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Recit sexe : plan backrooms
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19Recit sexe : plan backrooms
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 16/06/2014
Publié le 16/06/2014
Ma grosse queue affole les mecs gourmands
Bonjour à tous les gays qui me liront sur dialogue69 ! J’en profite pour dire que j’aimerais lire davantage d’histoires vécues de mecs qui baisent entre eux. Où sont les gays, bordel ??!!
J’ai 25 ans, le type mec-mec, c’est-à-dire par efféminé pour un sou. Sans être un top-modèle je suis pas mal et j’ai surtout une grosse queue qui en affole plus d’un.
Mon truc à moi, c’est d’aller dans les backrooms. Pour mater les mecs en train de baiser mais aussi pour me faire sucer et, accessoirement tirer un cul. Mais ce qui me fait le plus triper, c’est me masturber en voyant des mecs en train de se faire défoncer, voire fister.
Mon terrain de chasse est « Le Dépôt », dans le 3e arrondissement de Paris pour ceux qui connaissent. Y a des culs de mecs qui se font défoncer en pagaille là-bas.
Samedi dernier, j’y suis allé sur les coups de 3 heures du matin. Je n’habite pas très loin et je m’y suis rendu à pied. Sur le chemin, j’avais à moitié la trique en prévision des scènes hard que j’allais pouvoir reluquer.
Arrivé sur place, je fais comme d’habitude, je sors ma grosse queue à l’air, direct. Même mi-dure, elle en impose. Je commence à arpenter les couloirs. Ceux qui connaissent l’endroit savent que c’est un véritable labyrinthe où ça sent très fort le cul et le foutre, où que l’on se trouve.
Ma première vision est celle d’un petit mec brun, à quatre pattes et complètement à poil, en train de se faire défoncer grave par ce qui semble être un Allemand, au vu des insultes qu’il profère dans sa langue maternelle. L’Allemand est habillé et n’a que sa bite et ses couilles de sorties. Il lime le petit brun à fond la caisse, entouré par trois, quatre mecs qui matent la scène.
Quant à moi, je commence à m’astiquer doucement le morceau en observant la brutalité avec laquelle a lieu la saillie du petit mec. Je vois l’un des voyeurs reluquer ma grosse bite. Il se rapproche, visiblement intéressé. Il glisse sa main vers ma bite mais je la repousse, la tronche du mec ne me plaît pas.
Tout d’un coup, l’Allemand ressort sa bite du cul qu’il défonce et envoie aussitôt sa purée, râlant comme un porc, sur les fesses de l’enculé.
Le petit brun reste néanmoins à quatre pattes. Il est évident qu’il attend qu’une nouvelle queue vienne lui limer le cul…
A peine trente secondes plus tard, l’un des voyeurs s’accroupit derrière le petit cul offert et demandeur. Il a sa queue sortie et raide mais préfère visiblement travailler le fion qu’il a devant lui avec ses doigts. J’observe tout. Il plante un doigt de chaque main dans la rondelle béante du petit mec et il se met à trifouiller le trou en long et en large.
Je continue de me palucher tranquillement, j’aime que le jus prenne le temps de monter de mes couilles jusqu’à ma queue, je ne suis pas pressé et j’aime faire durer le plaisir jusqu’à ce que je crache mon jus, après plusieurs heures de paluchage parfois.
Ca y est, le petit brun est en train de se faire fister en douceur, on pouvait s’y attendre. Pour mieux offrir son cul, il se creuse les reins et se cambre comme une salope. Quand le fisteur retire la main, c’est pour y mettre sa queue à la place. Je regarde encore un moment le petit mec se faire grimper, puis je me décide à aller voir ce qui se passe un peu plus loin.
Sur mon chemin, je croise nombre de mecs accroupis en train de sucer des queues. Je continue encore un peu plus loin et là, je tombe sur un minet aux cheveux longs, installé à poil sur un sling. Il est en train de se faire défoncer par un grand mec baraqué. Celui-ci est obligé de fléchir les genoux tellement il est grand.
Sa manière de défoncer le minet est toute spéciale. Il rentre sa bite – un très beau morceau, presque aussi gros que le mien ! – puis la ressort complètement. A chaque fois qu’il replante sa bite, le minet gémit comme un petit pourceau en rejetant sa tête en arrière.
Visiblement je suis arrivé trop tard, car le grand mec finit par jouir et envoyer tous son jus sur le ventre du minet. Et puis il se casse.
Le minet reste en place sur son sling, à attendre qu’une nouvelle bite se présente à son cul. Deux mecs viennent successivement lui caresser la bite, les couilles et la raie. Mais ils ne restent pas.
Moi, je le trouve plutôt mignon et je me dis que j’ai bien envie de le défoncer. Allez, j’y vais.
Je m’approche, je dirige ma bite vers sa raie et je rentre dans sa rondelle comme dans du beurre. Il a le cul tellement ouvert que ma bite, pourtant très épaisse, a l’impression de limer une chatte béante. Cela ne me convient qu’à moitié mais je me dis que je vais persévérer encore un peu.
Je me décide alors à lui limer l’intérieur du fion dans les coins, en enfonçant ma bite dans toutes les directions. Ah, là, c’est mieux ! D’ailleurs, le minet se met à gémir de plaisir à chacun de mes coups de bite désordonnés.
Plusieurs mecs ont pris place autour de nous. Certains se branlent, d’autres caressent le minet en long et en large. Je sens même une main se positionner exactement à l’endroit de jonction entre ma bite et le fion de la jeune salope.
Je le lime un bon moment, et quand je sens que le jus est en train de monter de mes couilles, je m’arrête tout net et me retire de ce petit cul béant. Je n’ai pas à m’en faire pour lui, je sais que quelqu’un va prendre ma place en moins de deux.
Je sens bien que j’ai maintenant les couilles pleines à ras bord et qu’il va falloir faire quelque chose… rapidement !
La queue toujours à l’air et bien dure cette fois, je me promène en exhibant fièrement mon morceau…
Je sens qu’un mec me suit. Il a dû remarquer ce que j’ai entre les pattes, c’est certain. Je m’arrête et le laisse s’approcher de moi. L’instant d’après, il approche sa main de ma bite. Il a l’air beau gosse, alors je le laisse faire. Je me prends pour un prince qui va daigner se faire sucer.
Le beau mec se met à genoux et entreprend de me pomper. Il fait ça comme un chef, tant et si bien que je ne tarde pas à jouir. C’est normal après tout ce que j’ai vécu depuis que je suis arrivé. Vissé à ma queue, le mec avale tout, jusqu’à la dernière goutte.
Je laisse le mec en plan, il est temps pour moi de rentrer chez moi après ce bon petit vidage de couilles. Il n’est pas loin de 6 heures du mat, et maintenant j’ai sommeil.
A vous, les gays, racontez vos histoires !
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