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Histoire de cul : histoire x d'une nuit de folie

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    Histoire de cul : histoire x d'une nuit de folie

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

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    Salut les gens,

    Je viens vous raconter une petite histoire pas piquée des vers qui m’est arrivé il y a quelques années déjà, quand j’occupais encore le poste d’infirmier en hôpital psychiatrique. Mon boulot était de médicaliser les malades, souvent atteints de pathologies lourdes telles que la schizophrénie ou la paranoïa, j’entrais donc dans chaque chambre pour distribuer de quoi les tenir tranquilles, surtout la nuit quand j’étais de garde. Il fallait veiller sur eux. Eviter qu’ils se blessent lors de délires psychopathiques. Mais ils ne faisaient pas que se blesser ! Donc cette histoire se passe dans un hôpital psy d’Aix en Provence où j’officiais il y a quelques années. Je me souviens, on était en fin d’année ; ça devait être le 29 ou le 30 décembre. A cette période-là, les patients sont comme nous, excités après le Noël passé, et ils comptent aussi fêter le réveillon dignement. Donc, on essaye, nous aussi, de leur apporter un peu de bonne humeur car c’est pas toujours évident de passer ces moments là en institut. On avait donc préparé une petite fête, avec de la musique, deux trois lumières sympas, et un petit buffet. Les patients étaient ravis, et ils avaient dansé, et profité dans une super bonne ambiance jusqu’à l’extinction des feux de 22h30. Bien entendu, ils n’avaient pas du tout envie de regagner leur chambre, et la plupart chuchotaient pour continuer la fête par la suite. La nuit allait donc être longue pour nous car ils étaient complètement désinhibés.
    Ma tournée allait bien commencer. Première chambre. Je surprends Henri, pyjama baissé, en train de se masturber gaiment sur son lit ! Ca n’était pas la première fois que je voyais ça ; mais c’était bien la première fois qu’on se cachait aussi peu pour se faire plaisir. Henri faisait coulisser sa main le long de sa queue, et quand j’entrai plus en avant pour lui dire de dormir, il ne cessait même pas son petit manège et ne me jetai pas même un regard. Je dus durcir le ton, lui demandant d’au moins arrêter quand j’étais dans la même pièce que lui, et lui conseillant de tout nettoyer après son petit plaisir. Il fit mine de m’écouter tout en continuant de s’astiquer, et, en fermant la porte, j’entendis le genre de gémissement qui me faisait dire que les draps allaient encore devoir être changés.
    Les prochaines chambres furent tranquilles, les patients dormaient déjà, enivrés par la musique et l’ambiance. Il restait encore une demie douzaine de chambres et j’allais pouvoir prendre ma pause. Problème. Elles étaient vides. Où étaient mes patients ? Je gardai mon calme car il arrive souvent que les gens sortent des chambres pour se retrouver et jouer aux cartes, ou continuer à discuter. Le tout était de les trouver et de les ramener dans leur chambre sans encombre. Je continuai donc ma ronde, et il ne me restait que la salle de jeux à visiter, puisque j’avais fermé à clé les autres lieux. Je m’avançai donc à l’entrée de la porte, qui était fermé et jetai un œil par la vitre.
    Au départ, je ne vis pas grand-chose car la pièce était plongée dans l’obscurité. Puis, m’habituant à la pénombre, je vis une jambe nue bouger légèrement derrière les tapis de relaxation. J’ouvrai alors légèrement la porte et j’entrai, bizarrement, sans faire de bruit. Puis, je découvrais alors le spectacle…
    Les six malades étaient bien là. Occupés à baiser ensemble derrière les tapis. Maureen, dont j’avais vu la jambe, était occupée à sucer son partenaire, qui avait sur lui une autre compagne, qui se faisait donc bien lécher la chatte, tout en remuant ses seins. Plus loin, deux gars se sodomisaient gaiment pendant que la dernière nana était occupée à se masturber en regardant la scène. Tout n’était que gémissements, et bruits de fesses qui tapent contre des couilles. Je n’avais pourtant pas envie de les interrompre, d’une car après tout ils avaient bien le droit de faire leur petit délire, de deux car j’avais repéré ces deux nanas, Maureen et celle qui se caressait, la nouvelle, et je les avais toujours trouvé charmantes ; donc, à défaut de me les taper, je pouvais au moins voir ce qu’elles valaient niveau cul. Et Maureen était assez doué pour sucer, elle empoignait la queue du gars, et l’avalait en gorge profonde, sans aucune douceur, mais avec une dextérité qui me faisait gonfler la queue. Le gars gémissait de plaisir et avait commencé à doigter sa partenaire. Puis, il se leva et changea de position. Il appela Maureen, la positionna en levrette et se campa derrière elle avant de la pénétrer sauvagement. Il mit les mains derrière son dos et c’était Maureen qui le prenait, astiquant sa queue avec sa chatte, allant d’avant en arrière sans s’arrêter. La nana avait décidé de quitter ce terrain et était allé gouiner la troisième, ce qui m’excitait au plus haut point, je la voyais pas si salope. L’autre ne me plaisait pas du tout, bien trop vieille pour moi, mais elle mettait beaucoup de cœur à l’ouvrage à lécher sa partenaire, et les deux furent rapidement tête bêche, se doigtant et se léchant la chatte et l’anus avec frénésie. Les trois couples étaient proches les uns des autres, et n’avaient aucune gêne entre eux, les gouines n’hésitaient pas à taper sur les fesses du gars qui enculait son partenaire, lui demandant d’aller plus vite et de bien le défoncer ; et le couple hétéro, au milieu des deux, se faisait constamment tâter par les autres….
    Rapidement les gays jouirent de leur côté, le gars éjacula dans le cul de son partenaire et vint sucer sa queue pour le remercier, je le vis enfoncer sa bouche et recevoir sa dose de foutre. Les nanas les suivirent rapidement, et gémirent à l’unisson, avec trois doigts chacune dans la chatte. J’avais vraiment envie de mêler à la fête et là je fis le pas de trop ; le bruit de trop, je me faisais surprendre. Merde. Obligé de reprendre mon rôle. Ils étaient tous mort de rire. Je leur demandais donc de se rhabiller, même si le troisième gars râlait un peu, et de re intégrer leur chambre
    Je pense qu’ils finiront plus tard dans la nuit. Et moi ? J’avais eu une gaule d’enfer !

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BERNARD

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