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Recit de cul : Elle se tape le mari d'une cousine

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit de cul : Elle se tape le mari d'une cousine

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Hello c’est Gina !
    Pour commencer, certains d’entre vous m’ont posé la même question concernant un de mes récits précédent, et j’en profite pour y répondre publiquement : j’ai effectivement revu mon voisin. Il y a eu d’ailleurs des petites histoires, mais rien de bien important, en tous cas pas pour moi. ;-) Passons…

    Je voulais vous parler cette fois-ci d’une « expérience » dont laquelle je ne suis pas vraiment fière mais qui néanmoins m’a laissé un très très bon souvenir (oui autant que ça).
    Quand j’étais plus jeune, cela m’arrivait de garder les enfants de la cousine de mon père quand celle-ci partait en voyage ou était en formation pendant les vacances scolaires. La plupart du temps, son mari Anthony travaillait et rentrait le soir. J’avoue avoir toujours été attiré par lui depuis toute petite et je pense qu’il avait dû le remarquer à plusieurs reprise, surtout en période d’adolescence où j’essayais naturellement de le séduire en me mettant en valeur, en défilant devant lui et en me montrant toujours sous mon meilleur jour. Une fois, je devais avoir 16 ou 17ans, j’avais laissé la porte de la salle de bain ouverte pour prendre une douche ; il était tard et les enfants dormaient déjà. Je voulais qu’il vienne jeter un coup d’œil, alors j’ai attendu en me savonnant à mainte et mainte reprise dans l’espoir qu’il arrive enfin… Mais il n’arrivait pas, alors je suis sortie de la douche, j’ai commencé à m’essuyer et en reposant la serviette je le vis à l’entrée de la pièce. Gêné (d’avoir été surpris en train de me mater certainement), il s’excusa « je ne savais pas que tu étais là, la porte était ouverte ». Ces yeux me mataient discrètement pendant qu’il refermait la porte...

    Depuis je n'ai plus jamais gardé les enfants... Mais il y a quelques mois, en mars je crois (j'étais donc majeure), sa femme m’a invité à faire du shopping, on devait se retrouver chez eux. Mais une fois arrivée sur place, elle m’annonça qu’elle devait amener sa mère chez le médecin, que je n’avais qu’à attendre avec Anthony et que nous mangerions tous ensemble le soir car elle pensait que ça prendrait un peu de temps.
    Du coup je suis entrée rejoindre Antho dans le salon, sur le canapé et l’on commença à bavarder, mais surtout à blaguer, il a toujours aimé me taquiner… et ce regard avec lequel il me fixait, c’était toujours le même et pourtant je n’avais jamais remarqué à quel point il était excitant. On parla pendant quelques minutes et c’est tout naturellement qu’il enchaîna sur ce fameux jour dans la salle de bain de façon subtile et je ne pus m’empêcher de ressentir à nouveau cette envie qu’il me mate et même plus.

    Je rentrai dans son jeu, lui rappelant avec plus de détail la scène, ma position approximative à ce moment-là, son regard quand il referma la porte… je le sentis alors légèrement différent, comme déstabilisé et pourtant il enchaina ouvertement en me disant à quel point à l’époque j’étais bien foutue. Et il continua :
    « Ça n’a pas l’air d’avoir trop changé, mise à part le volume peut-être, mais c’est d’autant mieux » il avait ce regard perçant, un nouveau regard, presque malsain mais tellement poignant que je sentis mon ventre commencer à s’émoustiller. Je m’approchai de lui légèrement le dos bien droit et la poitrine redressée, je voulais voir jusqu’où il irait sans pour autant risquer de me griller s’il décidait de ne pas aller jusqu’au bout. Je m’approchai de son oreille et lui murmura que cela m’avait plu de le voir derrière la porte, et je lui avouai alors que je l’avais fait exprès et que si je le refaisais maintenant je ne le laisserai peut-être pas refermer la porte.

    Je le sentais commencer à monter en température, il ne dirait pas non, alors je mis ma main sur la bosse de son jean, je la sentis durcir un peu plus au contact de ma main. Il porta l’une de ses mains sur ma cambrure afin de me rapprocher encore plus de lui et la deuxième commença à venir effleurer mes seins par-dessus mon décolleté. Je montai alors sur lui, m’asseyant face à face afin de frotter ma poitrine sur son visage tout en remuant mon bassin. Je pouvais sentir son pénis durcir à travers son jean pendant que ses mains me malaxaient les fesses. Il porta alors un ou deux doigts sous ma jupe à la recherche de la ficelle de mon string qu’il écarta délicatement « tu es toute humide Gina » « shhhh ». Je m’arrangeai pour sortir sa bite au plus vite et commençai à le branler en rapprochant ma petite chatte progressivement de son gland. Il me regardait avec envie et perversité, nous étions comme les objets d’un désir commun et lointain, et enfin nous allions assouvir ce fantasme que nous partagions. Ces mains agrippèrent mes hanches et il m’incita vivement à m’empaler sur sa queue bandante. Il était en moi, ça y est je sentais enfin sa queue me pénétrer comme je l’avais souvent imaginé lorsque je me masturbais des années auparavant en pensant à lui. Il guidait mes mouvements de bassin afin de me sentir jusqu’au fond, je gémissais comme une jolie petite chienne, je m’efforçais de rester parfaite tout en le regardant, ne le lâchant pas du regard. Je sautillais de plus en plus vite sur son sexe me laissant guider par ses râles presque bestiaux jusqu’au moment où il me força à arrêter pour se retirer, je compris alors et approcha ma bouche près de son gland et commençai à le sucer, c’est alors que je reçu son jus tiède et abondant en plein visage et partiellement dans la bouche, il m’en avait mis partout ! Apparemment cela devait faire un moment qu’on ne l’avait pas aidé à se vider.

