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Histoire porno : J’ai même senti un goût de sperme me remonter dans la bouche

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    Histoire porno : J’ai même senti un goût de sperme me remonter dans la bouche

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Salut les coquins !
    Ca me fait plaisir de voir que vous avez apprécié ma première histoire (publiée il y a déjà trois semaines !). Comme j’ai trouvé follement excitant de vous écrire et de vous imaginer vous donner du plaisir en me lisant comme je le fais avec vos histoires, me revoilà pour vous raconter une autre de mes aventures.

    Pour re-situer les choses, moi c’est Lou, 18 ans, châtain aux cheveux longs et taille moyenne avec quelques rondeurs bien placées. Je vous ai parlé la dernière fois de mon meilleur ami devenu un amant régulier : voici une autre de nos soirées, vécue il y a à peu près un mois, la veille de Noël (un super cadeau en avance ! ;)

    Alors voilà, ce soir là quand je lui ai proposé qu’on se voie vers 2h du matin, c’était parfaitement innocent : ça faisait presque un mois et demi qu’on avait perdu contact à cause d’horaires non compatibles et autres problèmes techniques. J’avais juste envie qu’on se retrouve, il me manquait. Je l’ai donc persuadé de sortir juste une petite heure, histoire de discuter un moment. Comme il y avait énormément de vent ce soir-là, on s’était installés dans ma cage d’escalier, j’habite dans un vieil immeuble, l’entrée est donc très vaste et on peut s’y caler confortablement.

    On discutait donc de tout et de rien, de nos aventures respectives depuis la dernière fois qu’on s’était vus et, au fil de la conversation, il a fini comme à chaque fois par s’allonger et, tout naturellement, je suis venue m’installer sur lui, comme on a l’habitude de le faire. Et là, je ne sais même plus pourquoi, j’ai senti mon excitation grimper. Tout en continuant à discuter, j’ai donc commencé à onduler doucement sur lui en lui mordillant le cou et la ligne de la mâchoire. J’ai senti avec plaisir une bosse se former au niveau de son entrejambe, et j’ai donc accentué mon mouvement en me frottant bien contre lui, afin de sentir son érection naissante appuyer sur mon clitoris. C’était vraiment agréable, je sentais nos deux souffles s’accélérer à l’unisson, ses mains me touchaient, me faisant frissonner, l’une caressant mon dos pendant que l’autre me tenait fermement la hanche, et la température montait vite entre nous, enlacés dans cette cage d’escalier.

    Mais soudain, il a stoppé mes mouvements, me poussant légèrement de telle sorte que mon ventre se retrouve sur son érection et ma tête sur son torse parfait que je sentais à travers son haut, m’empêchant ainsi de continuer à le caresser et à l’exciter davantage. Quand j’ai essayé de glisser ma main jusqu’à son membre tendu, il m’a retenue en attrapant mes deux mains pour les garder dans la sienne tandis que, de sa main libre, il planquait ma tête dans le creux de son cou pour bloquer le mouvement de descente de mes lèvres et de ma langue vers son érection, tout en me murmurant qu’il ne voulait pas, avec une histoire abracadabrante de bonne résolution pour pouvoir se caser et devenir un mec sérieux. N’importe quoi ! Sur le coup, j’ai pensé qu’il voulait jouer avec mon désir comme il aime le faire, et j’ai donc échappé à son étreinte en descendant vers son entrejambe tellement appétissant. Seulement, il m’a arrêtée à nouveau, en me câlinant encore. C’était la première fois qu’il était aussi tendre, c’était plutôt agréable, alors j’en ai profité un peu jusqu’à ce que je sente qu’il commençait à se calmer. Je lui ai alors chuchoté doucement de me baiser bien fort, l’effet a été immédiat, je l’ai senti se raidir à nouveau. J’ai donc défait rapidement son pantalon et saisi son érection à travers son boxer, le branlant lentement mais fermement, tout en le regardant droit dans les yeux. Je prenais plaisir à le voir devenir fébrile sous mes doigts, et c’est avec gourmandise que je me suis glissée le long de son corps jusqu’à me retrouver à quatre pattes entre ses jambes. J’ai alors dévoilé son sexe tendu que j’ai admiré quelques secondes avant d’en approcher lentement ma bouche entre ouverte, mon regard rivé au sien, mon pouce pressant doucement sur son gland gonflé.

