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Recit erotique : Notre mystérieuse est de retour

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    Recit erotique : Notre mystérieuse est de retour

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Bonjour à tous,

    Me voilà de retour pour vous raconter la suite de mon après midi brûlant au bureau, en compagnie de mon partenaire préféré du moment.

    En prélude, cet homme était parvenu à ce que je me masturbe devant lui sans aucune pudeur jusqu'à ce que j'obtienne un orgasme, pour son plus grand plaisir. Quelques instants de répit pour que je reprenne mes esprits, et ses mains se sont mises à nouveau à explorer mon corps dans ses moindres recoins…

    Il m'avait excité terriblement, et je n'avais qu'une envie, être son jouet sexuel pour répondre à toutes ses envies du moment. Je ne disais mot, mais mon sexe trempé et mon regard trahissait ce désir qui m'habitait. D'ailleurs, il ne manqua pas de faire la remarque suivante : "Vous avez les yeux qui sentent le cul Madame! et j'ai très envie de vous baiser!"… Ce vouvoiement, contrastant complètement avec la situation du moment, avait vraiment pour effet de me rendre folle… folle de désir bien sûr!!! Et là, moi qui suis de nature à m'exprimer plutôt par les actes que par les paroles, je lui ai répondu avec une grande conviction "oh oui, Monsieur! Baisez-moi!!! J'ai envie de sentir votre queue me limer!"

    C'est alors qu'il m'a penchée au dessus du bureau de mon patron, dégageant rapidement ce qui s'y trouvait pour me plaquer le buste dessus, en appuyant sa main sur le haut de mon dos. Puis il m'écarta les jambes, et je me retrouvais ainsi, offerte, et fière de l'être. Je laissais ses doigts me fouiller avec ardeur. Ensuite, je sentis ses mains s'emparer chacune de mes fesses pour me les écarter. Il commentait son geste en me disant "votre cul m'excite trop!". Il ne tarda pas à venir lécher mon anus et y donner des petits coups de langues qui me faisaient gémir. Puis c'est un de ses doigt qui pris le relais pour s'insérer dans mon rectum pour aller et venir de plus en plus vite. Il me rendait dingue, et je n'avais qu'une envie en tête, celle qu'il me pénètre de sa queue… par n'importe quel orifice, mais qu'il me pénètre pour soulager le feu qui me brûlait de l'intérieur. Et à cet instant, je n'ai pu me retenir de lui dire "Je vous en supplie Monsieur, baisez-moi ! Je ne tiens plus!"

    A peine avais-je prononcé ces mots, que sa tige, dure à souhait, s'inséra dans ma chatte en feu. Hummm… Qu'est-ce que c'était bon de la sentir enfin en moi alors que j'étais toujours plaquée sur ce bureau ! Il me limait à grands coups de reins. Et l'espace d'un instant, j'imaginais si mon patron était rentré de rendez vous plus tôt que prévu, pour me découvrir en train de me faire prendre comme une salope sur son bureau. Cette idée m'excitait encore plus, et je me sentais encore plus chienne ! Lui aussi était de plus en plus excité, et il me baisait de plus en plus fort tout en me demandant : "Vous aimez ça?". Sous les assauts de sa queue, il m'était difficile de parler, et je lui répondis difficilement par un petit "oui"… Mais cela ne lui suffisait pas, et il s'empressa de me dire haut et fort : "Alors dites-le que vous aimez ça salope ! ". Son ton plus autoritaire me faisait mouiller encore plus et je lui répondis alors "oui, j'aime ça Monsieur! J'aime sentir votre queue me limer! J'aime être salope pour vous!"

    Sa queue était complètement déchaînée dans ma chatte, tout en allant et venant aussi avec un doigt dans mon petit trou. Puis il me retourna pour m'allonger sur le dos sur le bureau, et me prendre ainsi, mes jambes entourant son cou. Je ne m'en lassais pas, mais j'avais aussi très envie de le sucer et je lui suggérais de faire une pause pour m'occuper de lui. Je l'invitai à s'allonger au sol, sur lequel j'avais pris soin de déposer une petite couette pour le rendre plus confortable.
    Je me mis alors à le sucer délicatement, puis je m'emparai ensuite goulûment de sa queue à pleine bouche, en alternant les rythmes. Mais je n'avais pas envie de me restreindre à sa tige, et je me mis ensuite à lui lécher l'intérieur du haut des cuisses pour finir ensuite sur ses bourses chaudes et pleines. J'observais avec attention ses réactions et je sentais qu'il appréciait ce que je lui faisais, d'autant qu'il avait discrètement écarté les jambes pour me donner plus d'aisance. Je ne résistai pas à venir lécher, puis fouiller son anus de ma langue, tandis qu'il laissait échapper de légers gémissements. Cela m'excitait encore plus, et je m'appliquais, comme une vraie petite cochonne, à lécher encore et encore pour bien l'humidifier. Puis je laissai couler de ma salive, avant de m'aventurer avec une grande douceur dans son orifice avec l'un de mes doigts pour masser ensuite délicatement sa prostate. Il poussait des petits râles de plaisir, tout en me traitant de "salope" à plusieurs reprises. Mon excitation était à son comble, et je me suis alors positionnée accroupie, au dessus de lui, pour venir m'empaler sur son sexe. J'étais tellement déchaînée sur sa queue, qu'il m'a freinée en me disant "doucement Madame, vous allez me faire jouir si vous continuez ainsi!". Lui comme moi, avions envie de laisser durer le plaisir le plus longtemps possible.

    Il a alors voulu reprendre son rôle de mâle dominant et m'a mise en position de levrette pour me donner encore et encore de grands coups de queue. J'étais au bord de l'explosion de plaisir et je sentais qu'il l'était aussi. Il se retirait de temps en temps pour faire de très courtes pauses et freiner la jouissance. Puis, tout à coup, alors qu'il venait de se retirer, je senti sa tige me pénétrer à nouveau, de façon brutale, mais cette fois-ci dans mon petit trou… Cette pénétration inattendue me procurait un plaisir immense et je poussais de plus en plus de gémissements. Il prononça alors les mots suivants : "votre croupe me rend fou!", et je m'empressais de lui répondre "votre queue me rend folle! baisez moi encore plus vite, encore plus fort!"… La situation me rendait effectivement folle et complètement chienne, et je sentais le plaisir s'intensifier, et ma respiration s'emballer au rythme effréné de son sexe qui me martelait à fond, tandis que ses bourses venaient taper contre ma chatte ruisselante. Bientôt sa jouissance explosa au son d'un râle puissant et déclencha en même temps mon orgasme…

    Je n'aurais jamais imaginé qu'un jour, je me ferai baiser sur le bureau de mon patron, pour finir ensuite, par jouir d'une puissante sodomie ! Et je peux vous assurer que, désormais, je ne vois plus mon lieu de travail de la même façon!!!

    Je vous embrasse en espérant vous avoir procuré autant de plaisir que je peux en prendre chaque fois que je me remémore ces chauds souvenirs.

    A très bientôt

    Miss T rieuse

tel rose voyeur

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