Pause masturbation au travail : pour être plus performant

Se masturber au travail pendant sa pause permettrait aux femmes et aux hommes d’être par la suite bien plus performants, c’est tout du moins ce qu’affirment un certain nombre de psychologues.

Le sexe pour accroître sa productivité au travail

Votre travail est probablement stressant et fatiguant, et une pause café n’est pas suffisante pour vous permettre de faire un vrai break ? Après le sexe au travail, des docteurs en psychologie préconisent à tout un chacun de faire une pause masturbation pour mieux évacuer le stress.

En effet, des docteurs en psychologie de la très sérieuse Université de Nottingham en Angleterre préconisent à tout un chacun de faire une pause masturbation pendant les heures de travail afin d’être ensuite plus productif.

L’un d’eux, Mark Sergeant, précise même dans le journal Metro qu’il a été observé que la pause masturbation permet d’accroître son efficacité sur le plan professionnel. Selon lui, c’est le meilleur moyen qui soit d’évacuer les tensions, une méthode nettement plus bénéfique pour l’organisme et le mental que le café ou la cigarette.
Un avis partagé par quelques-uns de ses collègues universitaires pour lesquels se masturber sur son lieu de travail permet l’accroissement direct de la concentration, contribue à réduire son agressivité et permet même de rendre le sourire.

Les limites de cette pratique

Bien évidemment, se masturber sur son lieu de travail n’est pas sans présenter quelques difficultés, à commencer par la possibilité de pouvoir s’isoler totalement. Les toilettes de l’entreprise restent le lieu à privilégier, à la condition de ne surtout pas fantasmer sur ses collègues, ce qui pourrait, à terme, provoquer des comportements inappropriés.

La solution de cette méthode bien-être, pour le coup 100% naturelle, serait de projeter ses envies et ses fantasmes sur une tout autre personne hors contexte professionnel. Le téléphone rose apparaît alors comme une solution parfaite pour mettre en application le style de pause suggéré par les docteurs en psychologie de l’Université de Nottingham.

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Cette entrée a été publiée dans Brèves le par Tophe.

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