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Histoire de sexe : Fraichement divorcée, elle profite

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    Histoire de sexe : Fraichement divorcée, elle profite

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonjour à tous.

    C'est moi Martine, femme de 43 ans, libre et ouverte.

    Si je compte bien, je ne suis pas venue depuis le mois de mars et pour cause, nombreux ont été les changements dans ma vie. Il y a quelques mois, j'ai entamé une procédure de divorce. Il y a longtemps que j'aurais du le faire. Quand il n'y a plus de passion, pourquoi s'obstiner? Ce sont mes petites aventures extraconjugales (que je vous ai raconté), qui m'ont fait comprendre que j'avais le droit à une vie meilleure.

    Mon mari a été surpris par ma décision, comme quoi, nous n'étions vraiment plus sur la même longueur d'onde. Bien sûr, je ne lui ai pas dis que je l'avais trompé. Ce que l'on ne sait pas ne peut pas nous faire de mal.

    Je me suis aussi mise en quête d'un emploi. Je suis trop longtemps rester chez moi à me contenter de faire le ménage et ce genre de chose... Pas facile de trouver un travail avec très peu d'expérience sur mon CV. Ayant de bonne connaissance en informatique et un niveau d'études quand même assez élevé , j'ai finis par décrocher un poste de standardiste dans un hôtel. Je m'occupe aussi de l'accueil.

    Le patron est un homme très sympa d'environ soixante ans, mais un peu lourd sur les bords. Il me faisait toujours des allusions et il jetait toujours un coup d'œil dans mon décolleté. Je n'étais pas du tout attirée par lui. Heureusement pour moi, il ne passait pas souvent à l'hôtel. C'est son fils qui gère les affaires. Il a 28 ans, il s'appelle Baptiste. Il est comme son père, un grand séducteur. Sauf que lui il me plaisait. C'est toujours flatteur lorsqu'un homme beaucoup plus jeune que vous, vous fais sentir que vous êtes belle.

    Plus le temps passait, plus je le désirais. Il jouait avec moi. Parfois ses doigts s'égaraient dans mon dos, sur mes fesses, sur mes hanches. Un contact très bref mais au combien excitant.

    Je n'osais pas prendre les devants. Il était quand même mon supérieur et puis peut-être qu'il ne voulait pas aller plus loin dans le jeu.

    La semaine dernière exceptionnellement, mes horaires ont changé. D'habitude je commence vers cinq heure le matin et je finis vers 13h. Cette fois, j'ai commencé à 16h. A minuit j'ai commencé à faire le tour pour tout fermer. Dans la petite salle de sport mise à la disposition des clients, il y avait encore de la lumière. J'y suis donc allée pour l'éteindre. La pièce n'était pas vide. Le fils du patron était là. En marcel le torse plein de sueur, il soulevait de la fonte sur un banc de musculation.

    Je me suis raclée la gorge pour lui signifier qu'il n'était pas seul. Il s'est interrompu et il s'est redressé.

    - Bonsoir monsieur. Je vous laisse les clés pour fermer la salle de sport? Lui-ai je demandé.
    -Non Martine, j'ai terminé.

    Il s'est redressé. Je n'ai pas pu m'empêcher de le dévorer du regard ce qu'il a remarqué.

    - Quelque chose vous trouble Martine? m'a-t-il demandé en retirant son tee-shirt.

    Gênée, je me suis détournée en répondant non. C'est à ce moment là que je l'ai senti se rapprocher de moi. D'abord son souffle sur ma nuque, puis ses mains sur mes hanches. Il m'a serré fort contre son torse. J'ai senti une vague de chaleur envahir mon corps.

    Il m'a retournée face à lui et il m'a embrassée goulument. Sa langue a plongé dans ma bouche à la recherche de la mienne et ses mains se sont emparées de mes seins. Mes tétons se sont durcis de plaisir. Comme je n'osais rien faire, il a fait tomber mon sac, il a attrapé l'une de mes mains et il l'a glissée sous son boxer. Sous mes doigts, j'ai senti sa tige chaude et gonflée. Je l'ai empoigné et j'ai commencé à la caresser de haut en bas.

    C'était chaud, très chaud et tout s'est très vite accéléré.

    Il s'est assis sur le banc de muscu short baissé, sexe tendu. Il m'a demandé de me déshabiller. Au début, mes gestes étaient mal assurés et timide et puis peu à peu, j'ai fait glisser mes vêtements un à un en promenant mes mains sensuellement sur mon corps.

    Avant de m'avancer vers lui, j'ai fouillé dans mon sac et j'en ai sorti un préservatif. Je me suis agenouillée entre ses jambes et je lui ai enfilé avec la bouche. Tout son corps s'est tendu en sentant mes lèvres se serrer autour de son instrument de plaisir.

    Je me suis redressée et dos à lui, je me suis assise sur ses genoux. Son sexe à glisser en moi, centimètre par centimètre. C'était chaud, dur et doux à la fois, c'était bon.

    J'ai remué d'avant en arrière. Je m'ouvrais de plus en plus et ma cyprine inondait l'intérieur de mes cuisses. Baptise a empoigné mes hanches pour me faire bouger encore plus vite.

    Très vite, j'ai été comme paralysée par le plaisir. Mes muscles étaient agités de spasme je ne pouvais pas continuer mes mouvements. Alors, les mains toujours sur mes hanches, il a continué à me secouer d'avant en arrière jusqu'à ce qu'il explose.

    Lorsque j'ai réussi à me mettre debout, j'ai remarqué que son préservatif était plein de son précieux nectar.

    Je m'appelle Martine, j'ai 43 ans et je croque la vie à pleine dents.

    Je vous embrasse, vous qui me lisez.

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Martine

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