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Histoire de sexe : baise en prison

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    Histoire de sexe : baise en prison

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    baise prison pipe

    Bonjour à tous et à toutes

    Je viens ici vous raconter une anecdote assez saugrenue, mais oh combien banale dans notre société. J’ai envie de la partager avec vous, même si elle n’est pas forcément joyeuse. Je suis âgée de 25 ans et je n’habite plus en France, j’ai en effet quitté le pays pour rejoindre mon compagnon qui a été forcé de s’expatrier pour la raison suivante…. Il a été incarcéré. Je ne suis pas ici pour vous expliquer les tenants et les aboutissements, ce n’est pas le site pour. Juste qu’il a pris six mois, ce qui est à la fois tenable et extrêmement long ; surtout si on parle de rapport de couple. J’ai donc déménagé pour pouvoir aller le voir le plus souvent possible car je suis très amoureuse de lui. Mais il s’est rapidement posé la question de comment avoir une promiscuité, une affection à travers les barreaux.
    Au départ, tout se passait par le parloir. Rapidement pour lui changer les idées, il me demandait de lui parler de sexe, de ce que j’avais envie de lui faire à la sortie. J’inventais donc des scénarios tous les plus sexy les uns que les autres et il me disait que souvent, le soir, il se branlait en pensant à ce que je lui avais dit ou sur une photo sexy de moi qu’il avait dans sa cellule. Donc, par la suite, il m’a demandé de porter des tenues sex quand je venais le voir. Même si je n’ai pas beaucoup de poitrine, j’essayais quand même de mettre des décolletés pigeonnants, et des push up histoire de la mettre en valeur, ou des robes super courtes car par contre j’ai de super jolies jambes musclées et je sais qu’il adorait les toucher. Mais malgré mes tenues de plus en plus provocantes, il nous manquait ce côté tactile, et surtout l’aspect charnel de la baise, surtout que ses co detenus commençaient à parler mal de moi, je passais un peu pour la pute allumeuse et je ne pouvais plus continuer à m’exhiber ainsi pendant 4 mois. Oui, il restait 4 mois à tirer.
    Je me suis donc renseigné auprès de mes amies les nanas des détenus et elles m’ont apprise qu’il existait des dérogations pour pouvoir passer quelques minutes avec son homme, dans un endroit prévu pour : en gros pour baiser. Pratique. J’ai donc fait la demande, et avec pas mal d’insistance et de pots de vin (et oui, ça marche comme ça là-bas) j’ai enfin pu obtenir un créneau de trente minutes avec mon chéri.
    Le jour J, j’ai pu enfiler cette fois ci uniquement pour lui ma plus belle robe, mes plus beaux dessous sexy et je me suis rendu sur les lieux. Les lieux…. J’arrivais la première et on me faisait entrer dans la pièce. Une simple pièce avec une fenêtre et deux chaises. C’est tout. Evidemment quand on entrait ça puait le foutre, le sexe, un peu comme en club libertin, j’avais limite la nausée mais elle s’effaçait rapidement quand on m’emmenait mon chéri dans la pièce. Le gardien me regardait, l’air pervers et nous confirmait que c’était bien 30 minutes et pas davantage. Puis il fermait la porte derrière nous sans plus de paroles.
    A ce moment-là nous nous jetions dans les bras l’un de l’autre, j’étais en pleurs et je le serrais fort contre moi, profitant de son odeur qui avait fort heureusement remplacé celle de la pièce. Il me serrait aussi avant de m’embrasser partout, mon cou mes joues mon front pour finir sur mes lèvres. Là, le baiser devient plus passionné et nous ouvrions nos bouches pour que nos langues se rencontrent à nouveau, le baiser devient brulant et mon mec passait la main dans mon dos, les descendait sur mes fesses, passait dessous ma robe pour découvrir le string que je portais ; il aimait mon cul et il poussa un grognement d’approbation. Je mettais à mon tour ma main sur son entrejambe pour découvrir l’énorme bosse qui se dessinait ; il bandait dur et j’avais hâte de croquer sa queue. Je le fis s’asseoir sur la chaise, et je retirai son pantalon avant de me mettre entre ses jambes, découvrant sa pine dressée et déjà brulante. Je la mis dans ma bouche et je commençai à le sucer durement, il m’attrapa les cheveux et me dit d’aller plus doucement car il avait peur de gicler immédiatement. Je ralentis alors l’allure et j m’occupais davantage de ses couilles, le branlant doucement de ma main droite pendant que je caressai son torse. Puis il me levait et me demandait de le baiser, il avait vraiment envie que je le baise. Puisqu’il était sur la chaise, je décidai de l’utiliser et je viens me positionner devant lui, soulevant ma robe pour dévoiler mon cul et lui demander de retirer mon string. Il le fit descendre et vient littéralement me bouffer le cul et la chatte, écartant mes fesses rudement pour y faire passer sa langue, venant mouiller mon clito et mes lèvres déjà humides, c’était bon de sentir à nouveau sa langue me lécher, surtout qu’il est super fort pour les cunnis. Une fois préparée, je n’avais qu’à m’asseoir sur lui et m’empaler sur sa queue dresser, et monter descendre dessus comme une petite pute. Il avait posé ses mains sur mon cul et m’incitait à bien descendre sur sa bite, histoire qu’il me pénètre profondément. Je prenais mon pied, ca faisait longtemps, trop longtemps qu’il m’avait pas baisé et je jouis quasiment en quelques minutes ; mais je restais sur sa queue… soudain je levais les yeux et je vis que l’ouverture sur la porte s’était ouverte, et que le gardien, le pervers nous regardait. Quel salaud. Mais faire une remarque signifiait la fin de notre baise, et je pouvais pas faire ça à mon homme. Je décidais donc de continuer, le regardant droit dans les yeux pendant que je me faisais démonter par mon homme. Il sentit la jouissance arriver et je lui demandais à voix haute de remplir ma petite chatte de foutre. Il gicla alors à l’intérieur et me remplit comme une chienne, je sentais le liquide chaud sur mes cuisses c’était bon. Le gardien était parti. Le temps de m’essuyer et de nous rhabiller et la porte s’ouvrit, la demie heure était passée. Quel bonheur d’avoir pu lui faire l’amour, ce fut une expérience inoubliable….

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Anonyme

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