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Recit erotique : histoire d'un enfant de choeur partie 2

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit erotique : histoire d'un enfant de choeur partie 2

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    voiture pipe branle

    Hello la compagnie !

    Je m’appelle Sonia, j’ai cinquante ans et je viens souvent ici lire des aventures croustillantes, en me disant qu’une fois peut être je ferai partie des élues qui se feront publier. Je viens donc vous raconter ma dernière expérience coquine et adultère. En effet, je suis mariée depuis à peu près 20 ans avec Charles, et nous nous entendons toujours très bien, nous avons gardé notre complicité. Malgré tout, je garde mon caractère volage, mon indépendance sexuelle, et il m’arrive donc assez régulièrement de mettre un coup de canif au contrat !
    Je vous ai donc raconté comment j’ai rencontré Juan à l’Eglise, et comment sa voix d’enfant de chœur, mais aussi disons-le son physique de 20 ans m’a tourneboulé ; et encore plus quand je l’ai recroisé dans une soirée cubaine.
    Complètement ivre, ou drogué, il m’a sauté dessus sur la piste puis dans les toilettes et je me suis laissée bien faire avouons-le. Mais nous avons été dérangés souvenez-vous, et quand les gens sont entrés dans les toilettes, que je réajustais mes habits, je ne pensais qu’à une chose, c’est comment continuer cette étreinte et profiter de Juan, qui n’en demandait pas moins !
    J’entrainais donc Juan à l’extérieur, et je lui demandais s’il avait une idée d’un lieu pour continuer notre baise. Problème. Déjà à la base il comprenait difficilement notre langue, mais là, il fallait ajouter à l’équation le fait qu’il était complètement déchiré. Ses yeux étaient hagards, il me regardait en souriant, mais je ne savais pas vraiment s’il me regardait, MOI, vraiment. Je me sentais un peu fautive car j’avais bien sûr l’impression de profiter de lui, d’abuser de son corps alors que ma maturité aurait dû me pousser à simplement le faire entrer chez lui. Mais là il posa ses mains sur ma poitrine, caressant encore mes seins, et cela malgré les gens qui continuaient d’entrer dans la discothèque. Je ne pouvais pas entrer chez moi car il y avait mon mari. J’attrapais alors sa main et je le menais jusqu’à ma voiture qui était garée sur le parking de l’édifice. Parking bien trop éclairé donc impossible de continuer là. Je posais Juan sur le siège passager, et je démarrais la voiture à la recherche d’un coin tranquille. J’eus soudain l’idée d’une aire d’autoroute située non loin de là, je décidais de m’y rendre.
    Une fois garée, je me tournais vers Juan. Qui avait commencé à dormir ! Hors de question de le laisser ainsi, j’avais ma petite technique, je commençais donc à retirer son pantalon, puis son boxer et je sortais sa queue à l’air libre. Au repos, elle était déjà bien grosse ! Je me mis alors à la lécher, alors qu’il dormait, pour le réveiller. Je mis son gland dans ma bouche, et je le suçais longuement, commençant également à branler sa pine pour qu’elle prenne de la vigueur. Les choses ne tardèrent pas à venir, et alors que je commençais à descendre le long de sa queue, il se réveilla alors totalement et baragouina je ne sais quoi, puis appuya sur ma tête pour me forcer à le sucer encore. Je sentis alors son sexe enfler dans ma bouche jusqu’à ce que j’ai du mal à déglutir. Je retirai ma bouche et je branlai sa belle queue : elle était devenue énorme et j’avais même un peu de mal à en faire le tour avec une main. Je remis son gland dans ma bouche et je le branlai toujours, pendant qu’il mettait ses mains sur mes seins, m’ayant retiré mon soutien-gorge pendant que je le pompais. Je sentais qu’il aimait ma pipe et j’avais peur qu’il décharge dans ma bouche. J’avais surtout envie de jouir aussi. Je descendais alors de voiture, ouvrit sa portière et lui demandais de s’avancer vers l’extérieur. Puis je relevai ma jupe, cul nu et je m’assis sur sa pine offerte, jambes tendues tout en m’accrochant à la portière. Sa grosse queue n’eut pas de mal à pénétrer ma chatte qui était trempée depuis de longues minutes, et je me mis à bouger sur lui, baisant sa queue car il était de toute manière incapable de tenir le rythme. Je me demandais déjà comment j’arrivais à le faire bander ainsi. Je bougeais sur lui, descendant le plus bas possible sur son sexe. Si une voiture entrait à cette heure ci sur l’aire, elle aurait vu cette femme d’un certain âge se déhancher et bouger, seins pratiquement à l’air, sur un jeune homme à moitié endormi. Je me mis à caresser mon clito, j’avais envie de me faire venir le plus vite possible. Sa queue était toujours vigoureuse, je me faisais copieusement pilonner la chatte, je gémissais à chaque fois que je descendais sur son gros membre.
    Rapidement je sentis mon orgasme venir, je me mis à caresser mon clito de ma main droite de plus en plus vite, en allant de gauche à droite sur sa bite ; la jouissance montait en moi et je me mis à crier, à lui crier de me défoncer la chatte et je jouis ainsi dans cette position, en pleine nuit sur cette aire d’autoroute. Ayant peur de me faire surprendre, je grimpais vite dans la voiture, retrouver un peu de chaleur et d’intimité.
    Juan était encore vigoureux, il me regardait en me touchant encore les seins. Il fallait que je le fasse jouir, j’en avais envie. Je me mis alors à le branler rapidement, je ne voulais pas qu’il jute dans ma bouche donc je le masturbais de plus en plus vite pendant qu’il gémissait et me regardait. Ca devait l’exciter car il se laissait faire, puis au bout de quelques minutes il lâcha son foutre sur ma main et sur son ventre, il en avait de partout. Hummm, j’aimais voir gicler un homme, et surtout une si grosse queue. Juan se rhabilla, sans prendre le soin de s’essuyer ; et je re démarrais la voiture, il était tard.
    Je le ramenais devant la boite et il sortit sans dire au revoir, mon joli coup de 20 ans. Je ne l’ai plus jamais revu. Ni même à l’église.

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Sonia

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