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Recit porno : Attachée et bâillonnée sur une croix

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    Recit porno : Attachée et bâillonnée sur une croix

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    J’ai toujours été une soumise. Au lit seulement, évidement. Un jour, j’évoquais mes fantasmes avec un amant, fumant une cigarette après l’amour, languissante, les jambes emmêlées dans les draps. Nous avons fini par parler attaches, bâillon, yeux bandés… Tout de suite, il a vu la lueur s’éclairer au fond de mes yeux, celle qui dit « j’en veux encore ».

    Quelques jours ont passé, et cet amant, appelons le Colin, m’a téléphoné. Il avait une proposition à me faire… Il voulait m’emmener en club libertin pour m’attacher sur une croix de Saint André. Cette idée m’a plu tout de suite, et le mélange délicieux d’excitation et d’anticipation qui a duré toute la soirée m’a mise dans les conditions idéales…

    Arrivés au club, nous étions seuls, c’était la semaine, il était tôt. Nous avons bu un verre, faisant encore durer l’attente. Colin avait m'a fait visiter les lieux, imaginer des gens en train de faire l'amour dans un club devant tout le monde me fait beaucoup d'effet, j'imagine que je ne suis pas la seule.... Puis Colin s’est décidé : il m’a prise pas la main, a commencé à me mordiller le cou, serrant ma taille de sa main libre.
    A ce moment j’étais déjà excitée, ma respiration était courte, et ma volonté de me soustraire à ses ordres inexistante. Il n’a eu aucun mal à me diriger vers la croix, tout en m’embrassant, en douceur. Avant que je ne m’en rende compte, j’avais les deux poignets enserrés dans des menottes de cuir, les bras écartelés de part et d’autre de la tête.
    Il s’est éloigné de moi, joueur, me laissant impuissante, excitée et tremblante. Il m’a regardée, buvant son cocktail assis en face de moi dans le large canapé de cuir. J’ai eu l’impression que ça durait des heures. J’avais envie de me toucher, je sentais la chaleur de mon excitation dans ma culotte en dentelle, le long de mes jambes, dans le creux de mon ventre. Mes seins se dressaient, mes reins se creusaient.
    Alors, il est venu finir de m’installer. Il a ôté mes talons vertigineux, à genoux à mes pieds, puis a fait glisser ma culotte le long de mes jambes. Ensuite, une main effleurant l’intérieur de mes cuisses, il m’a écarté les jambes et a serré mes chevilles dans les liens, fermement. En se redressant devant moi, il a écarté mon décolleté autour de mes seins, libérant mes tétons tendus et sensibles, et m’a mis un foulard sur les yeux.

    Je n’en pouvais plus, j’étais maintenant vraiment mouillée, je sentais dégouliner le long de mes jambes le liquide chaud, et le moindre effleurement m’arrachait un gémissement, un frisson de plaisir.
    Alors j’ai supplié. « touche moi, baise moi ! »
    Mais il voulait encore me torturer un peu… Il est venu se coller à moi, me mordre le bout des seins, caresser mes jambes, mon ventre… Il était habillé, et je le voulais nu, en moi, dur ; je lui ai dit « s’il te plaiiiit baise moi !!! »
    Alors, il a commencé à me caresser la chatte… J’étais trempée, ses doigts glissaient sur mes lèvres, titillaient mon clitoris, je râlais de plaisir, ses mains étaient partout, je ne voyais rien, la surprise de sa langue chaude, de ses lèvres humides sur mon sein, ma cuisse, puis le délice de son baiser sur ma chatte, de ses doigts à l’intérieur de moi… J’étais sur le point de jouir, tendue comme un arc, hurlant maintenant de plaisir, et il s’est arrêté d’un coup, me laissant dévêtue et hystérique maintenant, à la limite du vertige.

    J’avais toujours les yeux bandés, et je ne voyais pas s’il était près de moi ou pas. Je l’imaginais en train de se toucher, à me regarder haleter. Au bout de quelques minutes, il m’a détachée.
    En enlevant le bandeau, j’ai vu son érection sous son pantalon, et je n’ai pas pu résister deux secondes de plus. Je me suis jetée sur lui, enlevant sa chemise presque sans ouvrir les boutons, en murmurant « enlève tout !! ». Il m’a prise sur le canapé, en levrette, fort, il était dur, j’étais trempée, il me donnait des fessées, de plus en plus fort, caressait mon anus de son pouce, et moi mon clitoris d’une main. Alors, hurlant, frissonnant de tout mon corps, sentant bien sa queue en moi, profond, j’ai joui, longtemps, pendant qu’il continuait de me baiser, de m’appeler « petite chienne », « tu mouilles ma salope ! ». Il tapait ses hanches dans mon cul pour enfoncer sa queue plus loin, et je contractais mon vagin de plaisir, et bientôt l’excitation a pris le dessus pour lui aussi, il s’est retiré, m’a retournée et a giclé sur mon visage, mes seins.

    On s’est écroulés dans le canapé, reprenant notre respiration, on a cherché nos verres des yeux, et à ce moment on s’est rendu compte... que depuis quelques temps, on n’était plus tous seuls…
    La suite de cette soirée mémorable au prochain épisode !

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