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    Recit erotique :

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    baise brunette

    Vendredi dernier, il m'est arrivé une histoire nouvelle pour moi, un peu obsédé par le cul (et surtout la chatte!). Il y a des choses dans la vie dont on se dit qu'on ne le fera jamais... et puis, finalement, emporté par le mouvement, j'ai dépassé mes propres limites.

    Reprenons les choses depuis le début.

    Vendredi soir, donc, j'avais une soirée prévue de longue date par un ancien ami d'école de commerce avec qui j'avais fait les 400 coups (mais pas les 400 culs!). Nous avions beaucoup déconné pendant notre scolarité, beaucoup bu...et surtout beaucoup emballé de filles!

    Roméo (c'était vraiment son prénom!), donc, travaillant aujourd'hui dans le secteur boursier, avait bien réussi et un bon niveau de vie. je ne l'avais pas vu depuis quelques temps et il m'avait proposé de participer à une soirée dans un restaurant dont il avait privatisé l'une des salles. Il s'agissait d'une soirée où il avait convié quelques anciens et anciennes de l'école de commerce. Une quinzaine de personnes devaient être conviées, avec ou sans partenaire.

    Je me pointais à l'heure dite dans ce sublime restaurant cossu de la capitale. J'entrais et un portier saisit mon manteau et mon parapluie car il pleuvait ce jour-là.

    L'intérieur était très début du vingtième siècle, avec des salons très feutrés, des meubles un peu ancien et surtout de bon fauteuils bien rembourrés. C'est dans cette salle qu'était servi l'apéritif avant que nous ne passions à table.

    Je rencontrais quelques personnes que j'avais connues à l'école, en compagnie de Roméo et d'autres que j'avais vaguement croisées ou dont je ne me souvenais pas. Ce fut une joie de retrouver certaines personnes et de m'enquérir de ce qu'elles étaient devenues. Avec d'autres, la magie reprit comme au jour où nous nous étions quittés.

    Alors que j'allais me resservir en champagne au banquet, je croisais le regard d'une jeune femme brune, montée sur talons hauts, et dotées de formes plutôt jolies à mes yeux. Je l'examinais quelques secondes en lui souriant, cherchant bien de qui il pouvait s'agir.

    - Bonjour, me dit-elle.

    - Bonjour. Vous étiez à l'école de commerce ou vous accompagnez quelqu'un? demandais-je.

    - Tu ne me reconnais vraiment pas?

    je cherchais dans ma tête qui pouvait être cette belle jeune femme. Voyant que je ne trouvais pas, elle précisa :

    - Je pense que si j'avais gardé mes lunettes au lieu de lentilles, tu me reconnaitrais certainement ; même si nous ne nous sommes pas beaucoup fréquentés à l'époque. Moi, en tout cas, je me souviens de toi.

    - Je suis désolé, répondis-je. Déjà que je ne suis pas très physionomiste, là je sèche!

    - Ophélie, m'annonça-t-elle.

    - Ophélie? Bon sang! Tu as changé beaucoup de choses!

    A l'époque, Ophélie était une petite brunette, à lunettes, cheveux courts et plutôt mal fagotée. Aujourd'hui, elle était devenue une belle femme, aux cheveux longs et portant des talons aiguilles.

    - Tu es splendide, fis-je, en la regardant dans les yeux.

    Elle me remercia et nous discutâmes autour du banquet,...puis de même à table pendant la soirée. Nous nous racontâmes nos vies, nos carrières professionnelles, nos amours...ou plans cul, comme si nous étions des amis intimes.

    La soirée passa vite, même s'il m'arrivait de parler à d'autres anciens copains ou copines. Alors que nous échangeâmes nos coordonnées, les uns et les autres, je récupérais mes affaires à l'entrée et je sortis chercher ma voiture.

    - Veux-tu que je te reconduise? Tu habites loin d'ici?

    - Non, je suis à Montrouge, dans le sud de Paris.

    - Oui, je vois où c'est. Après la porte d'Orléans, fis-je. Avec le périph', ce sera rapide.

    Le chemin n'était pas long mais j'appris tout de même qu'elle était célibataire en ce moment, même si elle avait des plans d'un soir de temps en temps.

