Recit de cul : Baise hard dans les toilettes
Cette histoire de cul vécue par Justine, a été racontée par l'une de nos coquines au tel
Pour l'écouter, compose le et fais-toi plaisir ;) Code histoire 0128 - Durée : 14 minutes |
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Recit de cul : Baise hard dans les toilettes
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 06/02/2014
Publié le 06/02/2014
Coucou mes petits gorets d’amour,
Je n’ai pas eu le temps la dernière fois de vous raconter ce que j’ai fait pour le 31. Alors comme j’ai un peu de temps là je vais vous raconter les détails croustillants de cette soirée de luxure.
Je dois juste vous dire avant, que ce soir où je suis en train d’écrire, je suis particulièrement chaude. On est en semaine et cela doit bien faire une semaine que je n’ai pas baisé…sniff Alors sans doute que je me « ferai du bien » après vous avoir raconté mon histoire et avoir lu quelques cochonneries de mes consœurs… comme je fais tous les soirs quand je suis en manque…
Pour le 31, on s’est retrouvé avec une quinzaine d’amis pour se faire un resto assez sélect puis soirée en boite. Bon pas vraiment original certes mais comme il y avait des couples plutôt conventionnels avec nous, je n’allais pas leur proposer un club libertin non plus.
Faudra que j’essaie d’ailleurs ce milieu car vos histoires dans ces lieux m’ont donné envie d’essayer mais j’avoue que pour l’instant je ne fais que l’envisager car je trouve des plans cul sans trop chercher dans ma vie de tous les jours. Mes amis proches connaissent ma vie « un peu... beaucoup dissolue », je ne m’en cache pas et si les copines que je connaissais avant qu’elles soient en couple, me prennent comme je suis, les nouvelles copines de mes amis mecs me regardent d’un œil suspicieux et méfiant. Je suis à demi-mots « la pétasse » à éloigner de leurs mecs.
Mais ce qu’elles ne savent pas c’est que je me les suis tous tapés au moins une fois avant qu’ils ne soient en couple, mais ça c’est motus et bouche cousue. Hihi Et puis je me suis promis de ne pas recommencer avec les copains des amies, trop compliqué à gérer ensuite quand ça se sait.
Donc pour la soirée, j’avais enfilé une robe bustier en lamé or. Très moulante, elle me faisait un putain de beau cul et le bustier remontait ma belle paire de nichons de façon scandaleuse. Il s’agissait d’une robe pas aussi courte que celles que j’ai l’habitude de porter mais fendue outrageusement sur le côté, faisant apparaitre le haut de ma cuisse galbée et le liseré de dentelle de mes bas clips. J’étais vraiment trop sexe. Quand je me préparais, je m’admirais dans le miroir, prenant des poses de starlette. Je suis assez narcissique c’est clair. Le kiff absolu! Des escarpins vernis noir avec des talons vertigineux soulignés d’un liseré or sur le talon. Une vraie bombasse prête à sortir le grand jeu.
Le repas s’est déroulé dans une ambiance détendue et dès mon entrée dans le resto j’ai senti le regard des autres clients posés avec envie sur mon corps sexy. J’adore être convoitée et des frissons de fierté et de plaisir m’ont fait vibrer de satisfaction. J’aime me sentir désirer et imaginer que tous ces mecs aimeraient bien se taper une fille comme moi.
Première chose à vérifier, c’était de voir s’il y avait du beau mâle dans la salle. Et j’en ai de suite repérer quelques-uns de pas mal que je pourrais croquer avec plaisir. Comme c’était un resto très classe, la plupart étaient en costume et vous savez l’effet que produit un costard cravate sur moi…ça m’échauffe la minette de suite.
Il y en avait 2 notamment que j’aurais bien aimé escalader mais le premier avait l’air d’être en couple. Donc trop compliqué. Le deuxième, par contre, semblait célibataire. Alors que la soirée se déroulait parfaitement, je ne pouvais pas m’empêcher de lui envoyer des œillades brûlantes sans équivoques et des sourires qui en disaient longs Cela avait l’air de bien l’amuser. Il avait l’air réceptif. Le manège a duré un moment et quand les 12 coups de minuits ont sonné, il m’a semblé qu’il était de mise de tous se taper la bise en se souhaitant la bonne année, malgré le lieu un peu guindé.
