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Recit sexe : Elle va au sauna libertin avec sa copine

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    Recit sexe : Elle va au sauna libertin avec sa copine

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Coucou mes fripouilles,

    Pour commencer, je dois vous avouer que de plus en plus je pense vraiment être bisexuelle. Je continue mes petites cochonneries avec Magali, ma meilleure amie lesbienne tout en collectionnant les plans cul avec des mecs. Je n’arrive vraiment pas à me décider.
    De toute façon, je me dis qu’à 21 ans j’ai tout le temps de choisir…ou pas ! Alors je laisse faire, on verra bien où cela me mènera.
    Mais quand même, parfois je me demande si je ne suis pas en train de faire n'importe quoi...

    En plus Magali commence à être un peu jalouse et si au début cela m’amusait, maintenant cela m’agace un peu. Elle est d’ailleurs davantage jalouse des mecs que je peux me faire que des filles. Sans doute parce-que pour mes plans cul homo, elle est toujours avec moi alors que concernant les mecs, c’est en sortant la plupart du temps sans elle. Donc elle n’a aucun contrôle sur moi et je pense que c’est cela qui doit la miner.

    Enfin, ceci étant dit, le weekend dernier je lui ai proposé d’aller dans un hammam libertin naturiste. Je n’ai pas de mec attitré pour y aller en couple et puis c’est quand même plus sympa d’y aller à 2. J’avais envie de tenter l’expérience et comme j’ai reçu par mail une invitation, fallait « sauter sur l’occasion », si vous me permettez l’expression.
    Magali étant d’accord, nous avons décidé d’y aller lundi dernier. On s’était dit qu’en semaine il y aurait moins de monde, et pour une première fois, c’était mieux.
    Une jeune femme nous a accueillies, elle était charmante et très souriante. Elle nous a fait visiter le hammam, nous montrant les différents endroits et comment cela fonctionnait. J’avais les yeux écarquillés comme une petite fille le matin de Noël.
    Elle nous a donné 2 serviettes et nous sommes allées nous changer aux vestiaires.
    Il n’y avait en effet pas grand monde et c’était très bien. Un passage sous la douche vite fait et nous entrons dans le hammam, dans la tenue d’Eve.

    Le hammam était assez grand, cela sentait bon l’eucalyptus. La lumière tamisée et la vapeur abondante me donnait l’impression d’être dans un cocon. Nous nous sommes assises, le temps que notre corps s’habitue à ce changement de température. J’avais un peu de mal à respirer au début mais la gêne n’a pas duré longtemps. Dans un coin, il y avait un homme, un habitué sans doute, qui se relaxait. Magali m’a jeté un coup d’œil et j’ai compris que déjà cela ne lui plaisait pas qu’il y est un homme avec nous. Assises en face de cet homme, je le dévisageais. Il devait bien avoir plus de 50 ans, une belle chevelure blanche mais il était encore beau et son corps prouvait qu’il devait être encore très sportif. Il aurait pu être mon père mais j’étais toute excitée. Lui nous matait très naturellement et son regard d’âge mur exacerbait mes sens. Magali finit par s’allonger sur la banquette et pose sa tête sur mes genoux. Je ferme les yeux et je savoure la moiteur de l’endroit qui m’envahit. Je me sens toute molle, alanguie de bien être, tous mes muscles se relâchent. Je jette de temps en temps un coup d’œil à l’homme seul : il ne bouge pas.

    Nos corps, en sueur dans cette atmosphère vaporeuse et tamisée, sont terriblement sensuels. Alors machinalement, je commence à caresser Magali. Mes doigts se posent sur son épaule, l’effleurent et descendent doucement sur ses seins. Je dessine des ronds autour de ses aréoles larges et ses tétons commencent à se dresser sous mes caresses. L’homme, malgré la vapeur, me regarde faire. Il me sourit comme une invitation à continuer. Je suis toute émoustillée, je me dit que j'ai vraiment de la chance d'avoir l'esprit ouvert et de pouvoir m'accorder ce genres de moments..

    La chaleur ambiante demande des gestes lents et je m’applique à faire bander les seins de Magali. Elle pousse de petits soupirs, les yeux fermés. Je sens qu’elle en a oublié l’homme en face de nous. Elle passe un bras au-dessus de sa tête et glisse sa main entre mes cuisses. Je les écarte légèrement pour qu’elle puisse me caresser plus facilement. Ses doigts glissent sur mon pubis, reviennent sur l’intérieur de mes cuisses. L’homme a posé sa main sur sa queue et se caresse très doucement. Mon regard ne peut se détacher du va et vient de sa main sur son engin. Il prend du plaisir en nous regardant nous caresser et cela affole mes sens.
    Je me penche un peu sur Magali et mes doigts vont se perdre dans son petit minou tout lisse. Je ne quitte pas l’homme du regard. Sa chatte est toute humide, toute chaude. Son clito est tout gonflé et elle commence à se cambrer sous mes doigts. Elle pousse de petits gémissements et cela m’excite. Je vois le sexe de l’inconnu se dresser au fur et mesure de nos caresses. J’ai envie de sa queue. J’ai envie de baise ! L’envie est irrépressible. Magali, elle, savoure mes caresses maintenant sans retenue. Elle n’a rien vu de notre jeu de regard avec l’inconnu.

