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Simplement par curiosité ou pour l’avoir vécu soi-même, il est légitime de se demander ce qui pourrait pousser son partenaire à l’adultère, peu importe sa forme. Si les sexologues parlent satisfaction, les chercheurs penchent plutôt pour un facteur générationnel. D’après eux, il existe même un cap, comprenez un âge, propice à l’infidélité.
L’infidélité, stimulant du couple ?
La crainte que son ou sa partenaire ne vous trompe est quelque chose de normal quand on est en couple. Si l’on ne tenait pas à l’autre, il n’y aurait alors aucune raison de vivre avec elle ou avec lui.
Et puis, l’infidélité peut être un très bon stimulant pour un couple après quelques années ou dizaines d’années de vie à deux. En effet, on se connaît alors par cœur et il n’y a plus cette sensation de nouveauté, ce plaisir de tester de nouveaux horizons sexuels, de franchir des interdits.
Des plaisirs qui font la différence et que l’on peut alors trouver entre les bras d’une maîtresse par exemple. Toutefois, un tel acte signe généralement la mort du couple, contrairement au téléphone rose qui permet d’avoir une partenaire de jeux très polissons au téléphone. Mais cela reste très pardonnable, contrairement à un véritable adultère.
40 ans et plus, l’âge des liaisons extra-conjugales
Les liaisons extra-conjugales sont bien plus nombreuses qu’on ne se l’imagine, tout du moins si l’on en croit une étude de 2015 de l’Université du New-Hampshire. Celle-ci met clairement en évidence que 60% des hommes sont un jour ou l’autre infidèles, soit, à peine plus que les femmes (7%).
En outre, il apparaîtrait que ce serait vers le 55e anniversaire que ces messieurs batifoleraient le plus en dehors du couple. Les raisons avancées sont les opportunités s’offrant à eux, mais également la volonté de faire montre que leur pouvoir de séduction ne faiblit pas.
Quant aux femmes, ce serait bien plus tôt qu’elles commenceraient à s’adonner à la bagatelle en dehors du couple, vers l’âge de 45 ans.