    On recommença quelques minutes plus tard dans la salle de bain cette fois-ci, là où le « charme » avait opéré la première fois. J’étais totalement nue, lui non, comme le jour J, sauf que là, je goutais à sa queue, face au miroir contre le lavabo, il me limait le vagin comme un sauvage tout en nous matant dans la glace. C’était érotique au plus haut point. J’aimais le voir me faire l’amour sauvagement, c’était l’une des rares fois où il y avait une symbiose parfaite entre mon partenaire sexuel et moi, comme si le fait de s’être abstenu depuis toute ses années en conservant l’envie intact nous avait uni sexuellement avec un respect dont d’habitude je ne me soucie pas autant (un minimum quand même). Il aimait être en moi, et j’aimais le savoir attiré par moi. Nos regards se sont croisés alors dans le miroir et il a commencé à accélérer, à taper de plus en plus profondément sans me lâcher du regard. Je gémissais sentant le plaisir monter comme une flèche, j’allais jouir en beauté, je le sentais, j’avais l’impression d’avoir accumulé tellement d’excitation qu’un orgasme magistral se préparait. Il continua avec des coups secs et là un cri de jouissance extrême s’enfuit de ma bouche, il se retira instantanément de moi et cracha immédiatement tout sur mes fesses et mon clito, lui offrant un tableau assez plaisant je pense. Quelle torture pour lui d’avoir dû se retirer, du moins j’imagine qu’il aurait aimé pouvoir se vider à l’intérieur de moi et me remplir de tout son jus comme pour celer notre union sexuel, en tous cas moi ça m’aurait plu… mais oubliant souvent de prendre ma pilule, c’était mieux comme ça.

    Nous avons ensuite attendu un peu plus d’une heure le retour de sa femme et de ses enfants. Et pendant cette petite heure je me suis occupée d’astiquer sa belle queue et de lui faire goûter à une gorge profonde pour la première fois d’après ce qu’il m’a dit.

    On s’est revu brièvement à Noël dans la soirée pour se souhaiter de bonne fête, on en a profité pour aller fumer une cigarette et reparler de ça. On en avait tous les deux encore envie, alors j’ai commencé à le branler discrètement de toute façon nous n’étions que nous deux mais n’importe qui de la famille pouvait venir nous rejoindre à tous moments. J’étais tellement excitée que je l’ai limite supplié de nous mettre un peu plus loin dans le jardin là où il fait sombre… « Un petit coup rapide stp j’en peux plus, j’veux qu’tu me sautes ». Une fois là-bas je me suis appuyée contre un arbre, me cambrant le plus possible afin de lui offrir mes fesses, il leva ma robe, hésita un instant mais me fourra quand même. En quelques minutes il avait tout craché sur mes fesses. « Joyeux Noel ».
    Du coup la prochaine fois ce sera peut-être pour Pâques :-P hummm

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par vivi :
Belle et excitante histoire j'adore......
Posté le par ralatahsah :
Je suis tte mouilée excitant


Posté le par emile corbas :
je suis toute mouillée
Posté le par hush69 :
oh gina tu es parvenu à tes fins c l' essentiel tu sais le parfum d un sexe féminin qui a envie ça ce ressent et la généralement c du lourd... moi c la soeur de ma femme qui a ce parfum... elle me rend raide...
Posté le par Asclépios :
Gina, tu es une fille terriblement bandante et c'est avec un plaisir non dissimulé que je t'aurais sautée, satisfaisant ainsi à ton désir exacerbé.
Demande-le moi, et je suis ton homme. En te lisant, je me suis masturbé, m'imaginant te prendre en levrette et j'ai éjaculé sur tes fesses.
Prenons rendez-vous et baisons ensemble.
Je lèche tes grandes lèvres humides.

xxxxx.fr
Posté le par Anonyme :
Super histoire pour la 1er branlette du Week end
Posté le par David70 :
Super belle histoire... Très très excitante... C'est quant tu veux miss... Lol... Bisous mouillés...
Posté le par opac :
Mhmmm!
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