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Recit de cul : Histoire sensuelle

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    Recit de cul : Histoire sensuelle

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Pendant tout le trajet en voiture jusqu'à mon appartement, je ne pouvais m'empêcher de le regarder. Mes yeux s'attardaient sur chaque partie de son corps que je souhaitais caresser.

    Son cou où je m'imaginais poser ma bouche. Le lobe de son oreille que je désirais mordiller et lécher. Ces mains que je voulais guider sur mon corps jusqu'à la jonction de mes cuisses où mon envie de lui commençait à tremper. Son sexe que je voulais tendu et prêt à m'assaillir.

    Javais négligemment posé ma main sur mon siège dans l'espoir qu'il la recouvre de la sienne, me permettant ainsi d'avoir un contact physique avec lui. Je souhaitais que cet attouchement vienne de lui afin que je puisse me montrer plus expansive sans paraître trop en demande.

    Au premier feu, il déposa sa main sur la mienne et la porta à ces lèvres. Je sentis le contact de sa langue sur le bout de mes doigts. Le feu passant au vert, il la relâcha et posa la sienne sur le volant, se concentrant à nouveau sur la conduite. Il faisait chaud et il portait des manches courtes alors du bout de mes doigts je me mis à caresser son avant-bras de manière lancinante, alternant le contact de ma peau et celui de mes ongles. De ma main libre, je lui enlaçais la nuque et caressait les mèches de ses cheveux à la base de sa nuque. Un frémissement lui parcourut le corps. Les coins de sa bouche s'étaient relevés en un petit sourire coquin. Mes mains s'éloignèrent de son corps mais c'était pour mieux m'installer et poser ma main, haut sur sa cuisse, profitant de l'occasion pour y exercer de légers mouvements de va et vient et de pressions, s'immisçant parfois dans le creux de sa cuisse

    Au feu suivant, mon envie grandissait. Alors l'agrippant par la nuque, je me serrais contre lui en caressant son sexe de ma main. Je me jetais sur sa bouche comme une affamée. Mes caresses semblaient lui avoir donner une fougue qui correspondait à mes attentes. Il m'étreint et ses mains glissèrent sur mes seins dont la pointe me faisait légèrement souffrir tellement mon désir était fort. Puis, en glissant une main sous ma jupe, il la fit remonter jusqu'à ma vulve chaude et humide. Dès que je sentis le contact de ses doigts, je gémis de plaisir.

    Bien vite ses doigts furent enduits de mon excitation. Sans me quitter des yeux, il cessa de m'embrasser. Je continuais à prolonger ma caresse sur son sexe à travers ses vêtements. Il me caressa encore un peu, étalant mon humidité parfumée jusqu'à mon clito qu'il caressa un très court instant. Je gémis plus fort, les yeux clos, la nuque ployée vers l'arrière, dans un total abandon. Retirant ses doigts, il attendit que mon regard se pose de nouveau sur lui, puis portant ses doigts luisants de ma saveur à sa bouche, il lécha ses doigts. Il me semblait sentir la pression de cette langue sur une autre partie de ma personne. Je me mordis la lèvre inférieure pour m'empêcher de gémir de nouveau tellement son geste m'excita. Ma pression sur son entrejambe s'accentua. Sous ma main, je la sentais terriblement dure et gorgée de sucs.

    Le reste du trajet, se fit dans une tension sensuelle silencieuse, ma main avait repris sagement sa place sur sa cuisse, elle resta là sans bouger, exacerbant son envie sexuelle. Je sentais parfois son regard sur moi, alors tournant la tête, je plongeais dans ses yeux et mon excitation grandissait toujours plus.

    Dans l'ascenseur de mon immeuble, il me prit par la taille afin que je reste face au miroir de la cabine. Toujours sans dire un mot, il se plaqua à moi. Contre mes fesses, je sentais son érection. Je me mis à bouger imperceptiblement du bassin, cambrant le dos pour l'exciter davantage encore. J'ai senti son souffle plus saccadé à mon oreille. Sa langue est venue en chatouiller le lobe puis est descendu le long de mon cou. Ma tête s'est inclinée sur le côté pour faciliter ses caresses, les yeux clos. Il me souffla d'ouvrir les yeux, alors croisant son regard dans le miroir, il fit descendre ses mains sur mes cuisses, effleurant au passage ma fente trempée. Puis, remontant lentement, toujours plus haut sur mon corps, ses mains se posèrent sur mes seins. Du bout des doigts, il en caressa les pointes que je pouvais voir dresser sous le tissu de ma robe. Je m'appuyai et me serrai plus fort contre lui, accentuant la pression de mes fesses sur son sexe tendu. Mes main vinrent agripper sa nuque et se poser sur sa cuisse. Je gémis faiblement, les seins toujours plus sensible, presque douloureux. Une de ses mains vint caresser, effleurer mon cou. Je ne pus m'empêcher de renverser la tête, l'appuyant sur son épaule et soupirer bruyamment, le souffle court, tout mon corps hypersensible aux moindres attouchements, à la moindre caresse.

    Arrivés à l'étage, nous sortîmes de l'ascenseur, toujours serré contre moi, il se laissa guider jusqu’à mon appartement. Pendant tout le temps que je pris pour ouvrir la porte, il continua à déposer de légers baisers sur ma nuque.

    Dès que la porte se referma, il m'adossa à la porte et en se serrant contre moi, il m'embrasse de nouveau. Bien vite il fit remonter ma robe sur ma taille, il glissa une jambe entre mes cuisses et me remontant sur celle-ci, il entreprit de bouger ses hanches en rythme et accentua la pression de sa cuisse sur mon intimité incendiée de plaisirs et de frémissements. Il fit glisser les bretelles de ma robe afin de pouvoir câliner mes seins. Il en caressa la pointe à travers la dentelle de mon sous-vêtement, puis son désir devenu sans doute plus intense, il en mordilla la pointe sensible ! Je gémissais à la moindre caresse. Je le désirais, je souhaitais sentir les mouvements de son sexe en moi et plus encore.

    Délaissant mes seins, il descendit le long de mon corps , jusqu’à s agenouiller devant moi. Il releva ma cuisse et la déposa sur son épaule. Bientôt, je sentis le contact de sa langue douce et chaude. Je ne pouvais que gémir à chacun de ses mouvements. Je portais ma main à ses cheveux pour les caresser, puis je la fis descendre le long de son cou. Tout mon corps tremblait, javais la sensation que ses mouvements de succion et de langue se répercutaient dans chaque fibre de mon être. Mes hanches accompagnaient ses caresses. Je sentais que la jouissance n'était pas loin, mais je ne voulais pas me laisser aller, je voulais jouir en le sentant cogner en moi.

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par cricri :
vu la sensualité des préliminaires, on imagine la suite
Posté le par coquinesexy :
j'me suis bien masturber en lisant ton histoire merci !!!!
Posté le par coquinesexy :
j'me suis bien masturber en lisant ton histoire merci !!!!
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