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Recit de cul : Une bonne baise à l'aéroport

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Recit de cul : Une bonne baise à l'aéroport

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Une bonne baise à l'aéroport

    Je prenais ce jour là un avion pour Amsterdam où mon mec m'attendait pour les fêtes.
    J'étais moyennement motivée pour ce voyage qui était manifestement la dernière chance de notre amour: ca passait ou ca cassait, mais à l'issu de ce voyage il nous faudrait avancer.
    e n'eut été que moi, il n'aurait pas eu lieu tant je n'y croyais plus, mais il avait insisté et je n'avais pas eu assez d'arguments pour m'y opposer, aussi j'avais concédé de guerre lasse cette dernière faveur.
    Depuis longtemps nous ne nous entendions plus et notre quotidien n'était plus fait que de querelles.
    Nous faisions l'amour malgré tout, c'était tout ce qui nous restait, mais je sentais que notre vie intime ne tarderait pas à pâtir de nos chamailleries qui se faisaient de plus en plus violentes.
    Avant de partir le premier, on avait baise a la sauvette, vite fait dans le noir.
    Il m'avait à peine masturbée, et m avait juste prise par derrière a la hussarde sans fioritures ni mots cochons, moi qui adorais ca ainsi que ses caresses pendant qu il me baisait avec sensualité, mes seins dans ses mains, ma chatte sous ses doigts, ses propos obscènes et excitants dans mon oreille.
    C était un amant hors pair, a l écoute de mes désirs au début de notre relation, il.avait toujours envie de mon corps, me prenait partout et tout le temps, réalisait tous mes fantasmes, se pliait de bonne grâce a mes mises en scène, faisait tout pour que je sois comblée.
    Mais c était avant...
    Nous étions devenus un couple lambda dans ses mauvais jours et j avais la nostalgie de cet age d or.
    Attablée à la brasserie de l'aéroport, seule et morne, j'avais pris un livre que je feuilletais, distraite, et sirotais un jus de fruits en attendant d'embarquer.
    Je vis du coin de l’œil s'avancer vers moi un homme grand et élégant, genre business man.
    Bizarrement, aujourd'hui, je n'étais pas d'humeur coquine, et trop démoralisée par ce séjour qui s'annonçait mal pour être dans la séduction.

    -Madame, désolé si je vous dérange, mais auriez vous du feu?

    Bonne idée une cigarette pensai-je.

    J'inclinai la tête en signe s'assentiment et l'invitai à aller dehors où je lui tendis mon briquet sans mot dire.
    Nous restâmes à fumer en silence durant quelques instants avant qu'il n'ose m'aborder.

    -Je ne sais pas où vous allez mais il semble que ça ne vous fasse pas plus plaisir que ça, osa t-il timidement
    -Bien vu, répondis je avec un pâle sourire

    Je ne sus pourquoi à cet instant les vannes s'ouvrirent et je me mis tout de go à lui déballer toute mon histoire de couple bancal.
    Il m'écoutait, attentif et interessé et j'appréciai cette marque d'empathie pour une sombre inconnue.
    Il était clair que cet homme, en plus d'être élégant d'un point de vue vestimentaire l'était aussi intérieurement, ce qui fit que je me mis moi aussi à le questionner sur l'objet de son voyage et sur sa vie en général
    Très vite je me sentis beaucoup moins morose d'autant plus que nous prenions le même avion, moi vers mon mec défaillant et lui pour affaires.
    Il était l'heure d'embarquer et il me proposa que l'on y aille ensemble, ce que j'acceptai, revigorée.
    Quand nous eûmes terminé toutes les procédures nous allâmes nous installer dans la salle d'embarquement et continuâmes notre conversation.
    A un moment, il me regarda et me dit: "quel dommage qu'il vous néglige!: moi, si j'avais une telle femme je ferais tout pour la combler".
    Sans réfléchir, il s'avança vers moi et m'embrassa passionnément, ce qui me fit tourner la tête tant son baiser était délicieux.
    Très vite, les autres passagers de la salle disparurent autour de moi et je ne pensai alors qu'à lui rendre ses baisers, puis nous nous mimes à nous caresser sans que les regards dirigés sur nous ne nous dérangent et jusqu'à ce qu'une voie bourrue s'élève:
    -Il y a des toilettes pour ça! c'est une salle d'embarquement pas un baisodrome ici!

    Il s'arrêta net dans son élan et répondit avec aplomb à l'ours mal léché qui s'était indigné:
    -Excellente idée Monsieur!
    Il m’entraîna avec un clin d’œil vers la porte et nous nous mêmes en quête de WC dans lesquels nous entrâmes, enlacés, tout en nous embrasant et en nous touchant de partout, emportés par un désir qui ignorait toute convenance.
    Une dame, choquée, nous vit nous engouffrer dans les premiers sanitaires qui s'ouvrirent, et nous refermâmes la porte avec nos seuls corps.
    Il m'avait plaquée au mur et me caressait tout le corps avec hâte et rage, comme si j'allais m'échapper, comme s'il souhaitait me dévorer tout entière et eut tôt fait de m'ôter ma veste, pour passer ses mains sous ma robe légère et être ainsi en contact avec ma peau vibrante de plaisir.
    Sa bouche, en toute hâte, me recouvrait de baisers, gobait mes seins, effleurait la peau de mon cou, de mon ventre, et vint se poser sur mon sexe à travers le tissu de mon slip pendant que ses doigts qui s'infiltraient sous le tissu venaient rencontrer la chaleur de ma chatte, la masturber, puis la doigter vigoureusement.
    J'étais au comble du plaisir et lui implorais de continuer en gémissant tant ses caresses fermes et tourbillonnantes ainsi que ce cuni me faisaient un bien fou.
    Me soulevant en glissant ses mains sous mes fesses, il sortit son sexe de son pantalon et vint écarter mon slip pour le glisser dans mon sexe humide et brûlant.
    Quand il me pénétra, je fis éclater un cri strident qui explosa dans l'espace.
    Tandis qu'il me pilonnait, se déhanchant comme un fou, me plaquant au mur, un doigt dans mon cul et l'autre en train de titiller mon clito, il suçait également avidement le bout de mes seins.
    Alors qu'il me baisait à grand bruit, j'entendais deux personnes en train de gémir dans les toilettes d'à côté, de sorte que lorsqu'on finit par jouir, les gens qui se masturbaient en nous écoutant prirent leur pied en même temps que nous.
    J avais hâte d être dans l avion pour recommencer.
    Quand a mes états d ame je n y pensais plus du tout.
    A vrai dire, j avais oublie que j avais un mec...

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