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Recit X : Moniteur d'auto école cochon

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    Recit X : Moniteur d'auto école cochon

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonjour à toute la communauté des petits cochons et petites cochone en puissance! Je viens à vous ce soir pour confirmer un mythe, OUI les moniteur auto école sont des gros pervers, et au passage, OUI j'ai adoré ça! 
    Il y a maintenant 3 ans, j'étais une jeune fille de 21 ans avec déjà un bon lot d'experiences malgrés ma timidité apparente. Je croyais avoir tout vu tout fait comme toutes les gamines. 

    Cela faisait bien six mois que je galerai avec deux leçons d'auto école par semaine avec differents monos et je dois dire que je commensais à en avoir plus que mare. Cela me coûtait beaucoup d'argent, de temps et je ne prennais aucun plaisir à ètre au volant d'une voiture. Un jour au printemps, un nouveau mono est arrivé pour un remplacement le temps de l'été, je l'ai croisé deux trois fois sans grand interet, je devenais amère et aigris au fûre et à mesure que je prenais mes leçons. 

    Un matin, l'un des monos avec lequel je conduisai habituellement m'a tendu une clef, je suis allée à la voiture correspondante et  me suis installée, quelques minutes plus tard j'ai vu le nouveau mono arrivé dans le retro. Il entre dans la voiture, se presente froidement, il a l'air peu aimable et ennuieu à souhait,il s'appellait Thomas, 34 ans. Nous avons commencé la leçon et entre deux conseilles sur ma conduite nous faisions connaissance,  et par un heureux hasard, nous avions de nombreuses passions communes, les motos, le poker et bien d'autres... Au bout de deux heures nous nous sommes quittés sur une bonne impression. 

    Trois jour plus tard, de retour à l'auto école pour une nouvelle leçon de deux heures, il faisait très beau et je conduisais de nouveau avec Thomas. Il était beaucoup plus souriant que la première fois (j'ai apris plus tard que le soleil lui provoquait toujours une petite exitation). Nous sommes montés en voiture et c'était parti, nous parlions de moto, puis de mec, de couple et de fil en aiguille nous en sommes arrivé à parler sexe, il me confit quelques une de ses experiences, notament dans les cinémas libertins, c'était un peu étrange de parler de ça avec un mec que je connais à peine, mais c'était très naturel. Le monde du libertinage m'était totalement inconnu à cette époque et tout ce qu'il disait m'exitait térriblement et il le voyait puisque j'essayais d'en savoir toujours plus.

    Il me parlait de beaucoup de délir et de fantasmes qu'il avait et un echange se créait, je lui en ai dit aussi, je lui ai fais notament part du fait que j'aime les echanges un peu musclés. Cela faisait une heure que nous roulions et je ne savai pas trop où nous étions jusqu'au moment ou j'ai vu un panneau "foret de senlis". Au bout de quelques kilometres de foret il me dit que nous allons nous entrainer à manoeuvrer, il ma 'indiqué un petit parking en bordure de forêt. C'était désert, j'avai l'impression de savoir ce qui allait m'arriver et je n'attendai que ça.

    J'ai fait avec son aide un beau rangement en bataille puis il m'a dit que nous allions sortir pour verifier si j'étais bien garée. Je me suis executée. Nous sommes passés tout deux derrière la voiture c'est alors que j'ai senti ses deux mains se mettre sur mes hanche et me plaquer contre le coffre, lui derriere moi. Je sentais son souffle chaud dans ma nuque, il commence alors à la parcourir de baisés. Il frotait son jean contre mes fesses et je sentai sa bosse dûre comme du béton! Il m'a attrapé par la queue de mes long cheveux chatain, à ramené ma tète en arrière et m'a dit avec une voix rauque et un regard en furie "tu vois ce que tu me fais! A cause de toi je ne peu plus travailler, tu vas arranger ça!"
    Puis il m'a entrainé à quelques mètres dans la fôret. Il m'a fait assoire sur un gros tron d'arbre couché puis il a déboutonné sa braguette, il s'est approché de moi tout en carressant son gros sexe dûr, je l'ai alors pris en bouche, je voulais lui montrer de quoi j'étais capable à coup de langue, de va et viens plus ou moin intense, j'ai mis tout mon coeur à sucer ce dard mais ce n'était pas assez...
    Il m'a alors relevée, retournée et pris contre lui avant de glisser tout doucement sa main droite dans mon pantalon puis dans ma culotte, je bouillonais de l'interieur quand il a pu voir l'inondation de mouille entre mes cuisses. Il a alors passé l'autre main derrière et à entreprit un doigtage musclé de ma petite chatte tout en chatouillant mon clito par devant. Je n'en pouvais plus j'étais à une exitation tel que je lui ai di "putain mais baise moi qu'est ce que tu attends!?" 

    Il a sortit ses doigts, il m'a attrapé violament par la gorge et avec son regard de fou il m'a dit que ce n'était pas moi qui choisirai quand il me baiserai, que cette decision lui appartenait et que je devais fermer ma gueule. Il m'a relaché et m'a rassise sur le tron d'arbre. Puis il a commencé à s'eloigner vers la voiture, j'ai pris peur et me suis relevée pour le suivre mais dans le silence de la fôret son cris à retenti: "assise!!", ce que j'ai fais aussitôt, j'ai entendue le coffre s'ouvrir et se refermer avant de le voir revenir avec deux tendeurs en corde, il m'a attrapée par le bras et m'a attachée  le ventre contre un arbre avec les points liés. Après avoir fini d'enlever mon pantalon il a ressorti son dard de son jean, m'a cramponné par les hanches et a ramené mes fesses contre lui, il m'a pénétré d'un coup sec. Un frisson m'est monté dans le dos et avant que j'ai eu le temps de réaliser Thomas me mitraillait la chatte à gros coup de rein, j'étais coulante de mouille de savoir qu'il se défoulait sur moi, c'était un véritable enragé. La chaleur a envahi mon ventre, mes épaules, mon visage, ma respiration s'est coupée quelques secondes... Quand j'ai repris mes esprits il m'a détaché, son gourdin était dure et trempé de mouille. Il m'a détaché et m'a agenouillé face à lui, il astiquait son manche vigoureusement en tenant ma tête en arrière par les cheveux jusqu'a se faire jouir sur mon museau. Un jet de coulis blanc, épais et chaud a jahi de sa verge sur mon visage.

    Après un gros soupir de jouissance il a ramessé un peu de son foutre avec son gland et me l'a donner à déguster tant qu'il était encore chaud. Je me suis nettoyée le reste de la truffe avec des feuilles, nous nous sommes rhabillé et remis en route. 
    Par la suite j'ai eu grace à Thomas de nombreuses heures de leçon gratuites et surtout j'ai réalisé beaucoup de fantasme, mais ça je vous le raconterais une prochaine fois...

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