Recit sexe : Une petite lycéenne de 18 ans dépucellée
- 639 96
Recit sexe : Une petite lycéenne de 18 ans dépucellée
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 26/11/2013
Publié le 26/11/2013
Bonjour,
je m’appelle Manon et j’ai 18 ans. Je suis encore lycéenne, j’ai repiqué ma terminale l’année dernière, à cause des maths bien sûr et du coup rebelote pour une année. J’ai un petit ami avec qui je suis depuis 6 mois (c’est lui qui m’avait montré le site un jour de rigolade). Nous n’avons encore jamais fait l’amour ensemble ! Il est adorable car il me respecte même si cela devient dur pour lui (c’est le cas de le dire sans vouloir faire de mauvais jeu de mots). Pour moi aussi ça l’est car j’aimerais enfin goûter aux joies de l’amour. Mais je ne sais pas pourquoi je ne me sentais pas prête à sauter le pas jusque-là. La peur d’avoir mal je pensais, mais maintenant je sais pourquoi…
Bien sûr on est déjà allé assez loin avec Hugo. Étant donné que l’on dort régulièrement chez l’un ou chez l’autre, on s’est déjà caressé. Je l’ai masturbé et lui ai fait des fellations. J’aime bien d’ailleurs lui tailler des pipes, cela m’excite aussi. Il a bien tenté à plusieurs reprises d’aller plus loin mais je l’ai toujours arrêté par peur.
Cette année, mes parents ont décidé de me faire donner des cours particuliers en math afin de mettre toutes les chances de mon côté et d’enfin l’obtenir ce satané bac ! Vous vous doutez bien que je n’étais absolument pas d’accord et que c’est en trainant les pieds que j’ai attendu mon premier cours. Quand j’ai fait la connaissance de Christopher, le prof, je l’ai trouvé trop trop beau. Je suis plutôt du genre timide et au début je n’osais rien. Il me semblait inaccessible ! 24 ans, super mignon, super intelligent, il donne des cours pour pouvoir terminer ses études d’ingénieur. Il a un côté bad boy vachement excitant : les cheveux en bataille, une petite barbe de 3 jours. Moi qui suis jolie mais plutôt réservée avec des tenues assez sage, j’ai été subjuguée par ce garçon. Et, qui l’eut cru, j’attendais tous les mercredi après-midi avec impatience. Je suis presque devenue studieuse et c’est vrai que depuis septembre, les progrès se sont fait rapidement sentir. Mes parents sont ravis et moi aussi.
Au fur et à mesure que j’ai appris à le connaitre, ma timidité s’est un peu envolée et j’essayais tant bien que mal de lui montrer à quel point il me plaisait. Je crois qu’à chaque fois que je le regarde je dois avoir des étoiles dans les yeux. Et le soir dans mon lit je me caressais souvent, un peu honteuse, mais c’était tellement bon de jouir en nous imaginant faisant l’amour. Il devenait un véritable fantasme ! Et petit à petit, on est devenu de plus en plus proche.
Il y a 3 semaines il m’a embrassé. Il a profité d’un aprèm où ma mère s’était absentée un petit moment pour pratiquement me sauter dessus. Je sentais bien que le courant passait et parfois il y avait des insinuations assez claires mais je n’aurais jamais pensé qu’une fille de mon âge puisse l’intéresser. Ce baiser, en fin de cours, était méga XXL. Je me suis sentie toute chose à l’intérieur. Même avec Hugo je n’avais jamais ressenti cette sensation. Une espèce de chaleur qui vous monte du bas du ventre jusqu’à la pointe des cheveux. Pendant les 15 derniers jours suivants on bossait bien sûr mais dès que ma mère avait le dos tourné, il en profitait pour m’embrasser, me caresser. On ne se voyait pas en dehors du cours et je peux vous dire qu’il me tardait le mercredi après-midi.
