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Recit porno : Ancienne actrice de film porno

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
  • 107 18

    Recit porno : Ancienne actrice de film porno

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    A mon âge, certains changent de boulot. D'autres fondent une famille. Moi, j'avais décidé de tout reprendre depuis le début.
    Vingt-cinq ans, 1m72, 68 kg, 95D - 74 - 98, une cambrure dessinée par mes jolies fesses rondes qui ressortent.
    Mes longs cheveux bruns me caressaient la chute des reins, mes yeux verts avaient bouleversé bien des hommes qui, à leur tour, m'avaient transpercée. Il ne me manquait rien. Je ne voulais ni mari, ni enfant. Aucune attache. J'aimais trop les hommes pour appartenir à un seul. J'avais vécu quelques années dans la capitale belge où je m'étais essayée quelques années au cinéma pornographique, sans grand succès. Pourtant, j'aimais ça. J'aimais profondément ça. Leurs mains puissantes, leurs bras rassurants, leur poitrine chaude, leur langue timide et leur verge si douce. Si douce!

    Pourtant,j'avais besoin d'autre chose. Le monde de la nuit me lassait. Le sexe facile me dégoûtait. J'étais blasée. La pluie aussi peut-être? Et le gris? Il fallait à tout prix que je change de vie.

    Ainsi, un beau matin, je quittais tout pour Barcelone. Du soleil, de la couleur!! Du changement!

    En attendant les déménageurs, je m'installais sur la terrasse pour admirer le paysage. Je me rappelais combien avoir fait l'amour à Athènes durant un tournage avait été merveilleux. Les caresses du soleil accompagnaient celles des hommes, les doublaient, les rendaient plus souples, moins professionnelles. Toute à mes pensée, je commençais à sentir mes tétons pointer doucement mais fermement sous mon t-shirt.

    Je fus interrompue par l'arrivée des déménageurs. Je leur indiquai où décharger et me moquai intérieurement de leur casquette bleu foncé à l'effigie de la société de transport qui leur donnai l'air ridicule. En attendant qu'ils aient fini, je cherchai un pourboire dans mon sac, le leur remis et les congédiai.

    Après m'avoir remerciée, 3 d'entre eux partirent mais le dernier m'interpella:
    "Malina, c'est toi?"
    Je le dévisageai, stupéfaite:
    "O... Oui.
    -C'est moi, ***! Tu te souviens de moi? Saint-Pétersbourg!
    -Saint-Pétersbourg? Mais oui!!! Comment vas-tu? Qu'est-ce que tu fais là? Tu es déménageur maintenant?
    -Oui, enfin... (il eut l'air embêté) le porno ça ne paye qu'à moitié, tu vois. Enfin, je m'suis engueulé avec certains, donc j'ai moins de contrats et il faut vivre, quoi. Alors je mets ma gonflette au service des autres. (rires) Et toi? tu es ici pour un nouveau tournage?"
    Après lui avoir expliqué les raisons de ma présence en Espagne, je lui proposai un café qu'il accepta et je repartis loin, très loin, dans mes pensées. A Saint-Pétersbourg.

    Saint-Pétersbourg! Un hôtel de luxe, un de mes premiers tournages, mélange des genres. Deux hommes, six femmes. Je me souvenais alors d'une scène saphique où une jeune débutante à quatre pattes glissait nerveusement sa langue sur mon clitoris tandis que lui la sodomisait avec vigueur, la faisant crier de rage, de douleur et de plaisir.Gros plan sur mon sexe, gros plan sur son anus et sur nos bouches recueillant la précieuse semence.
    Une chaleur m'envahit, me ramenant à la réalité.

    Je revins dans le salon, lui tendis une tasse de café et proposai de visiter l'appartement.

    Tout à notre visite, des chambres et de la salle de bain en rigolant comme deux vieux amis, je lui posais des questions sur sa vie ici, puisque lui aussi était parti.
    Arrivés dans le couloir, d'un coup, j'eus envie de lui. De lui! Il n'y avait plus rien de professionnel, cet homme me plaisait. Je voulais qu'il me baise. Pas comme une collègue, mais comme deux inconnus qui se rencontrent un soir, baisent et se quittent sans rien savoir l'un de l'autre. Je m'accroupis, posais ma tasse de café par terre et m'arrêtais le visage face à son sexe. Il comprit.
    Je levai ma main à son jean et détachai les boutons un à un. Il posa sa tasse sur un meuble tandis que d'un coup sec, je baissai son pantalon. Je léchai son ventre, ma langue parcourait son nombril, jouait autour de ses muscles. La sueur due au déménagement lui donnait un goût salé. Mes lèvres descendirent sur son pubis et enfin
    ma bouche entière joua de son va-et-vient autour de son sexe.

    Sa verge se gonfla, timidement, et puis de plus en plus dure.
    Je me levai, le regardai droit dans les yeux. Son sexe se durcit tout-à-fait. j'enlevai mon jean, mon string et le laissai me plaquer contre le mur. Il me souleva comme une poupée de chiffon, me pénétra violemment et m'assaillit de coups de chibre répétés. Je gémissais de plaisir. Je voulus l'embrasser mais il me retourna, me
    plaqua face au mur et très doucement, très très doucement m'enfonça ses cinq centimètres de diamètre entre les fesses, me dilatant l'anus et m'arrachant des gémissements
    plaintifs.
    Une fois qu'il fut sûr d'être tout-à-fait entré, il joua à entrer et sortir, car mes sphincters lui compressaient la verge, ce qui provoquait chez lui un plaisir intense.

    Une fois bien dilatée:
    "t'aimes ça, hein qu'on te casse le cul?! Hein t'aimes ça, hein?
    -Ohooooooo! Oh oui, oui, oui, oui, oui!!!!! ohooooo oui oui oui!!!!!"

    "-Rooooo qu'est-ce que t'es bonne. C'est encore meilleur quand c'est pour de vrai.
    -Ohoooooooooooooooooooo"

    Sans les artifices du tournage, la douleur était réelle. Mais le plaisir aussi. C'était un pur bonheur!!!!
    "Sodomisée comme la chienne que tu es. ça te fait jouir, hein de te faire défoncer comme ça. (Il illustra ses paroles d'un grand coup de reins.)
    "Ohoooooooooooooo oui, oui, oui, oui!!!! Aïe, non attends, doucement, aïe... ohoooooooooooo
    -Ah! j'adore ça te voir souffrir. J'veux qu'taies mal. ça m'fait jouir. Te casser ton p'tit cul avec ma bite énorme
    -ah! ah!!!!!!"

    Craignant une douleur trop intense, je glissais ma main vers mon clitoris afin d'attiser le plaisir et de me détendre. Il s'en rendit compte, me prit la main, la tint sur le mur avec violence et redoubla ses coups de reins.
    "tu m'sens là, hein, tu m'sens?
    -oh oui! oh oui! ah!!!
    -tu m'sens bien? elle te plait ma grosse queue?
    -Ouiiiiiii, j'tiens plus. vas-y, jouis. Jouis!!!!
    -Jouir? oh non ma belle. j'en ai encore un bon morceau pour toi!"
    Je me perdais entre plaisir et douleur. Il le savait. Il en jouait. Je n'en pouvais plus.


    Après environ trente-cinq minutes de sodomie intense, je m'effondrai à genoux sur le sol, et lui m'aspergea copieusement le visage de sperme chaud.


    J'espère que ma petite confidence vous a plu, en tout cas moi ça me fait plaisir de raconter un peu ma vie de manière anonyme

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Commentaires

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Posté le par hicham maroc :
voila mon num +XXXXX j'aime sex porno anal
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