    Il m’a imploré d’arrêter, avec tellement peu de conviction dans la voix que lorsque ma langue s’est posée sur son gland pour s’enrouler autour, il s’est tu de suite, son corps entier se crispant tandis que sa plainte se transformait en gémissement sourd. Je l’ai alors pris en bouche, et, les lèvres bien serrées autour de sa hampe, j’ai commencé à le pomper lentement. Il m’a très vite attrapé les cheveux avec ses deux mains pour m’imposer son rythme, plus rapide. Ma tête montait et descendait de plus en plus vite et il m’étouffait presque avec sa grosse queue. Mais quand j’ai senti ses cuisses se tendre de part et d’autre de moi, j’ai abandonné son sexe bien humidifié pour me redresser en lui expliquant que je ne le finirais pas comme ça, parce que j’avais bien l’intention de jouir moi aussi de sa bite en moi. Il s’est maladroitement redressé, tentant encore de refermer son pantalon en me demandant d’arrêter. Je lui ai alors demandé en gémissant de me laisser continuer, pour que, puisqu’il ne voulait pas me baiser, je puisse au moins le sucer. Il est devenu fou, m’a supplié de me taire et de ne surtout plus redire ça tout en retirant ses mains pour me caresser les cheveux avec insistance. Je suis donc redescendue vers son membre maintenant tendu au maximum, m’amusant avec quelques secondes. Ce petit jeu d’alternance entre ses supplications et ma bouche taquine a duré un moment, ça m’a énormément excitée, je sentais ma petite chatte dégouliner.

    Quand enfin j’en ai voulu plus, je me suis redressée une dernière fois et lui ai dit, en le regardant droit dans les yeux, que j’étais sa petite pute et qu’il fallait maintenant qu’il me baise très fort. Il a alors agrippé mon minou trempé, en appuyant à l’entrée de mon vagin à travers le tissu. Il me faisait mal, mais en même temps c’était tellement bon de sentir toute sa rage concentrée sur mon sexe, avec son pouce qui pressait mon clito tout dur. Je me suis alors relevée, j’ai baissé mon pantalon juste assez pour libérer ma petite chatte épilée, et, une jambe de part et d’autre de lui, je suis venue m’empaler sur sa verge tendue comme une invitation. Mon sexe était tellement humide que sa queue bien lubrifiée s’est enfoncée de suite bien au fond de moi, jusqu’à buter au fond de mon vagin. Face à lui, j’ai alors commencé à danser sur sa bite, alternant entre des pénétrations rapides et d’autres plus lentes et profondes.

    Je prenais appui de mes deux mains sur son torse et sa cuisse, accroupie sur lui et secouée par des spasmes de plaisir tandis qu’il me soutenait de ses deux mains sur mes hanches. Il s’est ensuite relevé de manière à ce que, assis emboîtés face à face, nous puissions bouger à l’unisson, nos deux corps tendus par le plaisir. Je sentais son souffle brûlant dans mon cou, ses mains voltigeant de mes cheveux qu’elles tiraient à mes hanches pour qu’il puisse s’enfoncer au plus profond de moi alors que je lui griffais le dos et lui mordillais le cou. Nous étions tous les deux uniquement concentrés sur nos sensations tellement fortes, et brûlants, comme fiévreux. Il me mordait violemment les seins à travers mes vêtements, et je gémissais dans son oreille comme une petite chienne en lui répétant de cogner fort. J’ai joui une première fois comme ça en tremblant, sa longue queue labourant les parois de mon vagin.

    Il s’est ensuite décalé pour s’asseoir appuyé dos au mur, pendant que je me tournais dos à lui. A genoux sur lui, je me suis alors à nouveau empalée sur son sexe, en lui présentant cette fois mes fesses qu’il a saisies à pleines mains pour m’imposer son rythme. D’abord dressée, je me suis bien penchée en avant pour qu’il puisse admirer les va-et-vient rapides de sa bite dans ma chatte dégoulinante et mon petit trou offert dans lequel j’ai glissé un doigt. C’était presque bestial, nous étions comme fous, uniquement intéressés par le plaisir et la jouissance. Il soulevait son bassin pour pouvoir cogner bien fort tout au fond de moi en malaxant mes fesses à m’en faire mal, ce qui me rendait encore plus folle de plaisir. Il y allait tellement fort qu’un de ses coups, plus puissant encore que les précédents, m’a envoyé loin à quatre pattes. Il s’est donc redressé, à genoux derrière moi, et s’est à nouveau enfilé d’un coup sec au fond de moi. Il me prenait frénétiquement, je me sentais chienne, la tête appuyée contre le mur, ballottée dans tous les sens par ses coups de bassin.

