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Histoire X : Histoire d'une journée portes ouvertes

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    Histoire X : Histoire d'une journée portes ouvertes

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    cunni levrette

    Coucou à tous !

    Vous vous souvenez que je vous ai raconté comment j’ai rencontré Anne, ma collègue prof dans une soirée libertine en club. C’est la prof que je trouve sexy, bandante à souhait, et elle m’a montré qu’elle savait très bien faire l’amour, avec un léger penchant pour le triolisme, même si on avait pas eu l’opportunité de pleinement tenter la chose.
    Depuis donc, je l’ai revu en salle des professeurs, et curieusement, ou pas, nos rapports sont redevenus ce qu’ils étaient, tout à fait cordiaux mais aucun rapprochement superflu. Le lendemain je me souviens, j’appréhendais un peu de la rencontrer à nouveau en contexte scolaire, je l’avais rencontré près de la photocopieuse, nos regards se sont croisés. Un sourire. Et un simple « bonjour, ça va ? » Avant de filer. Direct. Rien de plus. Aucune espèce d’allusion déguisée. RIEN.
    Du coup, j’avais presque oublié notre histoire, j’ai presque failli me dire que j’avais rêvé, qu’en fait elle avait une sœur jumelle. Que ce n’était qu’une seule fois. Mais cette Anne, elle me donne vraiment du fil à retordre.
    Nous sommes donc vendredi, et le lycée fait son annuelle Journée Portes ouvertes. Journée ennuyeuse où nous les profs nous corrigeons nos copies entre deux visites de nos salles. Je suis enfermé depuis maintenant quelques heures dans la mienne, quand soudain on tape à la porte et c’est Anne que j’aperçois ; qui me demande si je peux lui filer un coup de main pour accrocher une affiche dans sa salle, qui se trouve au dernier étage. N’étant pas particulièrement débordé, et ne voulant surtout pas refuser une demande de la la jolie Anne, je la suis dans les couloirs dans la salle. Elle porte un tee shirt noir manches langues, une jolie jupe qui lui arrive au dessus des genoux et des collants opaques. Je ne peux m’empêcher de mater son cul quand elle gravit les escaliers, essayant de me remémorer à quoi il ressemble. Nous échangeons quelques phrases banales, encore, parlant de tout et de rien jusqu’à ce qu’on arrive dans sa salle. C’est vraiment perturbant de voir à quel point elle a zappé notre ébat dans le club. Je l’aide pour poser son affiche, et en l’accrochant son tee shirt remonte légèrement, laissant apparaître son nombril percé. Voilà. Une preuve que c’était bien elle. Ca, je m’en souvenais très bien. Elle voit bien que j’ai jeté un léger coup d’œil puisqu’elle me regarde en souriant. Et en descendant de la chaise, elle est proche, très proche de moi. Je reconnais son parfum.
    « je ne sais pas comment tu fais pour faire comme si de rien était », je finis par lâcher cette phrase.
    Et à ce moment, elle part pour fermer la porte et revient vers moi, m’expliquant qu’elle a toujours séparé la personne qu’elle est en club, et celle qu’elle est au lycée. Mais qu’elle n’a rien contre moi. Nous discutons donc clairement de la chose, et nous nous rassurons sur cette confidentialité et cette intimité. Surtout qu’elle me dit qu’elle est en couple et heureuse, et que l’adultère se manie avec précaution. Les choses sont donc claires. Pas moyen d’espérer plus, mais au moins nous pourrons devenir ami. Je me lève alors pour sortir de sa salle.
    Elle retient mon bras. Et vient le poser sur sa bouche, qu’elle entrouvre pour lécher mon index, le mettre dans sa bouche pour le suçoter. Je glisse alors un deuxième doigt dans sa bouche, puis je m’approche d’elle, retire mes doigts et l’embrasse. Nos langues se croisent et s’enroulent dans un baiser langoureux. Puis elle se dresse devant moi et se colle contre moi ; je caresse son dos et descend le long de sa jupe, avant de passer dessous pour toucher sa culotte ; c’est un string et le contact de ses fesses nues me fait durcir. Nous savons tout deux que n’importe qui peut nous interrompre. Elle bascule alors sur la table du professeur et remonte sa jupe, avant d’écarter les cuisses. Je viens entre ses cuisses, retire légèrement son string et je commence à lécher son clito, dont je retrouve le goût qui m’avait enivré il y a quelques semaines, je lui bouffe ce clito déjà gonflé et je descends rapidement vers ses lèvres charnues et légèrement ouverte, que je mouille avec ma salive, elle sent déjà la mouille et je la vois grimacer de plaisir. Je me relève alors, je baisse la fermeture de mon pantalon et je sors ma bite, que je frotte contre sa vulve pour en prendre la mouille. Elle a soulevé son tee shirt et joue avec sa poitrine, sortant doucement ses petits seins et jouant avec ses tétons. Je la pénètre alors doucement, m’enfonçant en elle tout en m’avançant pour suçoter ses seins ; elle m’excite grave et cette fois, la prendre sans capote me donne ce contact avec sa chair, son étroitesse qui me rend dingue. Elle s’accroche au bureau et ne me quitte pas des yeux pendant que je la baise, j’attrape ses jambes, ses collants et les plaque contre moi pour la prendre encore plus en profondeur, elle continue de grimacer, puis elle retire ma bite quelques instants, et descend du bureau pour me présenter ses fesses, pour que je la prenne en levrette. Elle s’appuie désormais contre le bureau, fesses nues, et je l’attrape ainsi pour la prendre ; c’est un spectacle délicieux et je saisis sa chevelure bouclée pour la baiser encore plus fort. Elle se met à gémir doucement, me demandant de la faire jouir, de la remplir de foutre et je continue quelques minutes, avant de jouir en elle, en même temps qu’elle puisque je la sens se raidir et me rejoindre dans l’orgasme. Elle se remet son string, baisse sa jupe ; avant de se rhabiller entièrement et se recoiffer. Nous nous remettons de nos émotions. Elle me remercie.
    Je ne sais pas si nous allons remettre ça, mais désormais nous nous parlons chaque jour.
    Merci à tous !

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