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Histoire de sexe : Découverte de l'homosexualité et première pipe gay !

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    Histoire de sexe : Découverte de l'homosexualité et première pipe gay !

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Découverte de l'homosexualité et première pipe gay !

    J’étais très jeune quand j’ai sucé ma première queue. J’en garde un souvenir ému, merveilleux. Cela s’est passé alors que mes parents m’avaient envoyé un an en Angleterre poursuivre ma scolarité. Les gens chez qui j’étais hébergé étaient très sympas et me considéraient un peu comme leur fils. Ce couple avait lui-même un fils unique avec lequel je me suis aussitôt très bien entendu…
    Nous faisions les quatre cent coups tous les deux et adorions notamment traîner dans les usines désaffectées alentour pour y fumer à l’insu des parents. Un jour que nous nous étions achetés de l’alcool en cachette, nous sommes allés nous saouler dans l’une de ces usines que nous avions repérées comme étant déserte.
    L’alcool aidant, nous nous sommes mis à nous chamailler par plaisir et même à lutter. Nous étions complètement ivres. J’ai réussi à lui faire une prise qui le rendait totalement prisonnier de mon bon vouloir. C’est alors que je me suis aperçu qu’il bandait sous moi qui l’écrasais de tout mon poids !!
    J’ai fait celui qui ne s’était rendu compte de rien. J’ai préféré essayer de l’embrasser sur la bouche. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Sans doute l’alcool ! Il s’est laissé faire et nous sommes longuement embrassés. Et à ma grande surprise, je me suis mis moi aussi à bander. Je ne comprenais pas bien ce qui m’arrivait mais le fait était : je bandais comme un âne.
    Steven (c’était son nom) s’est à son tour aperçu que j’avais la gaule et il a mis sa main sur ma braguette déformée. Je me suis laissé faire. Avec délicatesse, il m’a débraguetté et en a sorti ma verge toute dure. Il s’est penché vers elle et ai venu y déposer un simple baiser. Cela m’a complètement retourné…
    J’ai fait de même avec son chibre que j’ai libéré de sa prison. Sa verge toute dressée était d’une beauté à couper le souffle. Je n’avais encore jamais vu de sexe masculin en érection, j’étais comme hypnotisé.
    Steven m’a attrapé par le cou et a tiré mon visage vers son sexe. Je me suis retrouvé nez à nez avec sa verge tendue et décalottée vers ma bouche. Sans trop savoir que faire, j’ai embrassé son gland décalotté. Il tenait son sexe à la racine et l’a dirigé vers mon nez puis vers ma bouche que j’avais entre-temps éloignée et il a commencé à balayer mes lèvres avec son gland. J’ai alors instinctivement entrouvert la bouche et son gland m’est rentré profondément dans la gorge.
    J’étais en train de réaliser que j’étais en train de commencer de sucer la première queue de ma vie. Je la trouvais bonne, délicieuse, j’y prenais goût, c’était complètement fou et je mettais tout cela sur le compte de l’alcool, bien sûr…
    Jamais de ma vie je n’avais été troublé à ce point. J’ai continué de sucer ce délicieux sucre d’orge sans trop me poser de question. Je n’avais d’ailleurs plus assez de lucidité pour m’en poser. C’est même de moi-même que je me suis mis à lécher les deux fantastiques petites couilles sans poil et gonflées de plaisir de Steven pendant qu’il me caressait les cheveux.
    Nous nous sommes déshabillés mutuellement, c’était très tendre, puis nous nous sommes allongés tête-bêche sur le sol poussiéreux. Vous imaginez la suite : nous nous sommes faits un soixante-neuf, suçant nos queues jusqu’à la base, nous butinant les couilles avec amour. Steven suçait comme un dieu, bien mieux que la seule fille qui jusqu’ici m’avait fait une fellation.

    Steven m’a alors demandé de me mettre à quatre pattes. Sans réfléchir j’ai obéi. Il s’est mis à m’écarter les fesses le plus possible avec ses mains. Cette sensation d’avoir le cul écartelé par deux bonnes pognes de mec était tout simplement fantastique. Je m’abandonnais à ses mains…
    Puis sa langue est venue me lécher la raie des fesses, c’était incroyablement bon, spécialement quand sa langue s’arrêtait sur mon anus pour le titiller. Mais quand il a voulu m’introduire un doigt dans le trou, j’ai serré l’anus de toutes mes forces, je n’étais pas prêt à cela. Et encore moins prêt à ce qu’il était décidé à me faire. Quand j’ai compris qu’il voulait me sodomiser, je me suis relevé et j’ai tenté de lui échapper. Je me suis mis à courir, nu dans ce vaste hangar, mais il m’a vite rattrapé…
    Il m’a alors bloqué contre un mur et m’a roulé une pelle tout en me malaxant le paquet. C’est comme si j’avais peur de lui, alors je me suis laissé faire. Je suis tombé à genoux à ces pieds. Je me rappelle de tout : il a pris sa queue et m’a balayé le visage avec. Après qu’il se soit amusé à me balayer le front avec son gland turgescent, je lui ai happé la verge avec la bouche et je me suis remis à le sucer. À lui sucer les couilles aussi. Je me suis dit que j’étais en train de devenir pédé. La suite prouvera qu’effectivement je le suis devenu.
    Il m’a dit que je suçais trop bien et que j’avais dû faire ce genre de chose dans une vie antérieure. Alors que je le pompais avec amour, j’ai senti sa verge se raidir encore plus. Il a joui et j’ai tout avalé. J’ai trouvé le goût de sperme étrange mais j’ai tout avalé jusqu’à la dernière goutte.
    Après avoir repris ses esprits, Steven m’a dit que c’était à son tour. Je me suis alors remis debout alors qu’il s’accroupissait devant. Il a commencé à me lécher les couilles, à les gober l’une après l’autre pour les suçoter pendant qu’il me masturbait d’une main. Je fermais les yeux et me laissais faire, j’étais en pleine extase.
    Il a alors pris ma verge dans sa bouche et s’est mis à me sucer doucement. Cela a duré un long moment. Puis il s’est mis à ne me sucer que le gland tandis qu’il me branlait le reste de la tige. Je sentais le plaisir monter en moi, je sentais mes testicules se durcir. Je n’ai pas pu me retenir et j’ai juté dans la bouche pour qu’à son tour il me boive tout le sperme.
    Nous sommes ensuite allés nous rhabiller et sommes restés quelques heures dans cette usine désaffectée, jusqu’à ce que nous ayons dessaoulé. Et nous sommes rentrés à la maison comme si de rien n’était.

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Antoine

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