    Ophélie proposa de venir boire un dernier verre pour prolonger la soirée, ce que j'acceptais.

    Elle avait un grand deux pièces au cinquième et elle me servit un digestif avec des glaçons. Tout en le sirotant, je me demandais pourquoi Ophélie n'avait pas trouvé chaussure à son pied, maintenant qu'elle était devenue une jolie femme ; que le vilain petit canard était devenu cygne!

    Elle m'avouait être un peu timide avec les hommes et utiliser de temps en temps Internet pour faire des rencontres, ou se laisser tenter lorsqu'un homme l'abordait et qu'elle le trouvait à son goût. Ce qui était d'ailleurs rare!...

    - Et ça fait combien de temps que tu n'as pas fait l'amour? Osais-je lui demander.

    - On peut dire que tu es direct! dit-elle en souriant. Si tu veux tout savoir, cela fait 8 mois que je n'ai pas rencontré d'homme.

    A l'écouter, je me disais qu'elle devait avoir faim de sexe, surtout que j'avais commencé à flasher sur ses jambes en collant qui dépassaient de sa jupe. Sans réfléchir, je posais une main sur une jambe et la fit remonter un peu plus haut, lentement. Ophélie esquissa un regard de surprise mais se laissa faire.

    - Tes bas sont vraiment très doux, fis-je.

    Et, alors que je ne m'y attendais pas, elle déplia ses jambes et mit sa main sur la mienne.

    - Moi aussi j'ai envie de toi. Mais j'ai peur que ce soir ce ne soit pas possible.

    - Pourquoi? Demandais-je. Tu es fatiguée?

    - Non. C'est... heu... en fait, je suis indisposée.

    J’acquiesçais à ce qu'elle disait, un peu surpris.

    - Ce n'est pas vraiment grave. C'est naturel. Si nous étions un couple, ça ne m'empêcherait pas forcément de te faire l'amour, lui répondis-je, un peu excité par cette perspective. Il est vrai que je n'avais jamais eu l'occasion de faire l'amour avec une femme lors de ses règles.

    - Et tu saignes beaucoup? Lui demandais-je.

    - Non. Juste un peu.

    Cette fois-ci, je décidais de ne plus m'arrêter et de me retrouver dans les bras d'Ophélie. Ma main remonta jusqu'à son slip et redescendis sur l'autre jambe. Ne sachant pas si j'allais trouver un tampon ou un protège-slip, je me levais et vint l'embrasser. Mes mains descendirent sur l'échancrure de sa poitrine qui apparaissait dans son chemisier et commencèrent à caresser ses seins à travers le tissu.

    Ophélie avait commencé à caresser mes fesses à travers le pantalon et avait entrepris d'ouvrir ma ceinture, déboutonner le pantalon, ouvrir la fermeture, et baisser mon pantalon noir à mes pieds. Elle caressa ensuite mon sexe à travers mon boxer bleu et vert, ainsi que mes fesses.

    Je déboutonnais son chemisier et tombais sur son soutien-gorge push-up. Ophélie avait des petits seins mais avait choisi de les mettre en valeur. Je l'ôtais très vite et j'entrepris de sucer ses seins en forme de pomme. Quel délice de lécher cette peau si douce, les aréoles et les tétons qui étaient bien durcis! Visiblement, cette situation excitait Ophélie. Peut-être avait-elle fantasmé sur moi à l'école? Si c'était le cas, elle prenait maintenant se revanche ; indisposée ou pas.

    Elle caressais ma tête qui léchait et suçait ses seins. Puis, je la fis se lever et je dézippais l'arrière de sa jupe afin de l'abaisser à ses pieds. Elle m'apparaissait alors très jolie avec son slip noir et ses collants.

    Ophélie avait entrepris de baisser mon slip et elle me branlait maintenant doucement. J'ai très vite bandé car sucer et caresser des seins me mettait dans tous mes états. Je me suis débarrassé du slip et des chaussettes ; puis je retirais chemise et maillot de corps. J'étais maintenant entièrement nu devant elle ; mon sexe au garde à vous...

    Je caressais alors ses cuisses et entrepris d'enlever le collant. Il ne lui restait que son slip noir que je baissais très vite. N'apercevant pas de protège-slip, j'en déduisis qu'elle portait un tampon.