Sous la table de la salle à manger, il a même osé mercredi dernier s’aventurer sous ma jupe. Quand j’ai senti sa main chaude se faufiler entre mes cuisses j’ai eu un petit hoquet de surprise et je suis devenue rouge comme une pivoine. Il m’a fait signe de me taire et a continué son exploration. Ses doigts sont passés sous ma petite culotte de coton et il a commencé à caresser mon abricot tout gonflé de désir. Il continuait à m’expliquer mes cours comme si de rien n’était, je n’en revenais pas de son culot alors que ma mère pouvait surgir à tout moment. Mais je n’écoutais plus ce qu’il disait et je savourais en silence le plaisir qu’il me donnait. Sa main a ensuite glissé vers mon vagin et j’ai compris qu’il voulait me pénétrait de ses doigts et je me suis crispée. J’ai resserré les cuisses en signe de refus. Il a été surpris mais n’a pas insisté.
Et voilà que ma mère, en confiance depuis bientôt 3 mois que je prends les cours, nous dit qu’elle va faire des courses. J’allais enfin pouvoir me retrouver seule avec lui pendant au moins 1h et j’en étais à la fois terriblement excitée et terriblement angoissée. Ma mère partie, Christopher me dit :
« - Et si tu me montrais ta chambre, histoire de voir à quoi ressemble l’univers d’une gamine de 18 ans. »
Un peu piquée au vif d’être traitée de gamine, je l’emmène sans réfléchir. Il jette un coup d’œil rapide à ma chambre puis s’assoit sur mon lit. J’en fais de même et il m’enlace pour m’embrasser langoureusement. Je sens à nouveau cette chaleur irradiante si particulière. Il passe ses mains sous mon teeshirt, fait jaillir mes petits seins de mon soutif et commence à me les malaxer, les pétrir, il agace mes mamelons et je ne sais plus où je suis. J’ai l‘impression de vivre éveillée ces fantasmes que je faisais la nuit en me caressant.
« - Humm tu as des petits seins tout frais. J’adore! Regarde comme je les fais bander !»
Je rougis sous le compliment. C’est maintenant sa bouche qui remplace ses mains et je ne peux m’empêcher de pousser des soupirs de plaisir. Puis brutalement il se lève et se plante debout devant moi qui suis toujours assise sur le lit. Il déboutonne son jeans, le tombe à ses pieds et mon visage se retrouve en face d’un sexe énorme en érection. Je n’ai vraiment connu que le sexe d’Hugo et la comparaison est sans appel. Je prends presque peur. Voyant mon hésitation, il approche mon visage vers ce phallus impressionnant.
« - J’ai envie que tu t’occupes d’elle, ma belle. Tu veux bien me sucer un peu ? »me dit-il doucement.
Reprenant contenance, je me dis que, quand même, ça je sais faire. Alors je prends son sexe dur entre mes mains et commence à le masturber doucement. Ma bouche s’approche timidement et je lèche cette verge dure comme de la pierre. Il gémit sous mes coups de langue. Enhardie par sa réceptivité, j’enserre mes lèvres autour de son gland et le suçote, le mordille, joue avec ma langue. Cela me procure un plaisir extrême de « sucer » cette verge énorme qui me montre du doigt. Je n’ai pas beaucoup d’expérience mais je veux faire ça bien et je mets tout mon cœur dans cette fellation qui me fait mouiller ma petite culotte.
Puis il m’allonge sur le lit et m’enlève mon jeans d’un geste vif. Je me dis qu’il doit y avoir une auréole de mouille sur ma petite culotte blanche qui doit se voir et j’en rougis à l’idée.
« - J’adore quand tu rougis. »
Il sent que je ne suis pas rassurée et il enlève mon slip avec douceur pour ne pas m’affoler.
« - Christopher il faut que je te dise..
- Oui ?
- Je… je suis vierge » lui dis-je dans un souffle, en baissant les yeux.
- Vierge ? A ton âge ? C’est rare ma belle mais j’aime beaucoup le cadeau que tu me fais. Je n’ai jamais dépucelé de fille, cela va être une 1ère pour moi aussi. Ne t’inquiète pas, je vais te faire l’amour très doucement. Tu vas aimer, laisse-toi faire…
« - Oui mais… »
« - Chuuttt ! »
En disant ça il s’est allongé sur moi, me forçant un peu à ouvrir mes cuisses et je sens son sexe raide sur mon pubis. Il m’embrasse à nouveau avec beaucoup de volupté et je fonds littéralement. Mon corps n’est que désir. Bien malgré moi, il se tend vers cet homme qui m’excite au plus haut point. Ces sensations nouvelles me troublent délicieusement et j’ai soudain envie qu’il me pénètre, que l’on ne fasse qu’un. J’ai peur mais pour une fois le désir est plus fort.