    Soudain, il s’est retiré pour aller s’asseoir derrière moi, me dévorant d’un regard chaud comme la braise. Je savais qu’il adore ma bouche et qu’il était près à jouir, alors je suis venue m’installer à côté de lui à quatre pattes, comme la petite salope que je suis, et j’ai gobé d’un coup sa belle bite qui est venue taper au fond de ma gorge. J’étais tellement excité que malgré les larmes qui commençait à couler sur mes joues à cause de la sensation d’étouffement, j’ai continuer à bien serrer mes lèvres en jouant avec ma langue autour de son gland, sur son frein, le long de sa verge. Je sentais la goût de ma mouille mélangé au parfum de son sexe sur ma langue, j’adore goûter ma mouille, c’était trop bon, je n’arrêtais pas de gémir sur sa queue. Lui, pendant ce temps, écrasait son pouce sur mon clito tandis que ses doigts forçaient l’entrée de mon sexe en feu à travers le tissu. J’ai joui à nouveau très rapidement, et mon corps à été secoué de spasmes qui m’ont agitée dans tous les sens, j’ai même été obligée de lâcher sa queue quelques secondes pour pousser un long gémissement. Il a cédé quelques secondes plus tard à la chaleur de ma bouche, et j’ai senti son sperme partir par longues giclée bien au fond de ma gorge d’abord puis sur ma langue. J’ai tout avalé comme une petite chienne, j’adore le goût de ce liquide blanc, bien épais sur ma langue tendue. Gourmande, j’ai continué à bien lécher sa queue pendant un moment pour bien la nettoyer, je faisais tourner ma langue autour de sa hampe pour être certaine de ne pas perdre une goutte de son précieux nectar, jusqu’à ce qu’il commence à mollir doucement dans ma bouche.

    Voilà mes coquins, c’était une des meilleures parties de baise de toute ma courte vie ! Après ça, mes jambes ont tremblé pendant au moins trente minutes, et en toussant au moment de me coucher j’ai même senti un goût de sperme me remonter dans la bouche. ;) En tous cas c’était trop bon, et vous raconter tout ça m’a donné tellement envie que je vais aller me donner du plaisir, ou encore mieux appeler mon ami pour qu’il vienne me soulager ! Je reviendrai vite vous raconter une expérience avec un autre de mes amants réguliers, car j’adore vous imaginer prendre du plaisir en me lisant ! Gros bisous à tous mes chéris, je vous léchouille partout avec plaisir !

tel rose voyeur

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par tony :
J'en et plein pour toi bébé
Posté le par cochon17 :
Super cochonne qui aime le sperme et surtout qui aime bien nettoyer une bite après usage , j'adore cela moi aussi
Posté le par TRESTENDRE :
Au fur et à mesure de ma lecture, ma queue est devenue toute dure mais surtout très très chaude. Ma copine me suçais en même temps et je lui ai déchargé sur la langue ...Génial. Merci encore
Posté le par varlgas :
tu m'as fait dresser le manche comme une championne ! hâte de lire une prochaine !
Posté le par Bernard :
Hummmmm
Posté le par cpl37 :
Salut G adore ton histoire j'aurais bien aimé être à la place de ton mec je t'aurais fait jouir avec ma langue.
Posté le par Franck13 :
Tu m'a fait bander comme un âne , mmmh tu as eu une bonne remontée de sperme , c'est la 1ère fois qu'une fille raconte ça comme une vraie petite cochonne , tu es super excitante et une bonne avaleuse comme je les aime ;)
Posté le par Droopy :
Humm histoire très bien écrite pour une coquine qui a mon âge ;) tu as l'air d'aimer le sperme j'en ai plein en réserve pour toi si tu veux
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