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Histoire de sexe : histoire d'un cours si particulier partie 1

Dialogue chaud :
Télephone rose
Sans attente
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    Histoire de sexe : histoire d'un cours si particulier partie 1

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    poitrine ado vieux

    Coucou la compagnie,

    Je me présente, je m’appelle Noémie et je vais vous raconter comment j’ai rencontré la personne avec qui je partage mes jours depuis plus de dix ans.
    A l’époque, j’avais à peine dix huit ans, j’étais plutôt d’une famille aisée, un peu la fille à papa à qui on ne pouvait rien refuser. Mes parents m’offraient à peu près tout ce que je souhaitais, et à cet âge, on cherche surtout à se démarquer et à être la plus belle du lycée. J’avais donc une assez belle garde robe qui mettait mes formes en valeur, je faisais, et je fais d’ailleurs beaucoup de sports pour garder ces formes. Un joli cul bien ferme qui faisait tourner la tête des gars, un cul de métisse comme je le dis assez souvent, étant originaire de la Martinique. Et je n’oubliais pas une belle poitrine, puisqu’à 18 ans je faisais déjà du 90 C ; mes seins tenaient tout seul et je ne cessais de les mettre en valeur.
    A l’époque pourtant, malgré ce physique avantageux, je sortais assez peu avec des garçons. Ceux de mon lycée semblaient pour la plupart tous immatures, ils avaient envie de me sauter mais je ne me voyais mal coucher avec l’un d’entre eux…je l’aurais laissé tomber dès le lendemain et je ne voulais pas d’une réputation de fille facile. Ma seule véritable expérience sexuelle était un beau black que j’avais rencontré il y a deux ans et qui m’avait dépucelé lors d’un séjour étudiant en Afrique du Sud. Quel merveilleux souvenir ( à vous raconter d’ailleurs !) !
    Donc je ne m’entendais pas avec les garçons, pas plus avec les filles d’ailleurs qui enviaient mon physique et mon charisme ; et la plupart du temps je restai seule chez moi. A déprimer. C’est ainsi que Papa me proposa un jour de me donner des cours de guitare. Car j’avais l’oreille musicale et j’aimais beaucoup cet instrument. J’étais partante. Justement un ami à lui donnait des cours, et il se proposait de lui demander de passer, voir si le feeling passait pour la pratique de l’instrument.
    Et le feeling est passé immédiatement…mais pas uniquement pour la guitare. Quand je vis Gabriel sur le pas de la porte, je craquais pour lui tout de suite. Il était à l’époque âgé de 38 ans, soit une vingtaine d’années de plus que moi ; les cheveux déjà grisonnants, une barbe de quelques jours, des petits yeux malicieux cachés derrière une épaisse paire de lunettes ; un tee shirt qui laissait apparaître quelques poils de son torse et un petit cul bien moulé dans son jean noir. Un régal. Papa faisait les présentations et j’étais bien sûr très polie, m’en voulant d’avoir mis ce pull informe qui ne me mettait guère en valeur. C’est ainsi que les leçons commencèrent. Gabriel, en plus d’être beau, était un magnifique enseignant, et, bien que ce soit sa profession, il me montrait chaque semaine qu’il avait envie de réussir. Je prenais deux heures de cours par semaine, et j’avais bien précisé à Papa que je voulais que ce soit Gab, et personne d’autre qui me les donne.
    Les semaines passèrent, nous devenions de plus en plus complices et il m’arrivait de plus en plus de la dragouiller, et surtout de me caresser en pensant à lui le soir venu. A l’époque, il y avait moins de réseaux sociaux, c’était les débuts des portables donc le système SMS était moins performant, on ne pouvait donc que se voir à la maison, dans ma chambre. Mais ce n’était déjà pas mal. Jusqu’au jour où il m’apprit que la prochaine fois ce serait notre dernier cours, car il déménageait. J’étais au bout de ma vie, j’enrageais et je faisais des caprices mais là, je ne pouvais rien faire. A part pleurer.
    Le dernier cours arrivait, et il s’avérait que mes parents étaient absents. J’avais décidé de dire adieu à Gab en lui disant ce que je ressentais pour lui ; le cours se termina et je le pris dans mes bras pour le remercier. J’avais mis mon décolleté le plus plongeant, et j’écrasai mes seins contre lui ; j’avais envie de le rendre fou, de le faire regretter son choix. Je le regardai alors, le câlin fini, et il comprit ce qui se passait, et il prit l’initiative de m’embrasser en premier, un baiser plein de fougue sur le canapé, qui s’éternisa. Je montais alors sur lui pour continuer, puis je lui retirais son tee shirt pour voir enfin son torse. Il me dit que lui aussi en avait envie depuis des mois. Je le regardais et je défis son pantalon en réponse. J’avais envie de le baiser. Le pantalon tombé, je retirai mon top puis mon soutif et je le laissais découvrir mes seins, les approchant de son visage. Il mit mes tétons dans sa bouche et les suça lentement, découvrant mon goût sucré ; c’était tellement bon de le voir me lécher là. Pendant ce temps, juché sur lui, je passais ma main sous son caleçon et je sentis son sexe dur entre mes doigts, sexe incroyablement gros et large, je ne m’attendais pas à ça. Je lui ôtais mes seins et je descendis vers son sexe pour le mettre dans ma bouche ; il était tellement gros que je me repris à plusieurs fois pour le sucer convenablement. Si aujourd’hui je sais comment le pomper à l’époque j’avais beaucoup moins d’expérience, je me souviens avoir pris son gland en bouche pour le sucer longuement, pendant que mes mains branlaient sa hampe lentement, il se laissait faire et commençait à gémir de plaisir. Je pompais alors plus activement son gland, essayant de descendre un peu le long de sa queue sans vraiment y arriver, je remontais donc vers sa bouche pour la lui bouffer pendant que ma main le branlait toujours. Mes parents pouvaient arriver, je lui dis donc à l’oreille qu’on allait monter dans ma chambre, dans ma garçonnière, lui susurrant qu’il allait pouvoir me faire tout ce qu’il avait toujours rêvé….

    A suivre

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