Je sens son sexe qui cherche le passage dans mon petit minou. Je me crispe un peu. Il entre le bout de son gland dans mon antre humide bien malgré moi. Son corps chaud qui pèse sur moi, son odeur sont des aphrodisiaques. Sa bouche qui s’empare de la mienne avec un peu de violence maintenant me fait frémir de plaisir. Mon corps est en attente, des frissons parcourent chaque centimètre de ma peau.
Alors tout doucement il entre et ressort son sexe petit à petit, s’enfonçant toujours plus loin dans mon intimité. Soudain je sens une douleur fulgurante qui m’envahit et mon vagin se crispe autour de sa verge. Je comprends qu’il a déchiré mon hymen. Heureusement la douleur est fugace et s’estompe petit à petit. Ca y est je ne suis plus vierge et je n’ai plus peur. Je peux m’abandonner. C’est maintenant un plaisir indescriptible de sentir sa verge emplir mon petit minou.
Je gémis tellement c’est bon et encouragé par mes gémissement, il accélère les va et vient. Ils deviennent maintenant puissants, plus brutaux et je sens à nouveau cette fameuse chaleur qui envahit tout mon corps. Je serre ses belles fesses entre mes mains et je lui demande de cogner plus fort. L’orgasme n’est pas loin. Encore quelques coups de reins bien sentis et je jouis avec bonheur avec un sexe énorme dans ma fente pour la première fois. Je n’aurais jamais pensé qu’il puisse me pénétrer entièrement. Quelques minutes après, Chistopher a éjaculé dans mon intimité avec violence. J’étais heureuse de sentir au fond de moi son sperme chaud couler le long de mes parois. Il s’est couché à côté de moi, m’a serré contre lui et m’a embrassé.
Du sang avait coulé sur l’intérieur de mes cuisses et j’ai réalisé avec horreur que des petites taches de sang maculaient ma couette. J’ai vite essayé de la nettoyer et j’ai retourné la couette pour ne pas que cela se voit.
Puis réalisant qu’une heure c’était déjà écoulée, nous nous sommes vite rhabiller pour revenir dans la salle à manger et feindre de ne pas avoir bougé de place.
Ma mère pouvait revenir d’un instant à l’autre. Il m’a donné son n° de portable en me faisant promettre de l’appeler pour se voir en dehors de chez moi.
Le soir en repensant à tout ça, je me suis dit que la peur de la douleur avait été un obstacle à mon passage à l’acte mais pas seulement. Ce qui me manquait c’était le désir sexuel torride. Avec Hugo, cela restait finalement une histoire plutôt romantique.
Christopher, parce-que je l’ai désiré violemment depuis le départ, a su me rassurer et m’amener vers le plaisir sans trop de craintes.
Voilà mon histoire et je ne regrette rien. Au contraire, il me tarde de recommencer très vite. Je compte bien revoir Christopher en dehors des cours et je vous raconterais, si j’ai le temps.
Tu veux parler avec une coquine ?
Alors viens découvrir le profil de nos coquines par téléphone.
Alors viens découvrir le profil de nos coquines par téléphone.
Ou, compose directement le et fais-toi plaisir ;)
Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
Les autres aventures coquines de Manon
Manon
Dominée par sa nièce
Mireille attrape les deux superbes fruits et les caresse doucement. Ils sont durs, bien fermes. Aurore l′arrête, se lève pour quitter son short, et son string. Les deux femmes sont entièrement nues. Aurore se met à genoux, sa chatte sur la bouche de sa tante.
- 875 94
Elle raconte sa première sodomie
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 10/02/2014
Publié le 10/02/2014
Manon qui a seulement 18 ans nous raconte en détails sa première sodomie, elle a adoré et je la comprends ;)
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire X en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!