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Histoire erotique : Une vraie dominatrice

Cette histoire de cul vécue par Anonyme, a été racontée par l'une de nos coquines au tel
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Code histoire 0077 - Durée : 05 minutes
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    Histoire erotique : Une vraie dominatrice

    Corrigé et résumé par Dialogue69 le

    Publié le

    Je suis directrice d'une PME. Ma comptable devait prendre un congé maternité, j'ai donc fait passer des entretiens d'embauche à 3 hommes. L'un deux à retenu mon attention; la quarantaine, le front dégarni, un visage émacié, une petite bouche aux lèvres brillantes.

    Très obséquieux mais peu sûr de lui, il avait tout du parfait soumis. Depuis le temps que je domine mes amants, je sais les reconnaître au premier coup d’œil. Après son entretien, sans vraiment lui laisser le choix, je lui es dit de passer chez moi le lendemain soir pour parler travail.

    Bien sûr, il a accepté. Je l'ai reçu avec courtoisie : champagne frappé et petits fours, conversation de patronne à employé.Une fois la bouteille vidée, je lui ai parlé de mon "salon privé", au sous-sol de la maison. En fait de salon, c'est une cave voûtée de belles dimensions. Nous y sommes descendus.

    Mon futur comptable n'avait pas l'air troublé. Il me regardait avec des yeux pleins d'envie. Je lui ai expliqué que nos goûts semblaient complémentaires, mais qu'il fallait toutefois vérifier. Je voyais bien qu'il ne lâchait pas du regard mon opulente poitrine. Un atout de poids pour qui aime étouffer ses partenaires entre ses seins...Pour sceller notre accord, je l'ai attiré contre moi, coinçant son visage dans mon buste, l'empêchant de respirer durant de longues secondes. Je l'avais accueilli en bas et robe noire. Je lui ai dit de se déshabiller et de s'allonger par terre. Je me suis déchaussée et lui ai fourré mes orteils un à un dans la bouche. Je pouvais voir qu'il bandait comme un âne! J'ai ensuite enfilé mes mules à plateforme et je lui en ai fait lécher les talons. Après je l'ai autorisé de s'occuper de mon sexe. Tâche qu'il a effectuée d'autant plus consciencieusement que j'avais pris soin d'éviter toute toilette intime, la veille et dans la journée... C'était un vrai bonheur de le voir, humant, grognant, fouillant du nez dans les replis odorants de mes deux orifices, se goinfrant de leurs fumets âcres.

    Je me suis ensuite assise à côté de lui et j'ai posé mes pieds sur son pénis pour le masturber. Mes talons venaient heurter ses couilles à intervalles réguliers. Ne pouvant plus du tout se retenir, mon aspirant soumis à éjaculé sur la fine dentelle noire de mes bas. J'ai décrété qu'il les avait salis exprès et qu'il m'avait mise de méchante humeur. Je lui ai ordonné de se retourner sur le ventre et j'ai placé un bandeau sur ses yeux pour le punir.

    Un de mes talons aiguille s'est incrusté dans sa raie et à tâtonné de la pointe jusqu'à trouver son anus. Tout doucement, j'ai enfoncé le talon dans sa chair molle et rosée. Quand il est entré en entier, je l'ai fait tourner lentement en lui.La punition n'était pas suffisante. J'ai extirpé le talon de sa rosette et, très salope, je lui ai dit que ce qu'il méritait, c'était un bon poing dans le cul.Je suis allée chercher un de mes godes au fond de la pièce. Il ne pouvait rien voir, mais je savais qu'il frémissait à chacun de mes pas résonnant sur le sol. Je mouillais à l'idée de ce que j'allais faire. J'ai craché sur son œillet et juste après, j'ai forcé son entrée déjà bien dilatée avec un gode de fort diamètre. L'engin est passé comme dans du beurre. Tiens, tiens! Je l'ai enfoncé et ressorti ainsi à plusieurs reprises. Puis sans le prévenir, j'ai commencé à rentrer mes doigts en lui. D'abord les quatre, qui sont allés chercher loin dans sa chair, puis mon pouce qui a poussé à l'intérieur. L'ensemble est passé trop facilement. Je me suis saisie de la queue de mon soumis pour le branler, stoppant net quand je le sentais sur le râles de plaisir inhumains.

    Lentement, doucement, dans une opération qui a duré peut-être une trentaine de minutes, j'ai fait aller ma main dans ses entrailles, parfois au-delà de mon poignet. Je l'ai fisté jusqu'à ce qu'il jouisse enfin sur le sol, totalement hébété. Pour finir, je lui ai ordonné de lécher mes longues traînées de sperme tiède qui maculaient le carrelage froid. Quand Béatrice rentrera de congé maternité, je devrai me séparer de lui. Mais j'ai parlé de lui à une amie qui partage nos goûts. Mon comptable ne devrait pas rester longtemps au chômage...

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Les commentaires pour cette histoire érotique

Commentaires

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Posté le par kokine35 :
c'est cho ! mais j'aurais aimer etre a la place du comptable !
Posté le par hublin :
j'aimerai me faire fister. je cherche en vain.en Normandie
Posté le par andalex :
hummmmmmmmm j'ai bien envie d'y essayer......
Posté le par baron59 :
j'aurai bien voulu etre a sa place
Posté le par Filip :
bon début, c'est à la lecture de la suite que l'on pourra vérifier si l'histoire tient la route, mais la mise en bouche est assez réussie. Continue ...!
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Anonyme

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