Alors je me suis levée la première pour aller embrasser les autres clients et tout le monde a suivi. Bien sûr je ne suis pas allée directement vers ma proie, pour être discrète mais quand nous nous sommes retrouvés en face à face, je n’ai pas pu m’empêcher de poser mes lèvres près de sa bouche dans un baiser très appuyé, m’attardant un peu trop sans doute, mais avec un sourire de salope. Il avait la marque de mon rouge à lèvre au coin de la bouche et j’ai pris une serviette pour enlever la preuve de ce baiser un peu trop suggestif. Je le fixais éhontément, sans aucune gêne, et à moins d’être un abruti, il devait avoir compris ce dont j’avais envie. Il ne semblait même pas choquer des avances que je lui faisais ouvertement.
Il y avait une piste où entre les plats, ils mettaient de la musique, pour que l’on puisse danser. Et vous imaginez bien que Juju, elle n’avait qu’une envie, c’était de se trémousser et d’onduler sensuellement pour ameuter les foules voire faire bander un peu ces mâles de tout âge.
Le mec en question a fini par venir danser à côté de moi et nous avons échangé quelques mots sans équivoques. Rendez-vous dans les toilettes ! Un beau brun ténébreux avec une barbe de 3 jours, super sexy. Rien que de le regarder, j’en avais la fente humide. J’avais envie de le manger.Au fait, la robe étant très moulante, je n’avais pas jugé utile de mettre de culotte. Quelle garce je suis ! Humm j’adore.
En deux temps trois mouvements, on s’est retrouvé dans les toilettes luxueuses du resto.
Il a de suite pris les initiatives et m’a entrainé dans une cabine.
- J’adore les salopes dans ton genre, j’ai envie que tu me suces!
Il a descendu son pantalon et son slip direct, à mi-jambe pour que je le suce. Sa queue était à demi en érection. Vous savez bien qu’à la vue d’une bite, je ne peux plus me contrôler. Alors je me suis assise sur les toilettes et j’ai commencé à le sucer avec délectation. Sentir sa queue grossir dans ma bouche, c’est un pur régal. J’aime exciter les hommes et j’aime les voir bander pour moi. C’est comme une drogue. Je m’appliquais à l’astiquer à grandes lampées, remontant jusqu’au gland et fourrant ma langue pointue dans son méat, puis redescendant sur la tige jusqu’à lui lécher les couilles. Il grognait de plaisir et je mouillais copieusement. Mon vagin était déjà bien ouvert sous l’effet de l’excitation de le sucer et 3 ou 4 doigts bien empalés dans ma chatte ne m’aurait pas déplu. Mais à priori il avait juste envie de se faire pomper le dard. Alors j’y ai mis tout mon cœur et toute ma bouche aussi…hihi. Devenue bien raide et bien grosse, sa queue butait au fond de mon palais avec le rythme qu’il m’infligeait. Ses mains malaxaient avec force mes nichons et mes tétons dressés étaient hyper sensibles.
- Espèce de petite pute ! J’en ai connu des voraces, mais des salopes comme toi, rarement. Vas-y bouffe la bien. Je vais te gicler dans ta grande bouche de suceuse.
Je m’excitais toute seule à ces mots et j’aurai voulu qu’il me baise mais à priori ce n’était pas dans son programme. Tout en le suçant avec délectation, je le branlais d’une main, tâtant au passage ses couilles pleines et il a tout giclé dans ma bouche rapidement. Trop rapidement pour moi.
Je me suis au moins régalée de son sperme épais qui s’est écoulé doucement dans ma gorge et que j’ai pu savourer pleinement. J’aime avaler votre foutre, Messieurs, ça me met mouiller comme une bonne petite salope que je suis. Ma chatte était trempe.
Je suis sortie de là quand même un peu frustrée. J’aurais bien aimé me faire tringler par ce beau mâle.
Le repas terminé et l’ambiance étant un peu retombée, nous avons décidé de finir en boite.
La boite, pas très grande mais que je connais bien, était pleine à craquer et je me suis dit que je devrais n’avoir que l’embarras du choix devant ce grand étal de viande fraîche… Humm !
Alors je suis partie en chasse. Une amazone en quête de gibier. Je scrutais la faune qui se trouvait là et j’ai finalement repéré quelques mecs qui auraient pu faire mon affaire. J’en ai pris un au hasard mais en discutant il m’a expliqué qu’il se trouvait là avec sa copine alors je n’ai pas insisté.
Puis mon regard de salope s’est attardé sur un beau métis, qui devait être plus jeune que moi, la vingtaine par là. Il avait l’air aussi éméché que moi. J’avoue que j’avais pas mal picolé et l’alcool me met le diable au corps. Je suis encore plus chaude bouillante qu’à jeun, c’est vous dire !
Je l’ai abordé et je l’ai direct allumé outrageusement, me frottant contre lui en feignant de danser alors que nous n’étions pas sur la piste. Le vacarme était assourdissant, pas vraiment possible de discuter. Alors je lui ai roulé une galoche qui a du faire se dresser la bête dans son pantalon.
