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Recit de sexe : Elle couche avec une collègue de travail

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit de sexe : Elle couche avec une collègue de travail

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Je vais essayer une fois de plus de vous raconter à manière ce que je vis le soir à mon travail. J'aime beaucoup écrire et je suis ravie que mes témoignages vous plaisent.

    Un sac-à-dos passé par-dessus mon épaule, j’accède au Club Aphrodite par l’entrée de service. L’établissement n’a pas encore ouvert ses portes au public, mais déjà des rires et des bribes de conversations se font entendre dans la salle principale. Je me hâte de traverser le couloir pour ouvrir une porte donnant accès à une grande loge lumineuse et pourvu d’une multitude de miroirs. Trois jeunes femmes sont assises à des coiffeuses et se préparent pour la soirée. Il m’arrive souvent de me demander si ma place se trouve réellement parmi elles. Je ne peux qu’admirer leur sublime beauté et leur extraordinaire assurance.
    Une jolie brune se retourne en apercevant mon reflet dans le miroir, puis s’exclame : « Comment vas-tu, Mag chérie ? » Sur ces mots, les deux autres jeunes femmes se retournent à leur tour et je les salue d’un timide geste de la main. « Je commence à m’habituer à ce job, répondis-je en posant mon sac sur une coiffeuse.
    - Éprouver moins d’appréhension est une chose, mais s’y habituer en est une autre, lâche une belle rousse à l’accent anglo-saxon. Nous sommes trop jeunes pour nous accoutumer à cette vie nocturne.
    - Le temps de nous y habituer, des plus jeunes auront déjà pris nos places, renchérit la jolie brune.
    - Dans ce cas, je veux bien admettre que je commence plutôt à y prendre plaisir, avoué-je. »
    La troisième jeune femme dont les traits de visage indiquent clairement ses origines asiatiques applaudit avant d’annoncer d’un ton chantonnant : « Elle est des nôtres. Elle a bu son sperme comme les autres. » De grands éclats de rire résonnent dans la loge et je me joins à ce moment de joie collégiale. Il n’y a pas de rivalité entre les hôtesses du Club Aphrodite, mais un esprit de franche camaraderie. Aucune de nous ne souhaite faire ce métier définitivement. Il s’agit pour la plupart d’un travail d’appoint pour arrondir les fins de mois.
    La belle rousse se lève de sa chaise, puis se dirige vers les trois grands portiques alignés contre un mur de la loge. Elle y cherche une tenue adéquate pour la soirée et opte pour une robe en similicuir se nouant derrière la nuque et fendue sur le haut de la cuisse droite. C’est une tenue incontestablement ultra-sexy. Elle a tôt fait de l’enfiler, puis de se jauger de pieds en cape dans l’un des miroirs. Encore une fois, je ne peux pas m’empêcher d’admirer la splendeur de mes consœurs.
    Elle nous souhaite une bonne soirée, puis quitte la loge pour rejoindre sa chambre au premier étage. Je la regarde partir, les yeux rivés sur le rebondi de ses fesses moulées dans le tissu de sa robe. A peine, la porte s’est-elle refermée que la jolie brune me lance : « Elle te plait, n’est-ce pas ?
    - Si tu parles de la robe, je la trouve effectivement très belle, répondis-je précipitamment.
    - Tu sais parfaitement de qui je parle, Mag chérie. J’ai vu la façon dont tu la regardes. Tu en pinces pour elle.
    - Non, m’écrié-je ! Je ne suis pas lesbienne !
    - Nous non-plus, intervient l’asiatique en se levant à son tour. »
    Sur ces mots, elle se dirige vers la jolie brune pour lui prendre le visage entre les mains, puis se penche en avant pour l’embrasser passionnément. Surprise, j’écarquille de grands yeux ronds, tandis que mon estomac se noue brusquement. L’asiatique se redresse, puis lèche ses lèvres avec malice avant de reprendre : « Cela ne nous empêche pas pour autant de prendre parfois du plaisir les unes avec les autres. C’est un bon moyen de décompresser. » Je suis sidérée par cette révélation !
