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Histoire porno : J’ai écarté les jambes de façon obscène

Cette histoire de cul vécue par Miliane, a été racontée par l'une de nos coquines au tel
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Code histoire 0135 - Durée : 08 minutes
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    Histoire porno : J’ai écarté les jambes de façon obscène

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonsoir à tous,

    Il y a un petit moment que je ne suis pas revenue vous raconter mes ébats, mais je lis toujours régulièrement les histoires. Humm…caliente, caliente!

    Dernièrement, mais comme souvent d’ailleurs, j’étais d’humeur très très coquine. Tandis que je bouquinais sur le canapé, mon chéri regardait vaguement le JT à la télé, à moitié endormi. J’aime bien l’embêter quand il est dans cet état de semi conscience. Alors en véritable petite salope, j’ai commencé à caresser son pénis à travers son pyjama, comme si de rien n’était. Il a poussé un grognement parce-qu’il s’est senti dérangé, sans trop savoir par quoi.
    Mais j’ai continué vicieusement. Ma main est passée sous son pantalon de pyjama et j’ai commencé à le branler doucement pour qu’il se réveille en érection et qu’il prenne conscience qu’il n’était pas en train de rêver. J’aurais bien aimé savoir à quoi il rêvait d’ailleurs, car il continuait de grogner tandis que je le caressais doucement. Hihi Je descendais jusqu’à ses couilles bien poilues et je les faisais savamment rouler entre mes doigts puis je remontais jusqu’à sa queue pour faire coulisser l’engin entre mes doigts. Il gémissait dans son sommeil et cela a fini par le réveiller.

    - Dis, chérie, je m’endormais, tu crois que c’est vraiment le moment. J’ai eu une journée harassante. Me dit-il d’une voix embrumée
    - Allez détend-toi, je sens déjà qu’elle commence à enfler. Tu veux que je mette un petit porno pour te mettre un peu plus dans l’ambiance ?

    J’ai pris son grognement pour un oui et je suis allée mettre un dvd, en prenant soin de bien me pencher en avant pour qu’il devine mon joli cul sous la nuisette que je portais. J’en rajoutais bien évidemment, feignant de chercher un peu trop longuement dans les dvd, ondulant de la croupe. Ma nuisette comme par magie, oups, glissait et remontait au gré de mes mouvements calculés, laissant apparaitre plus ou moins les parties charnues de mon anatomie. J’adore !

    - Ah, j’ai trouvé !

    Mon homme adore les scènes où un mec se retrouve avec deux filles (comme beaucoup d’entre vous Messieurs n’est-ce pas ? lol) alors j’ai accéléré le film pour tomber sur une scène du genre. Je dois dire que moi aussi cela m’excite, particulièrement de voir deux femmes s’embrasser, se caresser, se lécher.

    - Toujours aussi insatiable hein ? Pour te punir de m’avoir réveillé, suce-moi un peu.

    Tu parles d’une punition ! Mais pour le coup, il était parfaitement réveillé. Alors je me suis mise à quatre pattes sur le canapé et je me suis attaquée à l’engin qui avait déjà pris une belle ampleur. Je le sentais regarder le film en même temps et punaise que cela m’excitait ! Je n’avais pas de culotte sous ma nuisette en dentelle, mais je peux vous dire que je mouillais copieusement. Tout en le suçant, je jetais des coups d’œil au film et mes prises en bouche de sa queue n'en étaient que plus gloutonnes. A la télé, l’homme était en train de baiser comme un malade une des filles tandis que l’autre léchait les seins de sa copine. Ça m’a encore plus excitée ! Mon chéri râlait de plaisir sous mes coups de langue. Je léchais sa queue sur toute sa longueur, gobais ses couilles avec gourmandise, léchant son entre-jambe, il est très sensible à cet endroit-là. Tantôt fixé sur le film, tantôt sur ma bouche qui avalait sa queue avec gourmandise, j’ai compris qu’il ne tiendrait pas longtemps.

    N’en pouvant plus, et pourtant crevé, il me bascula en arrière pour m’étendre sur le canapé. J’ai écarté les jambes de façon obscène pour qu’il me prenne comme une sale trainée, comme dans le film. J’aime tellement ça. La baise pour la baise !

    -T’as toujours envie de baise ! Je me demande comment tu n’aies jamais allée voir ailleurs avec un tel appétit sexuel, hein ma petite salope ?
    Je me suis bien gardée de lui dire que j’étais déjà allée voir ailleurs si l’herbe était plus verte.

    Hihi Pour le rassurer :

    - Ben parce-que je t’aime tout simplement et que c’est toi qui m’excite, pas les autres ! J’ai envie de me faire baiser que par toi, tu le sais bien!

    Sans ménagement, sa queue dure comme de l’acier m’a pénétrée d’un coup sec. Mais j’aime ça. Être sa femelle qu’il saillit sauvagement, presque sans sentiments, juste pour le sexe.
    Je matais un peu en même temps le film et j’étais chaude bouillante devant les scènes de cul. Sa queue tapait fort au fond de mon vagin mais j’avais envie d’encore plus de brutalité. Qu’il me fasse presque mal. Il a senti mon côté bestial et il y a quelque chose qui m’excite beaucoup et qu’il connait.