Un de ses potes est arrivé sur ses entrefaites et ils ont parlaient un peu tous les deux. Je n’entendais rien de ce qu’ils se disaient mais ils rigolaient. Je comprenais qu’ils devaient manigancer quelque chose et j'ai cru entendre le mot " chaudasse". Il parlaient de moi bien entendu. mais pour moi, le principal c’était que mon beau métis assure et me baise. Le reste je n’en avais carrément rien à foutre.
Dans le brouhaha, Anthony, le métis, m’a demandé si un plan à 3 avec son copain, me tentait, un sourire provocateur aux lèvres. Je ne me suis pas démontée, il en faut plus à Juju, vous imaginez bien ! J’ai jaugé l’autre animal de la tête aux pieds. Car avant tout c’est moi qui décide avec qui je baise ! Il n’était pas trop mon genre, plutôt petit, un peu rondouillard, la boule à zéro mais je sais d’expérience qu’une bonne queue n’a pas forcément un physique d’ange…
- Ok ça marche, mais toi tu me baises et lui je le suce ! Dis-je à Anthony.
Ils se sont regardés, un peu ébahis, de ne pas me voir partir en courant ! J’adore.
Ne les laissant même pas réagir, je les ai entrainés dans les toilettes pour mecs. Je peux vous dire que l’on était quand même à l’étroit. Tant bien que mal je me suis assise sur les toilettes, eux debout contre les parois. Je les ai débraguettés et j’ai commencé à les branler en même temps. Anthony a savouré immédiatement mais son copain avait l’air un peu perdu. Je les regardais à tour de rôle, passant un coup de langue léger tantôt sur une queue tantôt sur l’autre. J’étais aux anges. La queue d’Anthony a commencé à bien enfler mais son copain avait un peu de mal. Je comprenais que c’était la première fois qu’il vivait une telle situation. Alors pour qu’il se lâche, j’ai englouti sa bite, j’allais et venais, faisant tourner ma langue sur cette queue pas très grosse mais bien trapue. Sa queue s’est mise à grossir d’un coup comme on gonfle un ballon. Ah les pipes de Juju, aucun mec n’y résiste !
Ca y est, son copain était dans l’ambiance. Alors ma grande bouche passait de l’un à l’autre, je gobais leur chibre avec gourmandise. Je m’en régalais et j’étais toute excitée. Ma chatte mouillait abondamment et il était temps que je me fasse baiser. Alors j’ai sorti une capote que j’ai mise sur la bite d’Anthony et je lui ai fait signe de prendre ma place. Il s’est assis sur les toilettes et dos à lui, je me suis embrochée sur cette queue qui n’attendait que de me baiser. Son copain s’est positionné face à moi pour que je continue de le sucer.
En appui sur mes jambes je montais et redescendais pour me faire empaler encore plus profond. Il fallait qu’il me défonce la chatte. Au resto, je n’avais eu qu’un avant-gout et là ma chatte avait tellement besoin de baise que j’ai eu juste à faire que quelques aller-retour pour que je jouisse comme une putain. C’est un « Ahhh » étouffé par la queue que j’avais en bouche, qui est sorti de ma gorge.
Je besognais mon petit rondouillard qui transpirait, tant il était au bord de l’éjaculation. Anthony m’avait empoigné les fesses pour m’aider à me soulever et me faisait brutalement retomber sur sa grosse bite de métis. Je la sentais au plus profond de mes entrailles, il allait de plus en plus loin, de plus en plus fort.
- T’aime ça que je te défonce, salope, hein ?
-Oh oui défonce-moi ! Bourre-moi la chatte ! Plus fort !
J’étais à nouveau au bord de l’orgasme. Mon petit potelé, lui, avait agrippé mes cheveux d’une main pour guider ma bouche et m’enfoncer sa bite dans le gosier le plus loin possible. Son autre main avait sorti un de mes seins de mon bustier et il le meurtrissait dans des gestes brutaux. Ses mains étaient prises de convulsions pour allaient de plus en plus vite. Dans un ultime râle, il a tout craché dans ma bouche, me tenant la tête empalée sur sa queue pour que j’avale jusqu’à la dernière goutte. J’ai dégluti le liquide crémeux avec gourmandise.
Je finissais de nettoyer le gland de son copain quand Anthony m’a infligé des secousses encore plus fortes. Mon cul claquait sur ses cuisses, sa bite était prête à exploser. Je me suis branlée un peu le clito pour jouir en même temps que lui et à quelques secondes près, il a tout craché tandis que j’étais terrassée par un nouvel orgasme. Putain que c’est bon de jouir ! C’est une drogue..
