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Recit sexe : Elle baise avec un ami se son mec

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit sexe : Elle baise avec un ami se son mec

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Je m'appelle Hélèna. En réalité, je m'appelais Hélène, mais depuis quelques années, ce prénom a disparu. Depuis que mon compagnon de l'époque m'a avoué que je ressemblais à une fille de l'est, avec mes longs cheveux blonds, mes yeux bleus clairs, ma peau blanche, et surtout... ma poitrine de bonnet G, ma taille fine et mes fesses rebondies. Il disait que j'étais faite pour l'amour, je crois qu'en réalité, je suis faite pour le sexe.
    Je vais vous raconter cette révélation; comment d'Hélène la sage, je suis devenue Hélèna la voluptueuse, la torride...
    Mon compagnon de l'époque avait un ami, Milo. Un bel italien, carrure d'athlète, 1m85, peau mate, musclé. Je fantasmais en secret sur cet homme, je me caressais lentement, et je frissonnais de plaisir rien qu'à l'imaginer près de moi. je croyais voir parfois dans son regard la flamme de l'envie, ses yeux qui glissaient sur mes seins, descendaient le long de mon ventre pour s'arrêter sur mon intimité, ça me faisait comme une brûlure sur la peau.
    Ça n'allait pas très bien dans mon couple, j'avais besoin de me sentir désirée à nouveau, alors je pensais que c'était mon imagination qui me poussait vers lui. Pourtant, un soir, alors que j'étais seule à la maison, Milo est passé à l'improviste. Je lui ai proposé de rester quand même prendre l'apéro, ce qu'il a fait. Comme je n'attendais personne ce soir-là, je ne portais qu'une petite robe d'été, sans sous-vêtements. Pas même de petit culotte. Nous étions tous les deux sur le canapé, et j'ai commencé à me confier à lui, sur le manque que je ressentais, le besoin d'un corps contre le mien, l'envie de jouir à nouveau... Est-ce l'alcool? La proximité de son corps? Pourquoi ce soir-là? Je ne sais pas... Il était temps. Puisque j'en étais à lui confier mes désirs secrets, autant tout dire. Il me souriait et me regardait avec ce feu qui m’atteignait. J'avais envie de lui. Envie qu'il me touche, qu'il m'embrasse, qu'il me lèche, qu'il me pénètre... Je n'ai pas eu besoin de l'exprimer. En réponse à mes confidences, il m'a demandé:
    "Je peux faire quelque chose pour toi? Je vois que mon ami n'a pas compris quelle chance il a de vivre avec toi... Il ne sait pas comment on traite les femmes comme toi... Tu veux que je te montre?"
    J'étais tétanisée. Il voulait de moi! Mon fantasme allait se réaliser.
    Soudain, sa voix changea, se fit plus dure:
    "Lève-toi. Devant moi."
    Je me levais et me tenais face à lui, assis sur le canapé. Il posa ses mains sur mes cuisses et les fit remonter doucement, passant sous ma robe, arrivant sur mes hanches.
    "Mais tu n'as pas de culotte, dis-moi. Tu es une vraie petite salope. Tu n'attendais que ça! Je vais te donner ce que tu veux, ne t'inquiète pas. Enlève ta robe maintenant!" La voix était sèche, mais ça m'excitait encore plus. Je laissais tomber les bretelles de ma robe sur mes épaules, et elle glissa au sol, dévoilant mes seins lourds, nus, les tétons dressés.
    Il les empoigna d'un geste brusque, une main sur chaque sein, les pressant durement. Il me faisait mal, mais je n'osais rien dire. Il les malaxait violemment, les tirant vers lui, toujours assis. Puis il les lâcha tout aussi brutalement et m'ordonna d'écarter les jambes.
    Je ne savais pas quoi faire, et il vit mon hésitation. Sa main claqua ma fesse.
    "Je t'ai donné un ordre!"

    J'écartais les jambes, rougissante, obéissante.
    ses mains me caressaient l'intérieur des cuisses et remontaient lentement vers mon vagin. J'étais tremblante de désir, et de la mouille coulait sur mes jambes.
    "Tu es déjà excitée, petite pute, je n'aurais pas pensé que tu sois aussi chaude. Je vais bien m'occuper de toi!" Et il pénétra un de ses doigts dans ma chatte, sans autre préliminaire. Il commença à le faire entrer, puis sortir lentement, avec un mouvement de va et vient qui me mettait au supplice. De son autre main, il pressait mes fesses et s'approchait de mon anus avec ses doigts.

    Soudain il se leva, toujours un doigt dans ma chatte, et me poussa sur le canapé. J'étais les fesses en l'air, les seins ballotant dans le vide, en appui de mes mains sur le canapé. Il devait avoir une vue plongeante sur toute mon intimité, ce qui m'excitait encore plus. IL entra un deuxième doigt dans mon vagin trempé et repris son mouvement, plus fort, plus loin. Je gémissais et mes hanches suivaient le rythme de sa main.
    "T'es une vraie salope, je vais te faire crier"

    Il ajouta un troisième doigt dans ma chatte et cracha dans mon cul. De son autre main, il me caressait la rosette, l’humidifiait, puis entra doucement une première phalange dans mon anus. Il fit tourner son doigt et l'entra tout entier. Il reprit son mouvement de va et vient entre ma chatte et mon cul. Je ne retenais plus mes cris, il allait toujours plus fort, toujours plus loin, à me déchirer les entrailles. La jouissance est venue, fulgurante, violente. Je jouis sous ses doigts, et m'effondrait dans le canapé. Il enleva ses doigts. Je me remettais doucement de mes émotions, je ne l'entendais plus. Soudain, il me retourna sans ménagement. Il était nu. Une bite impressionnante me faisait face. Longue de 25 cm, avec un diamètre imposant, les couilles rasées, il affirma
    "A mon tour, ma jolie. Je suis trop excité pour que tu me suces aujourd'hui, mais crois moi je reviendrai et tu me feras une fellation digne de ce nom. Tu goberas mes couilles, tu lècheras mon gland et tu avaleras tout mon sperme. Mais là je vais profiter de tes trous accueillants."
    Sur ces mots, il attrapa mes jambes, se plaça entre elles, et me pénétra d'un coup sec. Je criais de surprise, de douleur et d'envie. Il me prenait sauvagement, sans se soucier de moi, je ballotais sous ses coups de poussoir, il entrait en moi au plus profond et ressortait, puis remettait toute sa queue jusqu’à ce que ses couilles heurtent mon cul. Il me prit ainsi 20 minutes, me tenant les seins, les mordant, allant toujours plus profond en moi, m'arrachant des cris de plaisir et de souffrance. Brusquement, il donna un coup lus violent que les autres, enfonçant toute sa bite dans mon ventre, et éjacula au plus profond de mes entrailles dans un cri rauque. Je jouis avec lui, épuisée, haletante, ouverte comme jamais, mais épanouie, enfin...
    Quand enfin, on reprit nos esprits, il me regarda tendrement, et me sourit.
    "J'espère que tu as aimé.. Ce n'est que le début. On a plein de choses à vivre et à découvrir, tu ne crois pas?
    - Oh oui, j'en suis certaine..."
    Je devais quitter mon compagnon peu de temps après, et avec Milo, je me suis initiée au plaisir sous bien des formes avant de prendre mon envol avec d'autres hommes... et femmes.

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