    Tandis que mes doigts s’étaient plantés dans ses fesses pour accompagner son va et vient et le forcer à davantage me défoncer la chatte, ses mains m’ont enserré le cou. Il simulait de m’étrangler. Ses pouces appuyaient sur ma trachée mais juste ce qu’il faut. Ma respiration en était gênée mais cela m’excite terriblement. J’aime me sentir à sa merci, me sentir contrainte et savoir que si je devais me débattre, je ne ferais pas le poids. J’aime ce sentiment d’impuissance face à mon homme qui m’étrangle pour de faux. Cela me grise ! N’être plus rien qu’un objet sexuel entre ses mains sur lequel il a le pouvoir absolu. Il appuyait de plus en plus fort, m’étouffant presque en resserrant la pression juste quand il le fallait. Mon corps était tellement en transe que j’étais au bord de l’orgasme.

    - Petite pute, tu aimes que je te brutalise ! Tu aimes que je t’étrangle. Ça t’excite hein, tu mouilles comme une chienne ! Si je sors ma queue, je suis sûr qu’elle est pleine de ta mouille, ma salope.
    - Oh oui fais-moi mal !

    Ses mains qui m’étranglaient avec perversion, juste ce qu’il faut, décuplaient mon plaisir. Je prenais mon pied comme pas possible.

    - Tu veux avoir mal ? Mets-toi à quatre pattes, je vais m’occuper de ton cul !

    A peine avais-je obéi, que sans aucune préparation, il a voulu entrer de force dans mon trou du cul. Mais il a dû s’y reprendre à plusieurs fois car ma petite fleur ridée n’était pas prête. Quand il y est parvenu, c’est d’un trait et avec brutalité qu’il s’est enfoncé dans mon cul. J’ai eu mal. J’ai cru qu’il m’avait déchiré l’anus ! Mais tout doucement, en serrant les dents, la douleur et le plaisir se sont enfin mélangés. Mon trou du cul me picotait affreusement. D’habitude il prend plus de précautions. Et il a commencé à me défoncer comme un forcené, me projetant en avant à chaque coup de rein. J’en avais du mal à rester en appui sur mes bras.
    La douleur, petit à petit, a disparu, laissant place uniquement au plaisir. Bientôt je me suis mise à gémir sous ses assauts répétés. Il s’était agrippé à mes épaules pour que mon petit cul reste bien en place à chaque coup de butoir.
    Puis à nouveau, quand il a senti que je n’étais pas loin de jouir, il a enserré mon cou de ses grandes mains viriles. A nouveau il appuyait de plus en plus sur ma gorge. J’étais à la limite de la suffocation mais aussi de l’orgasme.

    - Tiens, prends ça ! Je vais gicler tous mon jus dans ton cul ma chérie. C’est ça que tu veux ? Que je te bourre le cul comme une trainée !

    Il me démontait avec violence et quand j’ai joui, c’est une vague de plaisir qui a déferlé dans mon ventre, m’irradiant jusqu’à la pointe des cheveux tellement c’était bon. Il a continué encore et encore à me défoncer. Je le sentais increvable ce soir-là. Il me limait à un rythme tellement frénétique que maintenant j’en étais presque irritée. Il se déchainait comme une brute épaisse, mais c’est bien ce que j’avais voulu dès le départ.
    Dans un dernier coup de rein, il a tout craché. Me maintenant bien le cul contre lui, il a juté vraiment très profondément en moi.
    Son bon jus était tellement abondant que quand il s’est retiré, le sperme s’est écoulé de mon trou du cul. Alors voracement, il a léché le trop plein de son foutre. C’était une caresse chaude et humide qui a soulagé un peu mon petit trou endolori qui avait été tellement malmené.

    Mais putain qu’est-ce que c’est bon ! J’en deviens vulgaire. Mais vous savez bien que le sexe nous rend bestial, n’est-ce pas ? ;)

    Au final, pour un mec crevé au départ, il a assuré comme un chef.
    Voilà j’espère que mon histoire vous aura excités. En tout cas, en l’écrivant, moi je me suis excitée toute seule…

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Cette histoire de cul vécue par Miliane, a été racontée par l'une de nos coquines au tel
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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Maître cochon17 :
Bien sur la plus part des femmes aiment les baises brutale ,elle aime être forcée ,enculée ,et partagée . Elle seront messieurs encore plus amoureuse
Posté le par Fantasmeagogo :
Hum j'en peux plus j'attend trop que mon homme rentre du travail pour qu'il me defonce mon p´tit trou car moi également j'aime avoir mal !!!
Posté le par Anonyme :
Pas mal cette histoire
Posté le par Anonyme :
Je vais voir mon mec se soir tu me donnes des idées pour ma premiere fois
Posté le par Anonyme :
Hmmm je me suis doigter en lisant cette histoire
Posté le par Anonyme :
je l'ai fait avec mon mec c'était exitant
Posté le par Lou :
J'ADORE !!! Je suis comme toi les baises brutales, bestiales dans ce genre ça me rend dingue! Je suis complètement trempée après avoir lu ton histoire, merci beaucoup, j'ai vraiment adoré!
Posté le par nico :
J'ai adore si seulement cela pouvait m' arriver ;)
Posté le par Eva :
Je suis un peu comme ça moi j'aime bien les insultes la brutalité, je valide ;)
Posté le par Anonyme :
elle est excitante ton histoire
Posté le par Max :
Hummm tu m'a tellement excité que je me suis branler en lisant ton histoire merci !!!
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Miliane

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