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Recit erotique : histoire d'une frotteuse

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Télephone rose récits érotiques
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    Recit erotique : histoire d'une frotteuse

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    métro frotteur branle

    Bonjour Dialogue 69

    Je viens vous raconter une anecdote qui paraît folle et pourtant elle est absolument réelle. Je la raconte car je suis tombé hier sur un reportage qui parle du harcèlement au quotidien, que ce soit dans l’entreprise ou dans les moyens de transports en collectivité. Je suis un homme d’une trentaine d’années, tout à fait normal, ni plus beau, ni plus moche qu’un autre ; tout à fait classique. Je n’étais pas en couple aux moments de faits, car je pense que ma réaction aurait été différente.
    Je vous explique donc. Je bosse dans une entreprise privée et j’avais donc des jours de congé à prendre. On devait être en juin ou juillet et j’habite le sud de la France. Bref vous vous en doutez bien, il fait super chaud à cette époque là de l’année. Ce matin-là pas de boulot donc je décide de m’organiser une journée de sports, de courses dans un parc de la ville. Problème, je n’ai pas de voitures donc je suis obligé de me payer le métro et le bus pour m’y rendre. Pas de soucis, j’enfile un short de course, mes baskets et un tee shirt, mon petit sac et c’est parti.
    La journée se passe nikel et je profite du bon air et je me dépense pas mal. Jusque là tout va bien. Donc le retour s’annonce, je décide de revenir chez moi et je prends le métro. Problème. Heure de pointe, le métro est blindé. J’arrive à entrer tout de même dans une rame mais nous sommes esquichés comme des sardines, on se croirait dans un métro parisien. Difficile d’avoir de l’air, surtout parmi les odeurs nauséabondes qui peuplent l’atmosphère, je me retrouve rapidement en apnée. Soudain, je sens qu’une main me frôle la cuisse ; je ne fais pas attention car je pense directement à une erreur. Puis on recommence, et là, c’est fait avec douceur, c’est une caresse. Dans la position où tout le monde se trouve c’est très difficile de bouger, voir impossible. La main recommence, je parviens à jeter un regard à ce moment là et je vois que c’est une main féminine, pas de doute possible ! Je suis carrément surpris car ça ne m’était jamais arrivé. Je me mets donc à la recherche de cette dame et je regarde autour de moi. Pendant ce temps la main repasse sur moi et remonte vers mes testicules. Elle les caresse à travers le short ! Mais c’est dingue ! Devant moi il y a une nana, d’une vingtaine d’années, qui écoute sa musique sur le portable, à gauche tout près une femme d’une quarantaine d’années, et plus loin une touriste, blonde avec une casquette, dont je ne capte pas le regard car elle se cache derrière ses lunettes. Aucune ne me regarde pourtant, mais là je sens cette main qui remonte et commence à branler ma queue doucement. La sensation est étrange et je ne peux pas faire grand-chose, d’une je ne peux pas bouger car le métro ne désemplit pas, de deux effectivement je trouve ça agréable et de trois personne d’autre que moi ne peut savoir ce qu’il se passe. Mon sexe commence à gonfler de plaisir, car la jeune femme met tout son cœur à le palper, le caresser et essaye même de passer sous mon short, la caresse devient plus forte, et vraiment excitante. Mais qui a envie de me baiser là ??? Le spectacle dure une bonne dizaine de minutes, puis c’est mon arrêt, je parviens alors à baisser ma main et j’effleure celle de la dame, qui se retire immédiatement. Je souris en sortant, me disant que je ne saurai jamais qui m’a branlé aussi bien. J’essaye de calmer mon érection, camouflant ça avec mon sac ; et je vais vers mon bus, dernière étape avant de revenir chez moi. Je monte dans celui-ci et je prends ma place habituelle, celle du fond à gauche, car descendant au terminus, ça m’évite des désagréments ! Me voilà plongé dans mon portable, essayant de me remettre et de surtout raconter l’anecdote à mon meilleur pote.
    Soudain, je sens qu’on s’assoit près de moi, et, surprise, je retrouve la jeune femme du métro, celle qui était à ma gauche. Et là forcément dans mon esprit, je me dis que ça peut être elle, qu’elle s’est assise près de moi exprès ! Mon esprit divague forcément. Alors, pour lancer la chose, j’écarte délibérément plus les cuisses que d’habitude, et je fais mine de rien, la regardant de temps en temps mais elle regarde de l’autre côté. Voilà. J’ai l’air fin moi à me faire des films.
    Mais le chauffeur démarre, et au bout de quelques secondes, je sens à nouveau la main sur ma cuisse ! Je me retourne et la nana, d’une quarantaine d’années, tout à fait mignonne et distinguée, continue sans même me regarder, inspectant au contraire que personne ne la voit. Nous sommes seuls au fond du bus de toute manière. Elle passe alors enfin la main sous mon short ; puis mon boxer et je sens qu’elle saisit ma queue et commence à la branler doucement. Toujours sans me regarder. Est-ce un jeu ? Un pari ? En tout cas c’est bien agréable et étant célibataire, je suis bien content de me laisser faire. Sa main est passée intégralement dans mon boxer et elle me branle de plus en plus vite, insistant bien sur mon gland, avant de caresser mes boules, puis remontant le long de ma hampe Puis elle s’active, me branlant de plus en plus vite, mais toujours sans aucune expression de visage et sans me regarder. Très spécial. Une nymphomane. Elle bouge de plus en plus vite et je me laisse faire, fermant les yeux pour apprécier le plaisir, et son doigté fait que je commence à avoir envie de jouir, elle le ressent et accélère et quelques secondes plus tard je m’accroche au siège et je jute dans ses doigts, doigts qu’elle a refermé sur mon gland pour attraper tout mon foutre. Une fois juté elle retire sa main et la glisse dans son sac, puis elle se lève et descend à l’arrêt d’après.
    Voilà ça paraît fou mais après le reportage sur les frotteurs je peux dire que le féminin existe aussi ! et c’est pas mal !

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Commentaires

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Posté le par blackesse :
C'est très excitant!
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David

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