasser ça me fait bander.
Il s’empara de ma main pour la poser sur son pantalon, là où son membre, en effet grossissait de plus en plus.
Je mouillais abondamment, ce qu’il sentit car il me chuchota a l’oreille : cette fontaine que je sens couler toute chaude entre mes doigts, j’ai envie de la boire, vous permettez ?
-Ouiii!... je gémis plus que je répondis car ses caresses me rendaient complètement hors de moi.
– Il m’assit au milieu de son lit, m’ écarta les cuisses et s’agenouilla pour me faire le plus excitant cunnilingus auquel je n’avais jamais eu droit.
Son pouce tournait sur mon clitoris tandis que sa langue longeait ma chatte avec de plus en plus d’insistance, mais tout en restant d’une incroyable légèreté.
Il caressait mes seins de sa main restée libre et me regardait toujours pendant qu’il aspirait ma mouille avec délices.
– Ça a l’air de vous plaire, sourit-il, je vois que je n’ai pas perdu la main.
Quelle prétention de séducteur invétéré ! Et pourtant il était tellement charmant et avait un tel savoir faire qu’il m’était impossible de lui résister.
Sa langue toujours sur ma chatte, il mouilla un de ses doigts qu’il enfonça doucement dans mon anus pendant qu’il me mangeait.
Branlée par tous les trous, je n’en pouvais plus de désir et dans l’excitation, le suppliai de me baiser.
– Oh oui ma cochonne ! Tu la veux, tu vas l’avoir ma bite !
Il devenait vulgaire et ça m’excitait encore plus.
Il me pénétra enfin et je sentis en moi un membre puissant et long qui me baisa avec vigueur avec force ondulations de bassin et râles de plaisir pendant un temps infiniment délicieux tout en me masturbant encore par tous les trous jusqu’à ce qu’un orgasme nous arrache un cri d’extase commun.
Travailler dans une maison de retraite me paraissait d’un seul coup très prometteur et je lui promis en partant de repasser le lendemain matin.
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Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
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