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Histoire de sexe : Une coquine se tape le vendeur

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    Histoire de sexe : Une coquine se tape le vendeur

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    J'adore votre site, moi aussi je veux vous faire profiter de ma vie débridée !

    C’était la dernière semaine des soldes, je souhaitais dénicher quelques petits hauts mettant en valeur mon teint pâle de rousse. Comme à chacune de mes sorties estivales, fussent-elles en ville, je ne négligeais pas ma tenue. Petit haut moulant, jupe courte et légère, talons aiguilles.
    Arrivée à une vitrine, je fus attirée par un superbe décolleté rouge. J’entrai aussitôt dans la boutique. Je remarquais qu’en dehors d’un jeune vendeur, s’activant à vider des cartons, il n’y avait personne. Il était de dos. Je ne crois pas qu’à ce moment il me su présente. Je décidais de le solliciter d’un simple contact de ma main sur son épaule. Lorsqu’il se fut retourné, nous nous saluâmes aimablement. Son regard descendit sur mon corps puis remonta. Même si je feignais de ne pas avoir vu son attitude concupiscente, je ne me privais pas de jouer de mes hanches et de ma généreuse poitrine, lorsque je lui demandais conseil et qu’il me répondit :
    « Ce chemisier ? Bien sûr mademoiselle. Je vous sors la taille au dessus. » ; « il vous ira à ravir ! ».
    Regards, contacts avec les mains, proximité corporelle… Tout le long de notre échange, nous étions débordés par notre propre désir. Moi qui ais du mal à retenir mes yeux de se poser sur les braguettes des hommes, cette fois-ci, c’était la proéminence de sa braguette qui avait pris au piège mon regard. Il s’aperçut de ma fixation et par la même de son érection. Il fut tout confus mais la gêne dont nous souffrions réciproquement se transforma rapidement en rires complices et en phrases taquines.
    Lorsqu’il me signala que ce genre de désagréments lui arrivait « quelques-fois », surtout quand la cliente était « particulièrement sexy », je lui demandais avec malice comment réagissait ces clientes.
    « Dans la réalité, elles sourient ou font semblant de n’avoir rien vu, elles achètent leurs vêtement et s’en vont mais dans ma tête…quand je rêve un peu, elles me tirent vers la cabine d’essayage, me répondit-il en riant ».
    L’occasion était trop belle et, si j’ose dire, la perche était trop longue pour ne pas être attrapée !
    J’agrippai son pull et le tira en direction de la cabine d’essayage. A cet instant je ne regardais pas son visage mais je me souviens qu’il n’a laissé sortir aucun son de sa bouche. A l’intérieur de la cabine, je m’agenouillai devant lui, il tira le rideau…
    Ma main caressait son sexe à travers son jean. Je déboutonnai son pantalon alors qu’il haletait déjà de plaisir. Je sortis sa queue et la dévora d’abord des yeux, puis du long de ma langue. Testicules, frein, gland, aucune partie ne se soustrayait au velours de ma langue. Je pénétrais enfin son sexe dans ma bouche tandis qu’il s’agrippait aux porte-manteaux vissés au mur de la cabine. Alors que je fixais mes yeux dans les sien en le pompant goulument, on entendait tous les deux le pas de clients qui étaient entrés dans le magasin.
    « Y a quelqu’un ?! » s’exclama un des clients.
    Imperturbable, nous continuions nos affaires sans mot dire. Mon vendeur sortit de sa poche son téléphone portable et composa un numéro. J’en profitai pour m’enlever mon haut et mon soutien-gorge. Soudain, il murmura :
    « Allo ouais, Jeff ? T’es dans le coin là ?...Tu pourrais pas me dépanner 5 minutes à la boutique ? Je t’en supplie, c’est urgent ! Faut que…j’aille aux toilettes et j’ai des clients qui attendent… »
    Je serrai sa queue entre mes deux seins. Il donnait des coups de reins en se tenant la main sur mon crâne et l’autre à l’oreille.
    « Merci Jeff, t’es un frère ! »
    Mon vendeur raccrocha son portable et me souleva promptement. Nous nous embrassâmes. Il me caressait les seins et la taille. Je frottais mon entre-jambe contre son sexe dur.
    « J’ai envie de toi. » lui dis-je.
    Il me retourna contre la paroi de la cabine et alors que je me cambrai, il m’arracha le string, me pénétra et anima ses va-et-vient. Mon visage était littéralement collé à la fine clôture en bois. Je luttais pour ne pas faire trop de bruit car les clients continuaient de papillonnaient dans les rayons. On entendait le claquement de ses boules contre mon corps et le halètement de notre plaisir mutuel.
    Après quelques courtes minutes, le fameux Jeff entra dans la boutique. Mon vendeur scruta rapidement la salle en fendant légèrement le rideau de la cabine d’essayage. La situation dû probablement le rassurer puisqu’il s’activa plus vite et plus fort. Le plaisir était trop fort et je ne pus m’empêcher de pousser des cris. La cabine avait beau être de bois, sous l’effet de nos deux corps en action, elle semblait être faite de carton. Au fur et à mesure de nos ébats, plus rien ne faisait obstacle à notre plaisir : nous oublions les clients, Jeff et la bienséance commune.
    Mon vendeur préféré poussa soudain un grand râle de plaisir. Ses doigts étaient agrippés à mes fesses comme des harpons. Il se vidait lentement dans ma vulve tandis que je tentais de retrouver mes esprits. Les porte-manteaux furent d’un grand secours pour mon propre équilibre. Mes jambes chancelaient.
    Inutile de préciser que notre sortie de la cabine fut un moment difficile. Les clients, qui avaient tout entendu, nous dévisageaient, tantôt avec le sourire, tantôt sans…Jeff, rieur, nous reçut avec les applaudissements et le souci de savoir si la cabine n’avait pas été trop exigüe. Il avait une belle allure et quand mes yeux se sont portés sur sa braguette, j’avais bien vu que toute cette situation ne l’avait pas laissé indifférent. Malheureusement, j’ai beau être aventureuse, j’ai mes limites physiques…
    Je suis partie peu de temps après avec le chemisier rouge en cadeau et l’invitation des deux collègues à revenir plus souvent faire des emplettes.
    « A bientôt, les gars ! »

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par Billbroonzi :
Fallait te taper aussi le second jeff.et comme ça, ça serait trop génial petite coquine
Posté le par danycat :
Je ne me suis jamais faite baiser dans une cabine mais quand un homme attend sa femme à l'extérieur ,je laisse le rideau entrouvert et le plus naturellement possible je me déshabille entièrement devant lui
Posté le par kris 13 :
La chance du vendeur sacré coquine
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thiffaine

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