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Recit de cul : Je lui plaque la bouche dans ma chatte

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    Recit de cul : Je lui plaque la bouche dans ma chatte

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonsoir à tous,
    cela fait un petit moment que je lis les histoires du site (vraiment sympa d’ailleurs) et c’est vrai que l’on n’y trouve que peu de sexe au boulot alors que l'on sait bien que les plans cul, y en a toujours de tas au travail. Vous êtes des cachotiers Mesdames et Messieurs. Lâchez-vous et venez raconter vous aussi, je vous assure cela fait beaucoup de bien vu que l'on ne peut se confier à pas grand monde.En plus je lance un appel, j'aimerais bien voir des hommes témoignaient sur le sexe au boulot ou en général d'ailleurs. Je trouverais ça super excitant pour ma part!
    Moi c’est mon petit péché mignon, ma cerise sur le gâteau…le sexe au bureau...

    Je m’appelle Pascale et je bosse dans la finance. J’ai 31 ans, une rousse flamboyante à la peau laiteuse, 1m68, 62kilos, des formes généreuses. Vous rajoutez à ça un 95D et une belle paire de fesses et vous avez mon portrait. Je plais aux hommes et j’aime leur plaire. Et oui ! On ne se refait pas. Je suis chef de service pour l’international dans une succursale administrative. Je n’ai donc plus de rapports directs avec les clients mais fait partie d’une structure où 350 personnes viennent bosser chaque jour.

    Je n’ai pas honte de dire que j’ai grimpé les échelons par la « promotion canapé » mais j’ai les compétences aussi, ne vous en déplaise ! lol J’ai juste évolué un peu plus vite que les autres…

    Je suis mariée avec un homme très occupé lui aussi. Mais sérieux, j’ai des horaires de folies et si je devais me dégoter un amant hors boulot, ce serait difficile, vu que j’y consacre une grande partie de mon temps. Et puis, c’est peut-être du fait de bosser dans un milieu très cadré, rigoureux voire rigide, que j’ai pris cette habitude de me trouver des amants au boulot. Bafouer l’interdit, l’excitation du risque de se faire choper, l’adrénaline qui monte dans ces moments coupables, me poussent à aller toujours plus loin.

    Bien sûr, j’essaie d’être très prudente car un licenciement pour faute grave serait la sanction immédiate si j’étais prise en flag mais avec l’expérience que j’ai acquise en la matière, les risques que j’encours sont toujours anticipés, calculés. Jusqu’au jour où…peut-être…
    Mais bon je ne peux pas m’en empêcher. C’est devenu comme une drogue.

    L’aménagement de notre service a été revu il y a peu de temps. Comme c’est la mode, nous sommes maintenant en open space. J’ai horreur de ça. Être sous le regard en permanence des collègues, voire des caméras, je trouve cela presque inhumain. Chacun devrait avoir droit à un minimum d’intimité !
    En tant que chef de service, j’ai quand même eu droit à un bureau isolé et quand ma hiérarchie m’a montré les plans, j’ai imposé d’avoir mon bureau au fond du couloir et surtout pas de bureau vitré ! Quelle horreur ! Après des négociations assez ardues, j’ai eu ce que je voulais mais non sans mal. Il a quand même fallu que j’use aussi un peu de mes charmes, vous le comprendrez aisément.

    Et voilà que depuis septembre nous avons un jeune stagiaire dans mon service préparant un BTS et j’admets bien volontiers que dès que je l’ai vu, j’ai décidé de jeter mon dévolu sur lui.
    J’avoue que les petits minots tout frais émoulus des écoles, je kiffe à mort comme diraient les jeunes. Il a 20 ans, le teint frais comme un gardon, la cuisse ferme et la queue fougueuse. Cela fait maintenant une semaine que nous sommes amants et je lui fais mener un rythme effréné… au niveau sexuel, j’entends...
    Je le garde souvent assez tard le soir, j’ai toujours quelques choses à lui faire faire. Si au début il restait de mauvaise grâce, ce n’est plus le cas aujourd’hui car cela a été ma méthode d’approche pour me retrouver seule avec lui et mettre en place ma technique de contacts rapprochés. Et maintenant il reste tard le soir sans problème, vous vous doutez bien pourquoi, bande de petits cochons !
    On attend toujours 19h30 minimum, pour que les locaux soient le plus vides possible. Faut juste jongler avec les femmes de ménage…

    Enfin bon, hier soir, mon service étant désert, je lui ai envoyé un texto :
    « Retrouve-moi à 19h40 dans le local à archives du service. »
    J’avais demandé à la femme de ménage d’aller en premier passer un coup d’aspi dans le local, histoire d’éviter toute irruption dans la pièce qui aurait pu nous mettre dans l’embarras.
    Je sortais donc de mon bureau à l’heure dite, un dossier sous le bras, histoire d’être crédible au cas où … (essayez, cela marche très bien, ne jamais déambuler au boulot sans un dossier à la main, ça marche aussi pour les branleurs ou pour ceux qui veulent se balader et voir s’il n’y a pas de la chair fraîche dans les autres services).
    Jérémy était déjà dans le local à m’attendre. A peine arrivée, je lui saute dessus. Il m’embrasse avec la fougue de son âge. J’adore ! Je défais rapidement sa braguette, le branle un peu, mais pas besoin de grand-chose, sa queue était déjà dure et raide. Je m’accroupis histoire de le sucer un peu. La petite salope que je suis adore avoir une belle queue dans la bouche ! Comme d’habitude, il a tendance à gémir fort et très autoritaire je lui dis :

