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Recit erotique : Foursome du menuisier partie 2

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
  • 28 2

    Recit erotique : Foursome du menuisier partie 2

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    plan à quatre film

    Salut les artistes !

    C’est le retour de Luc, le menuisier. Je vous ai raconté le début de mon expérience sur un chantier bien particulier, puisque j’ai assisté à un tournage de film porno amateur, entre mon client, sa femme, et une troisième donzelle. Tous les trois se faisaient filmer par un quatrième gars, les nanas étaient canons et bi, mon client Monsieur F était aux anges, forcément et il venait en plus de les faire jouir toutes les deux. Et moi, ben j’étais avec mon alu en train de poser ces satanés fenêtres, mais j’en perdais pas une miette !
    Donc le gars se posait un peu, pendant que les deux minettes continuaient à coquiner entre elles, se doigtant la chatte, se bouffant le minou dans toutes les positions possibles, l’une sur l’autre en 69. Puis Madame se juchait sur son amante et se faisait doigter la chatte et le cul tout en suçant encore la queue de son homme, qui avait repris toute sa vigueur. Bref au bout de quelques minutes le caméraman proposa de baiser (charmante attention !) et mon client alla enfiler une capote afin d’être opérationnel. Je ne vous cache pas que de voir tout ça, j’avais une gaule d’enfer, même si je n’étais pas spécialement aux premières loges… j’avais vraiment envie de m’astiquer un peu mais je me retenais, car après tout je n’étais pas censé participer à cette partie fine.
    Mon client disposa donc les deux nanas, cul en avant, ventre contre le canapé, l’une à côte de l’autre, et il se présenta devant la première, la plus jeune, pour commencer à la baiser. Une bonne levrette qui lui convint tout à fait puisque la gamine commençait à pousser de jolis gémissements, sous le regard goulue de sa partenaire qui ne cessait de la ploter, de l’embrasser, d’embrasser aussi son mari. Y en avait pour tout le monde. D’ailleurs, pour ne frustrer personne, le mari garda sa main gauche sur la hanche de la jeune fille qu’il baisait bien profondément, puis de l’autre il doigta sa femme, mettant deux doigts dans son orifice qu’elle venait d’écarter spécialement pour lui. Il resta ainsi quelques bonnes minutes et il passa à sa femme. Ainsi de suite, il restait cinq minutes dans chacune et il changeait, sous l’œil de la caméra qui passait et repassait près des culs des nanas, filmant tout en gros plan. Pas un seul membre n’était laissé en paix, les mains caressaient les seins, palpaient les couilles ; les nanas, totalement bi, en profitait pour assouvir leur fantasme. Et moi. Ben à un moment je faisais glisser une grosse clé à molette et elle tomba sur le carrelage avec fracas. Voilà. Grand blanc. Et ils se rendirent tout compte que j’étais là depuis le début, loin mais présent à un coin de la pièce.
    « bah monsieur, on mate la scène, vous avez tout compris vous » me lance le caméraman ! Je ne sais que répondre, je m’excuse simplement, disant que je vais y aller et finir le chantier demain pour plus de… commodités.
    « bah monsieur, venez voir de plus près en cas » Et le caméraman vient, caméra baissée, pour me proposer de venir. La patron est d’accord, ajoute-il.
    Je m’approche donc de la scène et ils m’attendent, tous les trois, un peu le sourire aux lèvres. Apparemment ils ne sont pas choqués, le gars est hilare, et dès que je reviens, il en profite pour basculer la jeunette sur le dos et la prendre en missionnaire. Le caméraman se remet à tourner ; et la femme s’assoit donc sur la bouche de la jeune fille pour encore se faire lécher. Je suis cette fois super près de tout, j’arrive pas à croire que je suis dans un film de cul. Et là j’avoue que tout s’accélère. Sa femme me regarde, je suis alors posté pas loin du canapé et elle me demande de m’approcher encore. Une fois près d’elle, sans aucune hésitation, elle met la main sur mon pantalon et me demande si je veux bien qu’elle me suce. Le mari, derrière, occupé à baiser la jeune fille, ne semble pas dire non. Ok !
    Elle sort alors ma queue, bien droite, de mon boxer, et elle commence à me sucer aussi, tout en se faisant lécher la chatte. Je me retrouve donc apprenti acteur, et je pense pas du tout à ma femme et mes gosses qui m’attendent à la maison, je me dis que cette occasion ne se représentera pas de sitôt. Elle me suce bien le gland, et me le lèche, avant de me lécher les boules et de me branler copieusement . j’ai vraiment envie de la baiser. Elle le sent à la manière dont je la regarde. Elle descend alors de sa partenaire et vient se poster devant le canapé, sur l’accoudoir et me présente sa chatte.
    Le caméraman me tend une capote, que j’enfile avec difficulté, excitation oblige. La nana se caresse et humidifie sa chatte, qui m’attend. Nous voilà donc face à face avec le gars, chacun avec une nana, et je la laisse enfoncer ma queue dans sa chatte, que je sens toute humide et lubrifiée ; c’est tellement bon que je m’enfonce jusqu’à la garde, et je la baise ainsi de longues minutes. Les filles s’embrassent, encore et encore et gémissent ; elles semblent vouloir jouir encore et moi je sens que je vais venir vite ; je ne jette pas un œil sur le mari et je continue à baiser sa femme. Je sens la jouissance arriver et je jouis dans la capote, en donnant quelques coups de boutoirs qui la mène au septième ciel. Le mari, plus à l’aise, sort sa bite, retire sa capote et amène les deux nanas devant lui ; il se branle activement devant elle et elles tirent la langue pour recevoir le jet, comme dans les films : il ne tarde pas à juter et son foutre éclate sur les visages des deux nanas, qui se lèchent l’une l’autre pour tout avaler, avant de lécher encore la queue du client. Moi je me suis vite rhabillé, et je veux m’éclipser rapidement. Je suis vite arrêté par le caméraman, qui me demande si je veux apparaître sur la video, je réponds non ! Il va donc me flouter.
    Quant au client, la seule chose qu’il me dit en partant, c’est cette phrase mythique
    « à demain, pour le pourboire…je considère que c’est fait n’est ce pas ? »
    Le chantier s’est terminé le lendemain tout simplement, mais je n’oublierai jamais que j’ai participé, à un tournage d’un porno français bien célèbre !

    Merci !






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Luc

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