Je suis sortie la première des toilettes. On s’est revu ensuite durant la soirée et nous avons échangé nos numéros avec Anthony. Enfin moi je lui ai donné un faux numéro. Mais peut être que je le rappellerai. Je n’ai pas essayé encore de le contacter mais peut être m’a-t-il donné lui aussi un faux numéro… ;) Ce sont les risques du métier…lol
Ps : Dites moi si vous vous êtes branlé en lisant mon histoire ??
Si oui, c’est c’est un super kiff pour moi. Ça me met en ébullition de vous imaginer…
Bonne soirée mes gorets chéris.
Cette histoire de cul vécue par Justine, a été racontée par l'une de nos coquines au tel
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Les commentaires pour cette histoire érotique
Commentaires
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Justine
Découvertes plaisirs lesbiens
A peine la porte fermée qu′elle m′embrassait goulument et en profitait d′une main habile pour détacher mon soutien gorge et libérer mes nichons. Je reconnais que mes tétons étaient tout droit. Emma en profitait pour malaxer mes seins et pour me les lécher.
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Bouffe-moi la chatte
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 17/07/2014
Publié le 17/07/2014
Wahouuuu, une de nos plus grosses coquines est de retour et nous raconte un plan bien excitant !
En plus elle nous dit s'être inscrite sur notre espace rencontres coquines avec le pseudo "justine-94240" , il y en a qui vont être content :) - 269 22
Justine se fait baiser par le concièrge
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 10/03/2014
Publié le 10/03/2014
Justine est vraiment une cochonne, ça se ressent à travers son témoignage ! Je pense que s'il y avait un classement des 10 plus grosses cochonnes du site, elle en ferait partie !
Merci Justine.... Découverte du 3ième sexe
Chauffeur livreur, j’ai une enveloppe pour une certaine Mlle Messina. J’arrive à l’adresse indiquée, sonne à l’interphone et une voix suave m’invite à monter. Arrivé à l’étage, une magnifique brune, grande et mince, portant une petite tenus très sexy, soulignant une magnifique silhouette m’ouvre la porte...
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J'adore imaginer mes oncles se branler en pensant à mon petit cul
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 09/01/2014
Publié le 09/01/2014
Il y a des filles coquines, il y a des filles très chaudes et puis il y a des petites salopes comme Justine. Le soir de noël elle se comporte en petite allumeuse et se fait sauter par un cousin éloigné...
Notre coquine est très fière de sa personne puisque parfois elle parle d'elle à le 3ème personne :) Mais nous on adore les filles qui ne pensent qu'à leur corps et qu'aux mecs !
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Justine fait une branlette à un vieux
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 22/12/2013
Publié le 22/12/2013
Je crois que Justine est vraiment très très cochonne, vous allez comprendre en lisant l'histoire.
Au passage, je tiens à signaler à ces messieurs, que le fantasme du vieux dans la tête d'une femme est bien plus fréquent que ce que l'on pourrait penser. Évidement aucune de nous s'en vante :)
Voisine coquine
Bien calé à la lisière du rideau, j′observais donc avec intérêt ce qui se passait dans le séjour de la villa voisine. La jeune femme avait posé l′une de ses jambes sur un accoudoir du fauteuil et l′autre était à plat sur le siège.
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J’adore passer pour une chienne en chaleur
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 17/11/2013
Publié le 17/11/2013
A priori notre coquine a un faible pour les mecs mariés, ou qui vont le devenir, alala... c'est du propre ;)
- 312 37
Doigte-moi avec 3 doigts, j’en veux plus !
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 23/10/2013
Publié le 23/10/2013
Le titre montre à quel point notre coquine aime la bite...Bonne lecture ;)
Le train de nuit
Il y a longtemps, vers 1970, il existait un train auto-couchette qui menait de Toulouse à Bruxelles de nuit. Départ vers 21 heures, arrivée vers 12 heures le lendemain. Pour partir en vacances avec mon épouse nous avons emprunté ce moyen de transport.
- 316 41
Une vraie chaudasse
Corrigé et résumé par Dialogue69 le 13/10/2013
Publié le 13/10/2013
C'est une vraie chaude du cul qui nous raconte un des ses plans cul.
Bienvenue à toi Justine et j'espère à très vite pour nous raconter une de tes aventures.
Tu ne trouves pas le récit X idéal ? C'est impossible sur le temple de l'histoire de cul en France ! Recherche un peu mieux et tu trouveras ton bonheur à moins que tu préfères une baise directe au tel rose!