    L’asiatique passe à côté de moi en me souriant. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine lorsque je la vois tendre une main dans ma direction. Elle me caresse l’épaule, puis le cou avant de quitter la loge. Je demeure seule avec la jolie brune et un silence gêné s’installe entre nous. Elle le rompt en demandant : « Est-ce que cela te choque ?
    - Je travaille deux soirs par semaine dans un bar à hôtesses, dis-je avec un haussement d’épaules. Un simple baiser n’a rien de choquant à mes yeux. »
    Une moue dubitative passe sur le visage de la jolie brune, tandis que de son index, elle me fait signe d’approcher. Mon sac-à-dos glisse de mon épaule pour tomber au sol et j’avance en levant un sourcil interrogatif. Un sourire radieux accroché aux lèvres, la jeune femme m’interroge : « Dans ce cas, tu ne verras aucun inconvénient à ce que je t’embrasse, n’est-ce pas ? » Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle me saisit par le devant de mon corsage pour m’entraîner vers elle. Ses lèvres se pressent aux miennes. Etrangement, je ne cherche pas à lui résister et bientôt, sa langue s’enfonce dans ma bouche. Je l’accueille avec joie, tandis que je m’assois à califourchon sur ses genoux.
    Nous nous cajolons quelques instants, puis la jolie brune entreprend de déboutonner mon corsage. Elle a tôt fait de m’en débarrasser et de dégrafer mon soutien-gorge. Sa bouche se plaque aussitôt sur l’un de mes seins pour le suçoter délicatement. Les choses se précipitent et sans que je comprenne vraiment ce qui se passe, je me retrouve bientôt allongée sur le sol de la loge. Ma consœur du Club Aphrodite tire sur mon pantalon pour me mettre à nue. Dans le mouvement, elle emporte ma culotte. Je me sens terriblement embarrassée, mais également très excitée. Serait-il possible que la perspective de faire l’amour avec une femme me plaise à ce point ?
    Je n’ai pas le temps de m’attarder sur cette question, car la jolie brune se couche déjà sur moi en retroussant le bas de sa robe. Nous sommes désormais tête-bêche, prêtes à nous goûter mutuellement le sexe. Mon cœur se met à battre la chamade. Sans prévenir, la langue de ma partenaire s’enfonce dans mes chairs, puis me lape avec gourmandise. D’un doigt tremblant d’appréhension, je décide d’écarter la ficelle de son string pour découvrir une belle vulve surmonter d’une mince ligne de poils bruns et coupés à ras. J’inspire profondément par le nez, puis je pousse timidement la langue pour la glisser dans la fente baveuse qui me nargue. C’est la première fois que je lèche le sexe d’une femme et je dois reconnaitre que ce n’est pas désagréable. Au contraire, j’éprouve un certain plaisir à agir de la sorte.
    Nous nous léchons ainsi jusqu’à en perdre haleine. Toute notion de temps m’échappe. Seul compte l’extase grandissant que j’éprouve. Ma langue est comme un tourbillon sur le sexe de la jolie brune. Je l’entends gémir, puis pousser de longues plaintes jouissives. Ses cris m’excitent davantage. Aussi, je ne peux aucunement refouler l’orgasme qui m’assaille lorsqu’elle fait roule mes chairs dans sa bouche. Je jouis avec une force que je ne me connaissais pas avant de m’écrouler lamentablement au sol, éreintée. J’ai la brusque impression que mon corps et mon esprit se trouvent désormais dans du coton.
    La jolie brune roule sur le côté pour reprendre son souffle. Nous demeurons immobiles et silencieuses quelques instants en admirant le plafond, puis elle déclare : « Il n’y a rien de tel avant une longue nuit de labeur ! » Un rire nerveux s’empare de moi. Celui-ci s’avère être contagieux et nous pleurons presque de rire durant plusieurs minutes. Je retrouve mon sérieux tout en choisissant une tenue sur les portiques, puis je l’embrasse longuement avant de quitter la loge et de me rendre à l’étage.
    Il me tarde d’être à la semaine prochaine et de pouvoir à nouveau travailler avec la jolie brune !

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Anonyme :
encore plus de lesbienne
Posté le par Anonyme :
pire que ça, c trop excitant j'ai mouiller comme une salope mmmmmmm
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Magali

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