    Je l'embrassais à pleine bouche et je l'emmenais vers son canapé.

    - Non, allons dans mon lit! Me dit-elle.

    Elle m'emmena dans sa chambre, dotée d'un grand lit, avec une tapisserie mauve et du bleu un peu partout. Elle alluma deux petites lampes en cristal de sel, ce qui semblait très romantique.

    Je la couchais sur le lit et je promenais ma langue sur son corps, allant de ses petits seins à son ravissant petit minou surmonté d'un fin duvet triangulaire. Doucement, j'écartais ses cuisses et mes doigts commencèrent à caresser ses grandes lèvres en remontant vers son bouton d'amour. Je posais de petits baisers à coté de chaque grande lèvre épilée.

    Puis, mes doigts se firent plus investigateurs. Je vis la ficelle qui dépassait de son sexe bien rosâtre et je fis sortir tranquillement le tampon. Je le donnais à Ophélie qui le posa dans un mouchoir papier, sur sa table de nuit. Ma langue joua un petit moment avec le clitoris d'Ophélie tandis que j'introduisais un doigt dans son intimité. Je sentis que sa chatte était humide, mais d'une humidité un peu poisseuse, en raison de ses règles.

    J'introduisis un deuxième doigt et je la branlais en règle ; lentement d'abord, puis de plus en plus rapidement. Je n'oubliais pas son bouton d'amour pendant qu'elle se caressait les tétons. Puis, lorsque je la sentis prête, je m'introduisis en elle. Ce n'est qu'au bout de quelques va et vient que je m'aperçus que j'avais oublié de mettre un préservatif.

    - Tu as des maladies ou des comportements à risques? Lui demandais-je.

    - Non!

    - Moi non plus. Je continue donc sans capote. De toute façon, tu ne risques pas de tomber enceinte!

    Elle sourit et, au-dessus d'elle dans un classique missionnaire, elle me caressa les fesses et le dos, très lentement et érotiquement.

    Fièrement dressé en elle, je la baisais et elle s'était ouverte au maximum pour me laisser butiner sa fleur. Je la basculais ensuite sur le coté et la prit tout en caressant son clitoris et ses seins. J'avais accéléré l'allure et Ophélie commençait vraiment à haleter et à respirer plus rapidement. De temps en temps, elle laissait échapper de petits couinements.

    Je la retournais d'un quart et la pris par derrière. Elle était pliée sous moi et je m'introduisais encore plus rapidement dans chatte maintenant toute mouillée et trempée d'un liquide poisseux. Ma bite glissait vraiment bien dans sa petite chatte plutôt étroite! Je m'y sentais bien.

    J'accélérais le mouvement tout en pinçant assez mollement ses tétons. J'alternais en caressant ses seins ou ses fesses. Finalement, vu d'ici, son cul était vraiment pas mal car bien rebondi sans être particulièrement dodu.

    Alors que je la sentais fébrile, je décidais de passer à l'étape finale et je n'eus aucun mal à jouir sur son cul en ayant sorti ma bite bien gonflée juste à temps. Je lâchais plusieurs rasades d'un sperme bien crémeux sur ses fesses et son dos. J'expirais de plaisir après une telle chevauchée voluptueuse!

    Ophélie avait joui et était vraiment dans un état second.

    Je pris quelques mouchoirs sur sa table de nuit pour essuyer son dos, ainsi que ma bite. Celle-ci était un peu rouge de son sang, mais pas tant que je l'aurai craint.

    Je l'embrassais et je restais dans ses bras pendant encore quelques instants ; histoire de partager notre double jouissance à tous les deux.

    Finalement, je passais la nuit chez elle et, le lendemain matin, nous remîmes cela sous la douche. Un autre lieu où j'avais rarement l'occasion de faire l'amour. Réveillé et plein de fougue, je fus heureux de l'avoir fait crier de plaisir entre deux savonnages...

    Nous ne nous sommes pas encore revus depuis vendredi mais j'attends le prochain week-end pour faire quelque chose avec elle...sans qu'elle soit indisposée! C'est ma langue qui sera contente...

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