Quand on cherche une information, on a souvent le réflexe de poser la question à son moteur de recherche préféré, aussi bien pour cuisiner que pour jardiner. Et la sexualité n’y fait pas exception. Voici le florilège des questions les plus posées sur Google.
L’addiction au sexe existe-t-elle vraiment ?
La libido de chacun d’entre nous est amenée à connaître des bas, mais également des hauts. Toutefois, certaines personnes ont une activité sexuelle bien au-dessus de la moyenne. Pour autant,
sont-elles des mordues de sexe ?
Si l’on s’en tient à la seule définition des addictions et des maladies, la réponse est négative. En effet, l’addiction au sexe n’est nullement considérée comme un désordre psychique. Toutefois, l’ensemble du corps médical est loin de partager cet avis. Mais en l’absence d’une étude poussée concernant ce sujet, impossible de déterminer si une addiction au sexe peut être réelle. Toujours est-il que pour les personnes qui sont dans cette situation, c’est pénible et compliqué à vivre au quotidien.
Peut-on considérer le sexe comme un sport ?
Ce n’est plus à démontrer, faire des galipettes à deux, c’est excellent pour une bonne forme mentale ou encore physique. Bref, tout comme la pratique d’une activité sportive, cela contribue au bien-être général.
Toutefois, l’un et l’autre ne sont nullement comparables. Certes, dans les deux cas, votre rythme cardiaque va considérablement augmenter, votre organisme va être sollicité et va devoir brûler des calories, mais ça s’arrête là. Passer du bon temps sous la couette demande nettement moins d’effort que de faire quelques foulées à la fraîche ou que de faire quelques longueurs de piscine. D’ailleurs, le sport contribue à rendre votre organisme plus performant, plus endurant et plus musclé, pas les câlins coquins.
Nos gènes influencent-ils notre désir sexuel ?
Certains éléments tendent à démontrer qu’il existe un gêne commun à toutes les personnes dont la libido est peu importante et que ce même gêne serait absent de l’ADN des plus actives. Toutefois, il faut prendre cette information avec beaucoup de précautions car il n’y a pratiquement pas d’études récentes à ce sujet. De plus, le corps médical est partagé et nombreux sont ceux qui penchent plutôt pour une corrélation entre désir sexuel et influence de l’environnement (travail, confort, santé, etc).