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Histoire X : Histoire d'une bourge partie 1

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire X : Histoire d'une bourge partie 1

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    rencontre pluie bas

    Coucou les coquinous !

    La pluie ne cessait de tomber sur la capitale. Comme tous les jours je gravissais cette rue en pente comme on escalade une montagne, évitant les passants avec leur parapluie. Les gens ne faisaient pas attention ; et brusquement je fus percuté au croisement de deux rues par elle.
    Elle, c’est qui ? Je vais vous l’expliquer. Chaque matin, je prends donc la même rue qui monte pour parvenir à mon travail. Curieusement, ou pas, il m’arrive donc de croiser les mêmes personnes, qui font le chemin inverse, ou qui m’accompagnent durant le trajet, se rendant dans des magasins jouxtant le mien. Et elle faisait partie de ces rencontres récurrentes. Je l’appelais la bourge.
    Agée d’une quarantaine d’années, cette belle brune d’1m80 était toujours super bien habillée. Des habits de marque que je reconnaissais pour la plupart, des tenues coordonnées, une coiffure toujours lisse et impeccable. Mais elle avait toujours ce même regard. Un peu méprisant, un peu hautain quand elle croisait mon regard, bien qu’elle faisait comme si je n’existais pas. Ma petite bourge. Et chaque fois que je la croisais, je ne pouvais m’empêcher de penser à ce que je lui ferais si j’avais l’occasion de la baiser, une sorte de fantasme bien cochon qui me faisait bander immédiatement.
    Mais là, pas le temps de fantasmer car la bourge, prise entre son sac et son parapluie, venait de me percuter. Elle manque de glisser et de tomber sur le sol mouillé et j’ai juste le temps de la rattraper au vol.
    « vous ne pouvez pas faire attention ! » me lance-elle avec un regard méprisant
    Sa voix, pointue et haut perchée était telle que je l’avais imaginée, son outrance aussi. Je lui répondais que c’était elle qui m’avait percuté, le nez dans ses affaires ; mais, n’écoutant pas ma réponse, elle continuait sa route en vociférant. Charmante rencontre.
    Je continuais moi aussi ma route lorsque je remarquais sur le sol une carte d’identité, sans doute perdue, et qu’elle ne fut pas ma surprise lorsque je reconnus Béatrice H******** , ma bourge.
    Béatrice avait donc laissé tomber sa carte, elle habitait deux rues plus loin, je ramassais la carte et je reprenais mon chemin, j’étais en retard pour le travail.
    Toute la journée je ne pensais qu’à elle, entre obsession et fantasme là encore, et je décidais le soir en rentrant, de déposer sa carte d’identité dans sa boite aux lettres, avec un petit mot
    « Désolé de vous avoir percuté, mais j’ai retrouvé ça… »
    La journée finie, il devait être 18h30, je filais à toute vitesse vers chez elle pour lui remettre la carte. J’arrivais devant l’immeuble, je sonnais un peu partout pour qu’on m’ouvre, et finalement, j’entrais dans le hall où se situaient les boîtes. Parfait. Je venais de la glisser dans la fente. Je me retourne. Et bien entendu, la porte s’ouvre sur elle. Trop de chance
    Elle me reconnaît et prend un air interrogatif, je lui explique donc la situation et là son regard s’adoucit presque immédiatement, elle sourit (elle a de super jolies dents ! )
    « merci beaucoup, je me faisais un sang d’encre depuis ce matin, quelle délicatesse de me l’avoir ramené, mais montez boire un verre, pour vous remercier de cette attention »
    La bourge était sympa en fait ; et les cheveux moins lisses à cause de la pluie, elle était d’autant plus bandante.
    J’acceptais son invitation bien entendu, et je pénétrais dans son luxueux loft qui devait faire à peu près 80- 90 mètre carré, aussi distingué et classe qu’elle ; je n’osais même pas m’asseoir tellement j’avais peur de casser un objet rare. Elle m’invita donc sur le canapé avant de me servir à boire, et elle me fit la conversation, me demandant qui j’étais et ce que je faisais dans le quartier. Elle avait retiré ses talons hauts et elle était très, trop près de moi ; elle portait une chemise blanche, légèrement transparente et je pouvais deviner son soutien-gorge et une jolie poitrine ; d’ailleurs elle venait de retirer un bouton devant moi et je fis mine de ne pas le voir. En bas sa jupe assez courte remontait et laissait apparaître des bas ; j’avais envie de glisser ma main sous sa jupe et je me retenais vraiment de ne pas l’embrasser ; j’étais comme hypnotisé.
    Vingt minutes s’étaient écoulées, où j’avais noté qu’elle était célibataire. Mais qu’elle ne cherchait pas de relation car elle était prise dans son travail, et son travail uniquement. Dommage.
    Il se faisait tard, je fis signe de me lever quand brusquement, un objet tomba du sol. Je me baissais naturellement pour le ramasser, et là, je vous le garantis, moment extrêmement gênant ; je remontais un sex toy, de type vibro, qui était tombé d’un pli du canapé.
    Je lui rendais, vraiment très gêné et elle aussi durant un instant. Puis elle éclata de rire en disant
    « vous voyez, je n’ai pas le temps de chercher un gars »
    Et là, ma réponse sortit sans que je puisse la stopper : « ben là je suis là ! »
    Qui ne tente rien n’a rien. Et là, soudain, elle s’approcha de moi, non, se colla à moi et se mit à m’embrasser, appuyant sa poitrine sur mon tee shirt. Nos bouches s’ouvrirent et je lui rendis son baiser, jusqu’à ce que nos langues se rencontrent enfin et que le baiser devienne plus passionné, plus passionnel, je compris là que mon fantasme allait se réaliser et que j’allais enfin pouvoir faire l’amour à celle que j’imaginais chaque matin dans la rue. Nous continuons à nous embrasser et je posais alors ses mains sur les boutons de sa chemise, que je défaisais un à un pour découvrir son soutien-gorge blanc, et sa poitrine. Elle devait faire du 90C, une belle paire de seins bien ferme. Elle retirait sa chemise et son soutien-gorge dans le même moment ; et seins à nus devant moi, elle me lança
    « tu vas me baiser comme une salope ok ? »
    A suivre

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