    « - Tais-toi, on ne sait jamais ! Quelqu’un pourrait nous entendre ! »

    Comme un petit garçon docile, il m’obéit mais avec beaucoup de mal.
    Je me relève, retrousse ma jupe de tailleur et d’un signe de la tête je lui montre ma chatte.
    « Viens me sucer un peu ! On n’a pas trop le temps, je dois être à 20h30 chez moi ! »
    Il s’agenouille à son tour et me lèche la vulve avec frénésie. Trop même. Ahhh ! Cette jeunesse impétueuse et impatiente !

    « - Va plus doucement quand même, on a demi-heure devant nous. Allez applique-toi mon petit ! »
    Alors il ralentit, aspire mon clito, enfonce sa langue dans ma fente toute mouillée.
    « -Hummm, mon dieu que c’est bon de se faire bouffer la chatte ! Vas-y c’est mieux comme ça, continue ! »

    Mes mains ont attrapé ses cheveux et je lui plaque la bouche dans ma chatte. Je sens son nez maintenant qui farfouille mon clito tandis qu’il me lape avec application cette fois. Il me met d’un coup, 2 doigts dans le vagin et je pousse un petit cri de surprise.

    « - Tu as dit de ne pas faire de bruit ! » Me sermonne-t-il, goguenard.
    « - Chuttt !!! Lèche-moi et tais-toi ! »

    Je suis en transe ! Ma chatte dégouline d’excitation. Le temps s’est arrêté et je prends un pied de malade ! Cette langue, tantôt ferme tantôt molle qui me broute avec avidité, c’est jouissif.

    « -Merde j’ai pas vu l’heure ! Il est 20h. Faut accélérer le mouvement ! » Lui dis-je
    .
    Je défais vite fait quelques boutons de mon chemisier et je m’assois sur le petit escabeau en fer qui sert à saisir des dossiers en hauteur. Jérémy enfile rapido un préservatif, m’empale et me met de bons coups de queue bien sauvages comme j’aime ! J’écarte et je relève les cuisses le plus possible pour qu’il me pilonne profondément. Il bouffe littéralement mes seins et les pétrit en même temps avec force. L’orgasme ne tarde pas à m’envahir et je dois me mordre les lèvres pour ne pas crier.

    -« Retourne-toi, je veux aller dans ton cul ! »

    Je m’exécute, il écarte à nouveau mon string, va me lécher un peu l’anus, pour le lubrifier puis entre progressivement sa queue en entier dans mon cul. Mais il n’a pas de mal à s’y introduire car mon petit trou était déjà bien dilaté par l’excitation. Quand il sent qu’il est bien au fond, il commence à nouveau ses va et vient, accélérant très rapidement le rythme.

    « - Jouis dans mon cul, on a plus le temps-là, je vais être à la bourre !
    - A la bourre ?? Pour l’instant c’est moi qui te bourre le cul, patronne ! » Rétorque- t-il insolemment.

    J’adore cette insolence ! Et j’adore me faire défoncer le cul par ce petit minet de 20 ans. Le plaisir de sentir sa jeune bite dans mes fesses, y a que ça de vrai et j’étais à nouveau toute excitée de me dire qu’il allait éjaculer dans mon petit cul bien ouvert. Je lui tendais ma croupe avec délice, il m’a claqué la fesse, cela m’a fait frissonner de plaisir! Il me donnait la fessée de plus en plus en plus fort. Je me disais qu’il apprenait très vite ce petit saligaud ! Mais mes fesses devaient rougir sous ces giflées très vives. J'aurais dû lui dire de ne pas faire ça car cela faisait du bruit mais le plaisir était trop bon! Il a fini par m’attraper par les épaules pour me défoncer encore plus et dans un ultime assaut, il a éjaculé dans mes entrailles en feu. Que c’était bon !

    J’ai vite redescendu ma jupe, me suis reboutonnée et suis partie presque en courant pour ne pas être trop en retard.
    Il m’a dit le lendemain qu’il avait bien attendu que j’ai quitté les lieux pour sortir du local des archives comme je lui avait ordonné et il est rentré chez lui comme si de rien n’était.

    Comme il avait été obéissant, vous vous doutez bien que le soir même je l'ai chaleureusement remercié de sa discrétion...

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par MrKargal :
hum! tu me donness envie de te baiser dans tous les sens coquine j'ai adoré ton aventure amoureuse
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Pascale

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