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Histoire de cul : Histoire d'un début SM

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire de cul : Histoire d'un début SM

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    sm soumis cunni

    Bonjour

    Je m’appelle Maitresse Hécate ; et comme mon nom l’indique je suis adepte des plaisirs de domination et de soumission ; et j’avais envie de vous faire découvrir mes débuts en tant que maîtresse, bien avant que je devienne aussi experte en la matière qu’aujourd’hui.
    J’ai donc une quarantaine d’années, j’ai toujours aimé le sexe, avec différents types de partenaires, qu’ils soient masculins ou féminins. Mais, il y a une dizaine d’années, mon activité sexuelle a connu un creux, je me suis séparé de mon conjoint, qui ne me satisfaisait plus au lit, et j’en ai profité pour prendre du recul sur qui j’étais, et ce que j’aimais dans la vie.
    Et le déclic, je l’ai eu avec cette situation que je vais vous décrire. J’ai fait la connaissance d’un gars dans une avant boite de la région parisienne ; j’y allais souvent pour l’ambiance, pas vraiment pour me faire draguer, mais ça ne m’empêchait pas d’y venir sexy, dans ma tenue préférée : bas résilles, bottes, jupe en cuir et haut en dentelles rouge, loin d’être anodin quand j’y repense. Je passais souvent mes soirées à refouler des garçons, quel qu’ils soient, car j’avais pas du tout envie d’entrer dans le principe « mec d’un soir ». Et pourtant, ce soir-là, Jonathan m’aborde et je ne me souviens plus vraiment comment il s’y est pris, mais il parvient à attirer mon attention, je dirais même à me séduire. Nous commençons à discuter et le plan drague s’installe : compliments sur mon physique (je fais du 90C), compliments sur ma tenue ; après quelques minutes sur ce tempo je lui demande franchement ce qu’il attend de moi.
    « ton but, c’est de m’amener dans ton lit, et de me sauter ? »
    Il restait totalement interdit, mais reprit rapidement confiance, en me proposant seulement de se retrouver chez lui pour discuter dans un lieu plus tranquille.
    Je refusais.
    Je proposais chez moi à la place.
    Je pense que j’étais séduite et je voulais savoir si avec Jonathan, ça allait être différent et si j’allais pouvoir retrouver le plein plaisir que j’avais connu étant plus jeune.
    Nous arrivions chez moi et je lui offrais à boire, puis je lui demandais de m’attendre sur le canapé histoire d’enfiler une tenue plus décontractée. J’entrai donc dans la salle de bain et retirai mes vêtements pour mettre une simple nuisette blanche, et je mettais un tanga blanc que l’on devinait bien entendu allègrement.
    Je revenais dans mon salon et qu’elle ne fut pas ma surprise de voir Jonathan, ne portant plus qu’un boxer, donc dans quasiment nu, sur le sol à 4 pattes, la tête penchée en avant. Il avait depuis le début de la soirée une espèce de collier qui m’avait intrigué, mais qu’il dissimulait sous sa chemise, mais là je voyais clairement que c’était un collier à chien, qu’il avait relié à une laisse. Mais c’était quoi ce délire ?
    « Maîtresse, vous pouvez à présent faire ce que vous voulez de moi, je suis votre soumis »
    Je restais muette. Bien sûr j’avais déjà entendu parler des délires SM, mais j’avais jamais encore testé vraiment, et je compris rapidement que ma tenue du soir avait du donner un aspect fetish à mes intentions ; d’où cette position. Je ne savais pas quoi faire. Mais croyez-moi j’étais amusée. Vraiment amusée.
    Je m’avançais vers lui, et je saisis la laisse. Puisque j’avais bien compris que le sexe n’était pas le plaisir ultime du soumis, je ne le touchais même pas, même si il avait l’air super bien membré. Je décidais donc de le faire marcher, à 4 pattes, sur la surface de mon salon, et de me suivre, comme un chien suit sa maîtresse. Il en fut ravi et je prenais un malin plaisir à le voir déambuler ainsi. Puis, pour m’exciter davantage, je retirai mon tanga et je lui ordonnais de le garder dans sa bouche. Il était naturellement déjà un peu humide, et sentait bon ma cyprine. Il le prit en bouche et le garda, avant de reprendre sa marche forcée.
    Quelques minutes plus tard, je stoppais cet exercice et je m’asseyais, jambes écartées devant lui. Je lui attrapais la tête et l’approchait au plus près de mon sexe. Puis je commençais à me masturber doucement et je ne voulais pas qu’il en perde une miette. Je titillai mon clito devant lui, puis je massais mes lèvres charnues, recueillant un peu de mouille sur mes doigts (je mouille beaucoup) puis je lui en tartinais le visage sans qu’il bouge. Je me rendais compte que je prenais vraiment mon pied à exiger tout ça de lui, sans aucun acte sexuel pour autant. Plus tard je lui arrachais son boxer, dévoilant une grosse queue déjà bien dure, et je m’amusais, tout en me masturbant, à le caresser avec mon pied, le frôlant sans pour autant qu’il ait le droit de se caresser. Je sentais le plaisir monter en moi, et, n’en pouvant plus, je collais son visage sur ma chatte et lui demander de me lécher. Je le frappais avec ma laisse, et pendant que sa langue visitait mon intimité, je lui donnais des coups de laisse sur le dos, mais aussi sur les fesses. Son corps devient rapidement rouge, il gémissait et je n’arrivais pas à savoir si c’était de douleur ou de plaisir. Sans doute un mix des deux.
    Ca me faisait venir d’autant plus vite et quand je jouis, ce fut d’un orgasme violent, peu souvent ressenti jusqu’alors. Et ce que je compris ce jour-là, c’est mon envie, ma soif de devenir quelqu’un d’autre, une maîtresse qui allait dominer le sexe fort, et que je ne pourrais plus jamais prendre mon pied autrement qu’en faisant du mal aux hommes, en leur donnant des ordres, en les traitant comme des animaux dont la récompense était ma jouissance, et MA jouissance seulement. Jonathan n’a jamais éjaculé ce soir-là. Mais il avait pris lui aussi un pied d’enfer. J’étais devenue sa maîtresse.

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