    Alors tout doucement je lui dis que j’aimerai bien aller dans une des chambres. Elle ne se fait pas prier. Je la prends par la main et on file dans la première chambre venue. Je souris à l’inconnu au passage. Je laisse la porte de la chambre ouverte, signe que d’autres personnes peuvent se joindre à nous. Magali ne fait pas gaffe.

    Je l’allonge sur le lit et je me mets à genoux pour lui lécher la chatte. Je fourre ma langue dans ses chairs roses dégoulinantes de mouille. Le cul en l’air, je n’ai qu’une envie, que l’inconnu vienne me prendre par derrière pendant que je fais jouir mon amie. Ma chatte a besoin d’une bite. Je suis en feu rien qu’à l’idée d’imaginer la scène. Je bouffe littéralement le minou de Magali quand je sens des mains me caresser la croupe.
    Je ne l’ai même pas entendu arriver alors que j’étais pourtant aux aguets. Un vrai félin ! Un frôlement léger puis ses mains qui osent davantage explorer mon corps. Je ne me retourne même pas. Je ne sais même pas si c’est l’inconnu de tout à l’heure mais à vrai dire je n’en ai rien à faire ! J’ai juste envie de me faire défoncer la chatte ou le cul, peu importe.
    Vous connaissez ces moments, où plus rien ne compte ? Ces moments où vous avez juste envie d’assouvir vos pulsions sexuelles, parce-que le désir est trop fort et qu’il n’y a qu’une chose qui compte : jouirrrr !

    Magali, les cuisses grandes ouvertes ondulent sous mes coups de langue. Je lui enfile 2 doigts dans la chatte et je m’acharne en même temps sur son clito qui bande comme un pénis miniature. Elle est au bord de l’orgasme. L’homme derrière moi glisse un doigt dans ma fente inondée de mes liqueurs intimes. Je sens Magali sursauter. Elle a ouvert les yeux et a vu l’homme. Mais comme elle est au bord de la jouissance, elle ne peut plus rien arrêter. Elle a un grognement de contrariété que je laisse mourir sur ses lèvres en lui fourrant mon doigt plein de mouille dans la bouche. Cela la calme un peu et elle lèche mon doigt avidement.

    L’homme fait glisser sa queue de ma chatte à mon cul comme s’il hésitait. Il prend un peu de ma mouille sur les doigts et me dilate le cul avec. Il a décidé ! Mon petit trou du cul est tout ouvert, prêt à se faire démonter. Je sens le contact du latex qui cherche à pénétrer mon orifice. Il m’empale d’un grand coup sec et commence à me défoncer le cul. Je suis tellement excitée que je vais jouir rapidement. Presque je voudrais que ces coups de reins durent encore et encore et que la montée du plaisir ne se fasse pas si vite. Il a empoigné mes hanches et m’encule comme une vraie chienne en chaleur que je suis. Putain que c’est bon ! C’est Magali qui jouit la première en m’aspergeant le visage de sa mouille fontaine. Je la bois comme une désespérée. J’aime le gout de sa cyprine.
    L’inconnu me défonce le cul comme une brute. Il entre et sort avec force dans mon petit cul! Je jouis dans des gémissements bruyants et l’homme éjacule quelques secondes après avoir bien malmené mon trou du cul.

    Magali vexée, sort aussitôt de la pièce et je la suis bien malgré moi. J’aurais aimé rester encore. Elle m’a fait la gueule jusqu’à ce que l’on rentre chez elle. Mais rassurez-vous, nous nous sommes réconciliées sur l’oreiller.
    En tout cas je vais retourner au hammam et sans Magali s’il le faut. Car j’ai pris un pied phénoménal. C’était trop de la bombe ! Au fait j’ai oublié de vous dire, c’était bien le beau quinquagénaire qui m’a baisé comme un dieu.

tel rose voyeur

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Alexis :
Tu es une vraie bombe sexuelle.Quel régal!!! J'aurais aime être a la place de ce vieux mais je me console par la branle
Posté le par Anonyme :
waoouh tu m'a fait jouir comme jamais !! *__*
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Aurore

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